Asturix 4 : ah, le syndrome « Encore une nouvelle interface graphique »…

Asturix, c’est une distribution linux née en 2008, créé à l’origine par une personne originaire de l’Asturie, Luis Ivan Cuende… Assez précoce, car si on en croit la page d’information sur le site officiel :

Asturix born in 2008 as an idea of a very very young guy, Luis Iván Cuende.
When Luis Iván was 12 he thought that his region (Asturias, Spain) needed a Linux distribution.

Bref. La version 4 qui est sortie il y a un mois, le 10 janvier 2012. Suite à un commentaire sur un article précédent, j’ai eu envie de la tester.

J’ai donc lancé mon wget et téléchargé l’ISO en 64 bits.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://asturix.com/isos/rsync/asturix4-amd64.iso
–2012-02-11 08:05:39– http://asturix.com/isos/rsync/asturix4-amd64.iso
Résolution de asturix.com… 91.121.103.151
Connexion vers asturix.com|91.121.103.151|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 656500736 (626M) [text/plain]
Sauvegarde en : «asturix4-amd64.iso»

100%[======================================>] 656 500 736 1,86M/s ds 5m 54s

2012-02-11 08:11:33 (1,77 MB/s) – «asturix4-amd64.iso» sauvegardé [656500736/656500736]

Puis j’ai lancé la machine virtuelle habituelle.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom asturix4-amd64.iso -boot order=cd -no-frame &

Ayant lancé directement l’installation, j’ai été étonné de sa faible gourmandise : seulement 4,4 Go demandés… Elle est basée sur la Ubuntu 11.10, et donc utilise son installateur. Et comme la plupart des dérivées d’ubuntu, elle n’utilise pas Unity, mais – encore va-t-on me dire – une interface dédiée, du nom de « On ».

Espace disque nécessaire pour l'installation d'Asturix 4.0

Et le morceau de choix : uniquement en html5, css3 et javascript… En gros, l’idée utilisée par la Fondation Mozilla pour Firefox, Thunderbird et le projet communautaire affilié, SeaMonkey, sauf que dans le cas de XUL, la base est en xml et non en html.

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Comice OS 4 : pitié, dites-moi que c’est vraiment une béta…

Comice OS, c’est le nouveau nom de PearOS, distribution copiant sans vergogne sur l’interface de MacOS-X.

J’avais étrillé la distribution dans sa version 3. Chose que j’ai horreur de faire, car ce n’est pas dans ma nature de casser un projet à un tel point.

Pour sa version 4, la version remixée d’Ubuntu Linux a changé de nom. Et se paye un nouveau site sur un joomla à peine modifié. J’ai donc utilisé VirtualBox pour profiter du gnome-shell personnalisé, dixit la page « features » sur le site officiel de la distribution.

La première ISO proposé serait, dixit le blog de la distribution, une version béta 1.

L’installation est très légère, seulement 8 Go demandés. Tout cela pour la distribution, une suite bureautique, quelques outils classiques, et une belle interface. Pour info, sur mon archlinux qui utilise Gnome Shell, LibreOffice, Gimp, VLC, et je ne sais combien d’autres outils, il n’y a que :


[fred@fredo-arch ~]$ df -h
Sys. fich. Taille Util. Dispo Uti% Monté sur
rootfs 9,6G 4,2G 4,9G 47% /
/dev 1,9G 0 1,9G 0% /dev
/run 2,0G 348K 2,0G 1% /run
/dev/sda4 9,6G 4,2G 4,9G 47% /
shm 2,0G 280K 2,0G 1% /dev/shm
/dev/sda2 119M 19M 94M 17% /boot
/dev/sda5 452G 68G 362G 16% /home

Oui, seulement 4,2 Go… Euh, y a pas comme un os quelque part ?!

Sur l’installation, rien à redire. Mis à part une gueulante de l’installateur qui ne présage rien de bon pour la suite.

Erreur à l'installation de ComiceOS

L'écran de connexion de ComiceOS

Mais c’est par la suite que cela se gâte. Non seulement l’interface n’est pas en français au redémarrage même si on peut toujours essayer – plus ou moins en vain – de passer l’ensemble dans une autre langue.

