« Evil Dungeons II », le « Shadows of Sergoth » pour le Thomson MO5.

En mai 2018, je parlais de la sortie d’un excellent dungeon crawler pour l’Amstrad CPC, « The Shadows of Sergoth ».

Pour fêter les 40 ans du MO5, Christophe Petit qui est à l’origine de « The Shadow of Sergoth » a décidé de créer un autre dungeon crawler. Son nom ? « Evil Dungeons II ». C’est grace à cette vidéo de Génération Micros que j’ai entendu parlé du jeu.

Je suis donc allé sur la page itch.io du jeu pour le récupérer.. J’ai ensuite récupéré DCMoto et je l’ai utilisé avec Wine, étant donné qu’il n’y a pas d’émulateurs natifs linux pour le MO5. J’en ai profité pour enregistrer les 10 premières minutes de jeu.

Petite remarque en passant : je vous conseille de lire l’histoire du jeu, car elle est très bien tournée.

Vous avez pu le voir, le résultat est bluffant. C’est rapide, nerveux, facile à contrôler et surtout, il est en français. Il est vrai que le MO5 de Thomson était principalement (ou uniquement) disponible en France.

Je dois dire que ce jeu m’a tapé dans l’œil et il n’est pas impossible que je passe un peu de temps sur celui-ci ce week-end, pour essayer de finir la première tour !

Archlinux est-elle solide ou ai-je une chance démesurée ?

Il est de bon ton de dire qu’Archlinux est instable, voire qu’elle casse facilement. Cependant, si je prends l’installation d’Archlinux avec laquelle j’ai tous les outils pour rédiger mes billets et les mettre en ligne, elle date quand même de février 2018. Voici ce que me sort head -n 5 /var/log/pacman.log

Et oui, vous avez bien lu [2018-02-27 17:39] [PACMAN]. Il faut dire que l’ensemble a connu plusieurs migrations. À l’origine, c’était une installation fait avec une anarchy linux. Installation avec Mate-Desktop. Sur un disque dur en sata.

Côté migration ?

  1. Courant 2019 ou 2020 – je ne me souviens plus ! – migration du système vers un nvme pour plus de souplesse.
  2. Migration de Mate-Desktop vers Gnome en juin 2020.
  3. Migration début 2024 des données vers un SSD, histoire de remplacer le disque qui commençait à connaitre des faiblesses.
  4. Migration vers une nouvelle carte mère pour faire fonctionner le Ryzen7 5700G dans lequel j’ai investi en suivant une promotion sur Amazon. Quand le CPU est à 50% de son prix plein pot, autant en profiter 😉

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Vieux geek, épisode 360 : Doom pour la SNES, le port de l’impossible :)

Dans l’épisode 355 de la série vieux geek, je parlais du port de Wolfenstein3D pour la SNES.

J’ai appris assez récemment – il y a deux ou trois ans de cela – qu’un port de Doom existait pour la SNES. Doom pour la SNES ? J’avoue que j’étais curieux de voir la gueule du résultat. J’ai donc profité d’un dimanche après-midi tranquille pour me lancer dans l’aventure Doom pour la SNES. Le port est sorti en 1995, donc vers la fin de vie commerciale de la SNES, la Nintendo 64 étant sortie courant 1996 au Japon.

J’ai par ailleurs parlé du très bon et réussi Doom 64 pour la Nintendo 64 dans l’épisode 359 de la série vieux geek.

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Chronique d’une migration plutôt casse-bonbons.

Dans cet article, je vais vous parler de la migration de CPU que j’ai effectué et qui m’a pris une semaine pour être terminée.

La semaine dernière, je recevais un Ryzen7 5700G pour remplacer mon vieil et fidèle Ryzen3 2200G qui a motorisé mon PC principal sur les 6 dernières années. Sur le site du fabricant, la carte mère était soit disant compatible depuis une mise à jour de l’UEFI faite fin 2021, début 2022. Je dois dire que j’étais sceptique.

Avec l’aide de mes amis, le CPU de remplacement a été inséré sur la carte mère et par la suite, le démarrage bloquait au passage en mode graphique post-UEFI. J’ai donc pensé que le CPU était défectueux. Ça peut arriver. Donc, je le renvoie en retour auprès d’Amazon où je l’avais acheté. J’achète dans la foulée un autre CPU pour ne pas rester trop longtemps sans CPU de mise à jour.

Ce matin, je suis allé cherché à la poste le nouveau Ryzen7. Et même cause, même conséquence. Le démarrage ne se complète pas… Par chance, j’ai un LDLC près de chez moi. On va donc au LDLC, et je prends une carte mère plus récente, la A520M Pro de chez MSI.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi d’octobre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Lethian Dreams a publié une vidéo d’un titre qui devait faire partie d’un album (« Season of Raven Words ») mais ce ne fut pas le cas.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Deux semaines de pause sur Twitter, quel bilan ?

Je suis en train de mener une expérience. Le 26 septembre 2024, j’annonçais sur Twitter à mon petit millier d’abonnés que je mettais en pause mon activité jusqu’à fin octobre. Quel bilan au bout de deux semaines environ ?

Déjà j’ai gagné en terme de tranquillité d’esprit. Ne plus avoir à gérer des problèmes sur mon fil, ne plus devoir bloquer à tout va, cela fait vraiment plaisir. Ma tension y a gagné, et je suis moins tendu. Bon, j’ai dû avoir une demi-douzaine de nouveaux abonnés sur mon compte mastodon, ce qui me fait frôler les 500 abonnés. Bon, il m’en reste 15 à récolter pour franchir la barre symbolique des 500, le plus gros est fait.

