SpeechNote / DsNote, la dictée vocale en action sous Linux.

SpeechNote ou DsNote sur AUR, c’est un logiciel de dictée vocale. Et comme tout logiciel de ce style, il faut être dans un environnement le plus silencieux possible. Voici donc la partie que j’ai saisie vocalement et corrigée des nombreux bugs de traduction que j’ai corrigé.

En effet, j’ai eu un accident de basket… En effet, j’ai deux doigts en écharpe et c’est un peu chiant pour taper sur le clavier. Donc je vais utiliser ce début d’article l’outil SpeechNote. Ça fera un peu « inception », mais c’est juste pour montrer speech note ou dsnote en action.

Et en donné que je n’ai pas d’autre choix, j’utilise SpeechNote pour me simplifier la vie, même si par la suite, je compéterai l’article avec les huit doigts qui restent utilisables.

Ici, je reprends la saisie au clavier. Il y a de nombreuses langues supportées, et je suppose que l’anglais doit être la version la plus fonctionnelle qui existe. Je ne l’ai pas testé, mon anglais n’étant pas aussi bon que je le voudrais.

Mais bon, on ne peut pas non plus demander des miracles à ce genre de produits. Il y aura toujours plus ou moins besoin d’un environnement calme. Mais le mieux, c’est de vous montrer le logiciel en action.

Inutile de préciser que je n’ai pas gardé le logiciel. Il me prend de la place pour pas grand-chose. Mais au moins, il a le mérite d’exister.

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mars 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 1 : la mise en avant de projets non terminés.

Comme vous le savez, je suis un utilisateur long terme du logiciel libre, ayant décidé de passer au mono-démarrage linuxien en 2006. Ce qui était assez acrobatique à l’époque et on avait pas encore la dose de finition actuelle. En 2006, c’était un choix technique osé. De nos jours, un peu moins !

Cependant, il y a certains travers qui ont le don de me géner aux entournures. D’où ce premier article d’une petite série. On va commencer par ce qui m’a irrité récemment, c’est l’annonce par le projet Garuda de proposer une saveur de leur distribution avec l’environnement Cosmic Desktop qui est – au 16 mars 2025 en version alpha 6 – non terminé pour le moment.

Il ne serait pas étonnant que tout au long de l’année 2025 l’équipe de System76 sorte des versions alphas ou betas mensuellement. Je pense qu’il serait raisonnable d’estimer la première version stable pour fin 2025 début 2026. Écrire un environnement de bureau depuis la page blanche, ça prend du temps.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième samedi du mois de mars 2025. Attention, ça va piquer et pas qu’un peu.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans la série « L’environnement de bureau n’est pas terminé mais on l’empaquète », je demande la Garuda Linux qui propose une saveur avec Cosmic Desktop.
  • Vous trouvez ReactOS trop avancé dans sa réécriture de MS-Windows ? Alors Free95 sera pour vous. Merci Phoronix pour l’info !
  • Vous détestez les pubs qui s’affichent à l’écran. Vous rêvez de les tuer à vue ? Alors le petit jeu « Ad Popper » pour Commodore 64 sera pour vous.

Côté culture ?

Comment faire comprendre qu’il n’y aura pas de sortie numérique d’un album ? Mettez-le à 700€ sur la page bandcamp de l’album. Simple, non ? 🙂

Sur ce, bon fin de week-end !

Décidément, il y a de bonnes périodes pour les casse-têtes rétroludique.

Après « Master Piece » pour le ZX Spectrum et l’Amstrad CPC dont j’ai parlé le 7 mars 2025, un jeu publié par Vector 5 Games pour le Commodore 64 a pris le relai dans mes soirées rétroludiques. Le jeu s’appelle « Zookeeper ».

Le principe ? Un jeu à la match 3, où il faut regrouper 3 ou plus animaux identiques pour nettoyer le niveau. À chaque niveau, un nombre donné d’animaux à éliminer est proposé. Et plus on monte en niveau, plus le nombre d’animaux différents augmente, faisant ainsi monter la difficulté. Et à partir du niveau 10, ça devient franchement costaud pour atteindre les objectifs sans être noyé par les animaux qui apparaissent en bonus au fil des tours.

Je suis actuellement arrivé au niveau 11 – sur les 30 – que compte le jeu, et je dois dire qu’il faut être foutrement stratège pour arriver à débloquer la situation. J’ai donc pris Vice, je lui ai rajouté la cartouche Epyx Fast Load et j’ai lancé le jeu. Je me suis limité au 5 premiers niveaux, vous laissant un avant-goût du 6e qui est déjà bien coriace.

Par chance, on peut reprendre le jeu à un niveau donné, chaque niveau ayant un code sur 4 chiffres qui lui est attribué. J’espère que je finirai un jour ce jeu, mais je dois dire que je n’espère rien très rapidement. J’ai suffisamment d’occupation en ce moment pour ne consacrer que 20 ou 30 minutes par jour au rétroludique en ce moment. Mais ne passez pas à côté de cet excellent match 3, ce serait dommage.