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Mais non, c’est pas compliqué d’installer la Frugalware Linux en mode texte ! :)

Et pour être plus précis, avec la version 1.6rc2 qui sort officiellement demain. En effet, dans le but de préparer la sortie de cette nouvelle étape de préparation de la nouvelle version stable de la Frugalware Linux, des images ISO d’installation sont déjà présentes sur les miroirs.

Note : au moment où j’ai rédigé cet article, le gestionnaire pacman-g2 souffrait d’un vilain bug pour rapatrier les paquets, donc il m’a fallu jouer du ctrl+c et relancer les commandes. Mais un correctif a été mis en route, donc…

J’ai été sur le dépot francophone, et j’ai pu voir la présence d’un fichier du doux nom de « frugalware-1.6rc2-x86_64-cd1.iso »

Je l’ai donc récupéré. Et pour avoir un affichage pas trop saccadé dans Gnome 3, j’ai pris VirtualBox.

Pour l’installation, j’ai conservé le mode texte. L’installateur est assez simple. Pour le partitionnement, j’ai choisi celui-ci, à savoir :

  • Première partition, 7500 Mo, en ext4 affectée à /
  • Deuxième partition, 4096 Mo, affectée à swap
  • Le reste, en ext4 affecté à /home

Lors de l’installation, je n’ai sélectionné le paquet « base ». Ensuite, après avoir donné un mot de passe à root, et créé un compte utilisateur, j’ai redémarré la machine virtuelle, et on se connecte en root. Pour les commandes qui suivent, je me suis basé sur le wiki de la Frugalware Linux. Avant toute chose, on fait une mise à jour de la base installée :


pacman-g2 -Syu

On commence par installer quelques outils et configurer le son :


pacman-g2 -S nano zip unzip alsa-utils 7zip opennptd iptables

On configure le son en lançant alsamixer. Ensuite, une fois les jauges réglées, on enregistre les paramètres avec alsactl store.

On rajoute ensuite xorg et les polices :


pacman-g2 -S xmessage xsetroot xinit xorg-server corefonts font-bh-ttf font-bh-type1 ttf-bitstream-vera dejavu-ttf sdl_ttf artwiz-fonts liberation-fonts

Note : si on est sur un portable, le paquet « xf86-input-synaptics » est fortement conseillé.

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KDE SC 4.8 : un grand cru de l’environnement de bureau.

Dans une vie précédente, j’ai utilisé KDE 4.3, ce qui remonte à environ 2 ans et demi. J’avoue que je n’ai pas eu envie de me plonger dans KDE entre temps, mais la sortie de la version de KDE SC 4.8 m’a donné envie de le faire. J’ai donc installé dans une machine virtuelle Qemu-KVM, une distribution archlinux 64 bits.

Au moment où je rédige cet article, KDE SC 4.8.0 est encore dans le dépot [testing] de la distribution, et donc demande l’activation de ce dernier. Pour l’installation, je n’ai pas cherché la finesse : bien qu’il existe un découpage en méta-paquets, j’ai demandé l’installation de la totalité de l’environnement, ce qui a demandé quelque chose comme 2 Go ? 😉

Installation de KDE SC 4.8

L’installation s’est résumé à faire un :


yaourt -S kde

La traduction française ?


yaourt -S kde-l10n-fr

J’ai ensuite rajouter une extension qui permet d’utiliser le moteur webkit en lieu et place de khtml dans konqueror.


yaourt -S kwebkitpart

Une fois l’ensemble lancé, est on surpris par la légèreté de l’affichage. La barre des tâches qui contient le menu K est joliment stylisé. Le bouton qui permet de gérer les gadgets est simple, loin du clinquant de l’époque KDE 4.2 / 4.3.

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0 Linux epsilon : la distribution qui est tout sauf nulle !

J’avais jadis parlé de la 0linux, et je n’avais pas eu franchement de chance à l’époque.

