Il m’arrive de recevoir des courriers électroniques qui me demandent : quelle distribution choisir ? Avec presque 300 distributions indexées encore vivantes, fin avril-début mai 2015, sur la bible de l’actualité linuxienne, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin sans avoir de détecteur de métaux pour se simplifier la tâche.
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Voici donc une série de cinq commandements pour vous permettre de dégrossir votre recherche. Les listes ci-dessous sont aussi exhaustives que possible.
Premier commandement : Tu n’iras pas au-dela de la première génération descendante des distributions mères.
Par distribution mère, je parle des distributions nées entre 1992 et 2002 et toujours en vie de nos jours. Par ordre alphabétique :
- Archlinux (née en 2002)
- Debian GNU/Linux (née en 1993)
- Gentoo Linux (née en 1999) et sa « jumelle » Funtoo Linux plus simple d’accès par endroit
- Red Hat Linux (née en 1994) surtout connue pour son projet communautaire Fedora Linux (né en 2003)
- Slackware Linux (née en 1993)
- SuSE Linux (née en 1994) surtout connue pour sa dérivée OpenSUSE
Si on prend leurs descendantes directes les plus connues, cela donne principalement :
- Manjaro Linux
- Ubuntu et ses saveurs officielles : Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Gnome, Ubuntu Mate, Ubuntu Kylin
- Sabayon Linux (en piteux état !) ou encore la Calculate Linux
- CentOS Linux ou encore la Scientific Linux. Sans oublier l’excellent Viperr.
- SalixOS
- Pour OpenSUSE, je n’ai rien qui me viennent à l’esprit 🙁
Pour la Debian GNU/Linux, je rajouterai des projets comme la HandyLinux par exemple. Les rares exemples de distributions « petites-filles » qui valent la peine ? LinuxMint, Emmabuntüs sont les deux premiers noms qui me viennent à l’esprit.
J’allais oublier une distribution qui me tient à coeur, la descendante de la mythique Mandrake Linux, j’ai nommé la Mageia.
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