Oui, il y a moins de fréquentation, mais aussi moins de « dramas », de comptes à bloquer à vue pour des dissensions plus ou moins importantes. En gros, c’est un réseau social minuscule, mais ça fait vraiment du bien quand on vient de l’oiseau bleu.

Il me reste encore deux semaines avant de revenir sur l’oiseau bleu… À moins que je ne cloture mon compte là bas pour ne plus avoir de pics de tension artérielle au détour d’un tweet… Seul l’avenir me le dira 🙂

Donc Ubuntu fête ses 20 ans…

Et oui, déjà 20 ans. Je me souviens d’avoir été dubitatif quand j’avais jadis testé la Ubuntu 4.10. Ce qui m’avait gêné à l’époque, c’était l’absence d’accès direct au compte root. Oui, à cet époque, j’étais loin d’avoir compris l’intérêt d’un outil à la sudo / doas (pour les OpenBSDistes). Je n’avais que « peu de bouteille » dans le domaine des distributions GNU/Linux. J’avais bien tenté vers 1998 la RedHat Linux 5.0 – nom de code Hurricane si mes souvenirs sont bons ? – mais j’étais vite revenu à MS-Windows 98.

Ce n’est qu’en 2006 que je revenais avec Ubuntu et sa première version LTS, la 6.06 alias Dapper Drake. Oui, j’ai bien dit 06, car la première LTS avait subit du retard. Par la suite, Canonical n’a plus raté aucun mois d’avril des années paires pour sortir sa nouvelle Ubuntu LTS. La palanquée de versions tierces est arrivé au fil des années, les plus anciennes étant Kubuntu et Xubuntu.

Je dois avouer que sans la Ubuntu 6.06 et toutes les versions jusqu’à la 8.10 incluse, je n’aurais jamais franchi le pas du mono-démarrage Linuxien. Depuis, j’ai migré sur Archlinux qui correspond à mes besoins plus que ne saurait le faire Ubuntu. Mes besoins ont changé, mes connaissances se sont accumulées et je ne me sens vraiment bien qu’avec les distributions GNU/Linux même si je tâte du MS-Windows 10 ou 11 sur des ordinateurs tiers.

Malgré quelques défauts comme l’imposition des paquets snaps, cela reste une distribution idéale pour se dégrossir et passer vers des distributions mères comme la Debian GNU/Linux ou pour les plus intrépides vers Archlinux ou EndeavourOS.

Pour moi, Ubuntu reste une distribution pour les débutant(e)s et non pas pour les personnes ayant déjà plus d’expérience. Après, je peux concevoir que par fainéantise des linuxien(ne)s plus expérimenté(e)s restent sur la distribution de Canonical.

Tout dépend des besoins que l’on exprime. Même si je critique la dispersion que l’on peut avoir avec plusieurs dizaines de distributions à destination bureautique, Ubuntu restera une valeur sure. Dommage que Canonical multiplie les cavaliers seuls depuis des années : Mir pour remplacer Wayland, les snaps pour remplacer les flatpaks pour ne prendre que deux exemples.

Mais cela fait partie de l’ADN d’Ubuntu, on fait avec au final !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi d’octobre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Du bon choix de son moteur de blog.

Ce blog existe depuis un peu plus de 19 ans, et il a toujours été motorisé par WordPress, au début en version 1.5. Les années sont passées, les versions aussi et au moment où je rédige ce billet, c’est la version 6.6.2 qui est utilisée. En attendant la version 6.7 😉

Cependant, cela n’a pas été toujours un fleuve tranquille. Durant sa période sur un hébergement free, j’avais du jongler à une époque (des 3.x si mes souvenirs sont bons) pour compenser une version vieillissante de php. Et pourtant, je n’ai jamais songé à changer de moteur.

Quand j’ai lancé le blog, j’avais le choix entre deux moteurs. Soit WordPress, soit Dotclear. Je ne me souviens plus pourquoi j’ai choisi WordPress. Faut dire que de se rappeler d’un tel choix, c’est difficile. Je sortais aussi d’une période où mon blog avait eu deux incarnations. Une en HTML pur et dur, et une autre sur Blogger.

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Vieux geek, épisode 359 : Doom64 pour la Nintendo 64, une version vraiment complète :)

Dans l’épisode 355 de la série vieux geeks, je parlais du port de Wolfenstein3D pour la Super Nintendo. Port que j’avais qualifié, je cite :

En tout cas, j’avais entendu dire que la version avait été censurée, mais à ce point, c’est du grand art.

En 1997, alors que la Nintendo 64 commence sa vie commerciale, un port du jeu Doom64 est proposé par Midway Games. Ici, point de censure : il y a du sang, des tripes, et c’est vraiment un public adulte auquel s’adresse ce jeu. Ce qui est normal. Le joueur (ou la joueuse) cible de Nintendo a connu la NES étant enfant, la SNES en tant qu’adolescent. Il était normal que la Nintendo 64 soit un peu plus adulte.

Le scénario ? Il prend la suite de Doom 2. Suite à un rapport du Doom Guy, les bases démoniaques installées sur Phobos et Deimos sont bombardées. Malheureusement, malgré les efforts déployées, les forces maléfiques ont trouvé le moyen de revenir incognito. De nouveau, le Doom Guy est envoyé sur les lunes de Mars pour régler une nouvelle fois leur compte aux forces maléfiques.

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