J’ai donc profité de la sortie de la version « Epsilon » pour essayer la distribution plus en profondeur. J’ai récupéré l’image ISO, puis j’ai réutilisé l’image disque créé avec l’article concernant la Mageia 2 alpha3. Soyons écologique, recyclons 😉

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c ftp://ftp.igh.cnrs.fr/pub/os/linux/0linux/iso_dvd/0linux-epsilon-DVD.iso
–2012-01-12 19:56:54– ftp://ftp.igh.cnrs.fr/pub/os/linux/0linux/iso_dvd/0linux-epsilon-DVD.iso
=> «0linux-epsilon-DVD.iso»
Résolution de ftp.igh.cnrs.fr… 193.50.6.138
Connexion vers ftp.igh.cnrs.fr|193.50.6.138|:21…connecté.
Ouverture de session en anonymous…Session établie!
==> SYST … complété. ==> PWD … complété.
==> TYPE I … complété. ==> CWD (1) /pub/os/linux/0linux/iso_dvd … complété.
==> SIZE 0linux-epsilon-DVD.iso … 1796093952
==> PASV … complété. ==> RETR 0linux-epsilon-DVD.iso … complété.
Longueur: 1796093952 (1,7G) (non certifiée)

100%[====================================>] 1 796 093 952 239K/s ds 84m 10s

2012-01-12 21:21:05 (347 KB/s) – «0linux-epsilon-DVD.iso» sauvegardé [1796093952]

J’avais déjà expliqué l’installateur dans l’article précédent, celui-ci n’ayant que peu évolué je n’y reviendrais pas. Et il fait bien son travail si on fait attention à ce que l’on fait.

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Mageïa 2, alpha3 ? « Houston, we’ve had a problem ! » :)

En ce vendredi 13, l’alpha3 de la Mageia Linux 2 est sortie. N’étant pas superstitieux, cela portant malheur (Merci Pierre Desproges), j’ai voulu voir ce que contient cette version instable de la future Mageïa 2. 41 ans et 9 mois après le célèbre accident qui faillit couter la vie à 3 astronautes, ceux d’Apollo 13, d’où le clin à la célèbre phrase de Jack Swigert

Etant donné que les images LiveCDs sont indisponibles au moment où je rédige l’article, et qu’une installation réseau risque d’être longue à faire voire déconseillée le jour d’une sortie d’ISO, j’ai récupéré l’image DVD en 64 bits. Puis j’ai créé un disque virtuel de 32 Go en version taille fixe. C’est toujours un léger plus au niveau de la vitesse d’installation.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp-stud.hs-esslingen.de/pub/Mirrors/Mageia/iso/cauldron/Mageia-2-alpha3-x86_64/Mageia-2-alpha3-x86_64-DVD.iso
–2012-01-13 07:58:01– http://ftp-stud.hs-esslingen.de/pub/Mirrors/Mageia/iso/cauldron/Mageia-2-alpha3-x86_64/Mageia-2-alpha3-x86_64-DVD.iso
Résolution de ftp-stud.hs-esslingen.de… 129.143.116.10
Connexion vers ftp-stud.hs-esslingen.de|129.143.116.10|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 4334813184 (4,0G) [application/x-up-download]
Sauvegarde en : «Mageia-2-alpha3-x86_64-DVD.iso»

100%[====================================>] 4 334 813 184 1,51M/s ds 53m 40s

2012-01-13 08:51:41 (1,28 MB/s) – «Mageia-2-alpha3-x86_64-DVD.iso» sauvegardé [4334813184/4334813184]


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/zero of=disk.img count=32 bs=1G
32+0 enregistrements lus
32+0 enregistrements écrits
34359738368 octets (34 GB) copiés, 488,665 s, 70,3 MB/s
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom boot.iso -boot order=cd &

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DreamLinux 5.0 : quand le rêve n’est pas au rendez-vous.

La DreamLinux, c’est un mélange de Debian GNU/Linux Testing, avec Xfce et Plank (un outil à la Cairo Dock développé par l’équipe d’Elementary OS). Je sais que présenté ainsi, c’est pas extraordinaire. Mais même si j’avais entendu parler de cette distribution – à une époque payante, à moins que je confonde avec une autre distribution basée sur Debian GNU/Linux et Xfce ? – je n’avais jamais eu l’envie de m’y plonger.

J’ai donc lancé mon petit wget, et j’ai récupéré l’image ISO uniquement en 32 bits de la distribution.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp.snt.utwente.nl/pub/os/linux/dreamlinux/Dreamlinux-5.iso
–2012-01-09 10:59:12– http://ftp.snt.utwente.nl/pub/os/linux/dreamlinux/Dreamlinux-5.iso
Résolution de ftp.snt.utwente.nl… 2001:610:1908:a000::149:20, 130.89.149.20
Connexion vers ftp.snt.utwente.nl|2001:610:1908:a000::149:20|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 1011875840 (965M) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : «Dreamlinux-5.iso»

100%[====================================>] 1 011 875 840 513K/s ds 2h 6m

2012-01-09 13:05:40 (130 KB/s) – «Dreamlinux-5.iso» sauvegardé [1011875840/1011875840]

Et j’ai créé un disque virtuel de 32 Go en taille fixe, pour éviter des ralentissements à l’utilisation. Il faut dire que la distribution semble assez gourmande coté place demandée, la page officielle annonçant 8 Go requis pour l’installation

HARDWARE REQUIREMENTS:
i686 CPU – 32bits, 512 MB RAM, DVD drive,
8GB free HDD or Flash Disk.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/zero of=disk.img bs=1G count=32
32+0 enregistrements lus
32+0 enregistrements écrits
34359738368 octets (34 GB) copiés, 533,035 s, 64,5 MB/s
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Dreamlinux-5.iso -no-frame -boot order=cd &

Au premier démarrage, il ne faut pas oublier que la clavier est en anglais.

L’installation se fait simplement. Un redémarrage, puis on peut créer le compte utilisateur, et après un dernier démarrage, DreamLinux est utilisable. Même si un petit passage de l’outil « Dream Linux / Distro upgrade » n’est pas du luxe 😀

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Paldo, 22 mois après… Où en est le syndrome YAPF ?

En février 2010, je m’interessais au phénonème YAPF, « Yet Another Package Format » pour « Encore un format d’empaquetage ». J’avais fait alors mumuse avec la Paldo GNU/Linux, une distribution assez minimaliste d’origine helvétique qui emploie un outil en C#, upkg pour gérer les paquets.

J’ai eu envie de voir ce qu’elle devenait, car les distributions « grand public », ça finit par lasser un peu 😀

J’ai donc récupérer la dernière version image stable, et j’ai lancé mon environnement de test habituel :


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom paldo-live-cd-x86_64-stable.iso -boot order=cd &

Et je dois dire que la version live nous propose directement un Gnome 3.2 (en mode « fallback »). L’installateur est assez sobre, et propose les principales langues pour que l’utilisateur soit à l’aise.

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Foresight Linux 2.5.2… Circulez, y a – malheureusement – pas grand chose à voir :(

J’avais jadis parlé de la version 2.0.3 de la Foresight Linux, en juillet 2008.

Je n’avais pas été super enchanté à l’époque par la distribution. Car malgré un système de paquet innovant et complexe à utiliser, la distribution était quand même sympathique.

J’ai donc récupéré l’ISO de la version 2.5.2, sortie mi-décembre 2011, puis j’ai créé un disque virtuel de 32 Go en dur… Si on prend un disque dynamique, l’installation dure… très longtemps.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/zero of=disk.img count=32 bs=1G
32+0 enregistrements lus
32+0 enregistrements écrits
34359738368 octets (34 GB) copiés, 444,938 s, 77,2 MB/s
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom foresight-2.5.2+2011.12.12-x86_64-dvd1.iso -boot order=cd &

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SalixOS 13.37… La slackware pour les humains ayant quelques notions d’informatique :)

J’avais testé pour noël 2009 la version 13.0.2 de la SalixOS.

Deux ans – à quelques jours près – sont passés, j’ai donc voulu voir l’évolution de cette distribution dérivée d’une des plus anciennes distributions survivante des tous débuts de l’aventure linuxienne.

J’ai donc récupéré l’image ISO de la version xfce 64 bits, mais il existe aussi des versions plus ou moins g33k3sques : KDE, fluxbox et pour les plus fanatiques du minimalisme, avec RatPoison.

J’ai donc lancé mon environnement habituel, puis l’installation a commencé.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom salix64-xfce-13.37.iso -boot order=cd &

Nul besoin d’avoir un installateur avec des beaux boutons arrondis ou un diaporama de fonctionnalité. C’est le genre d’outils que l’on ne voit que rarement lors d’une utilisation d’une distribution gnu/linux, sauf si l’on est adepte du « distro hopping ».

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