En vrac’ mercurien… euh, marsien ;)

Un rapide en vrac’ uniquement culturel. Pour changer et publié avec quelques heures d’avance ! Et marsien ? Mardi, c’est le jour du dieu Mars (Arès pour les grecs), sauf erreur de ma part.

Côté livres et apparentés ?

  • Dans la catégorie « roman à éviter après avoir lu l’extrait proposé gratuitement », je demande « Régis » de James Osmont. Outre la couverture qui est peu attrayante, je n’ai pas accroché au personnage psychotique et surtout à l’utilisation des attentats de novembre 2015 comme point de départ chronologique. À vous de voir, car les coups et les douleurs
  • Si vous aimez les romans noirs, qui font un peu penser à l’ambiance du « Nom de la Rose » pour le côté unité de lieu, alors « De pierre et de sang » pourra vous plaire. Merci à Agnès de me l’avoir fait découvrir.
  • Pour finir, un petit peu d’auto-promotion pour mon dernier roman en accès libre. Après sa disponibilité sur Atramenta, je l’ai rajouté sur Kobo sans DRMs. Pour Amazon et sans DRMs ? En cours, car il est encore payant pour le moment, même si c’est pour l’euro symbolique, du moins au 19 avril 2016. Sa gratuité ne saurait tarder.

Côté musique ?

  • Prenez de la pop, rajoutez du psychédélique, un peu de rock, et secouez bien. Vous obtiendrez l’album « Watermelon Summer » d’Annabelle Chairlegs.
  • Dans la catégorie pop-rock indépendant et originaire du pays de l’érable, je demande le groupe Chocolat… 🙂
  • Dans le genre WTF, je demande Desampa qui mélange musique électronique, soul et r’n’b. C’est du spécial 😉

Voila, c’est tout pour aujourd’hui, mais c’est déjà pas mal, non ? 🙂

À plus !

« Nuits macabres » de Christelle Morize : un bon roman policier et fantastique, c’est possible ! :)

C’est via l’article des 4 ans du blog « Destination Passions » et l’opération anniversaire, courant du 9 au 13 avril 2016, que j’ai pu acquérir gratuitement un exemplaire numérique du dernier roman en date de Christelle Morize.

« Nuits macabres » est un roman qui mélange le policier et le fantastique. L’histoire commence en septembre 2014 dans la ville de Toul. Un homme est retrouvé sauvagement assassiné. Benjamin Delavaut, officier de police et enfant de la ville, se retrouve chargé de cette enquête un peu déroutante.

On peut alors se demander ce que viennent faire dans cette galère trois étudiants en master de journalisme ? Pourquoi les faits divers macabres ont tendance à s’amonceller ?

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Point d’étape à trois jours de la publication de mon prochain roman.

Comme je l’avais annoncé dans un billet en vrac’ de la fin mars 2016, je vais publier – ou j’aurais publié – le lundi 11 avril 2016 mon dernier gros écrit en date, un roman d’uchronie qui fait 168 pages au format brouillon.

Contrairement à mes autres oeuvres « longues », celle-ci sera en libre téléchargement. Je m’en expliquerai plus longuement dans l’article concernant la publication sur Atramenta sur les raisons qui m’ont poussé à agir ainsi.

Je voulais juste revenir sur la génèse de l’oeuvre qui ne sera jamais inscrite au panthéon des romans d’uchronie. En février 2015, aux alentours de mon 41ième anniversaire, j’ai une phrase qui me vient en tête, et un sujet qui finit par se matérialiser. J’ai envie de rédiger une uchronie. Loin de chefs d’oeuvre comme « Le maître du Haut-Chateau » de Philip K. Dick ou encore « Roma æterna » de Robert Silverberg.

C’était un défi que j’avais envie de relever. J’ouvre alors mon exemplaire de LibreOffice, et je commence à taper les premières phrases (qui n’ont que peu évoluées dans la version finale) de mon texte uchronique. Pour conserver un minimum de volonté d’aller jusqu’au bout de la rédaction, je rédige l’épilogue de ce qui devait être une nouvelle d’une quarantaine ou d’une cinquantaine de pages.

Puis des événements personnels m’ont obligé à mettre au ralenti le projet. Ce que je voulais boucler en un à deux mois, à savoir une nouvelle d’une cinquantaine de pages, se transforme en une création plus longue, étant donné que je ne voulais pas laisser en plan les personnages auxquels je venais de donner vie. Finalement, au mois de septembre, j’arrive à la fin de la première version du texte. Je demande alors à Didier « IceMan » de me donner ses premières impressions. En me basant sur ses remarques et sur celle d’Isabelle Rozenn-Mari, je m’attelle à une relecture qui fait disparaitre l’équivalent de 3 pages.

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Le blues du blogueur influent…

Non, je ne me prends pas pour un monstre sacré comme Manuel Dorne, que cela soit dit. Comment pourrais-je l’être, moi qui n’affiche aucune publicité sur mon blog depuis septembre 2005.

Moi qui refuse avec la régularité d’une horloge helvétique les propositions d’articles sponsorisés. Bien que ce ne serait pas de refus pour améliorer mon ordinaire financier dans l’absolu.

Ce qui me permettrait de m’équiper d’un ordinateur avec un core i5 avec 8 go de mémoire vive en remplacement de mon vieillissant Athlon X2-215 et 4 Go de mémoire vive acheté en juillet 2010 que je compte faire mourir de vieillesse. Fermons cette parenthèse rapide.

J’ai constaté que pour ma part mon humble audience (qui doit tourner dans les 1200 à 1300 pages vues quotidiennement), ce qui me laisse loin derrière le plus méchant prof de maths de la blogosphère francophone, est parfois comparable à un honeypot. En informatique, ce pot de miel permet d’attirer et de piéger des méchants hackers qui aurait envie de vous faire des misères.

Dans le cas de mon blog à la relativement faible audience, c’est un pot de miel pour les artistes de l’audio ou de l’écrit pour me parler de leurs dernières productions. Dans le but que je parle de leur oeuvre et que leur référencement sur Google monte un peu 🙂

Je tiens à remercier les groupes et musiciens qui me contactent pour tenter leur chance. Cela m’a permis de découvrir des albums comme ceux de Red Forest ou encore The Fourth Is Bearded. Sans oublier Kingdom Of Erang.

Je tiens pour principe de remercier les groupes et artistes qui m’ont contacté, leur promettant au minimum une écoute de leur production, au mieux un article en bonne et due forme.

Cependant, j’ai pu noter depuis quelques mois que j’ai de plus en plus de personnes qui me suivent sur twitter qui semblent gratter du papier avec plus ou moins de réussite. Sans jamais vraiment intéragir par la suite. Ce qui a tendance à empester le faisandé.

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« L’enjeu » de Wendall Utroi : un thriller pour les personnes pas forcément fans du genre ?

Je dois dire que j’apprécie le monde de l’auto-édition, qu’elle soit musicale ou scripturale, même s’il faut procéder à des fouilles archéologiques pour tomber sur des oeuvres intéressantes.

En mai 2014, je parlais du premier roman de Wendall Utroi. Après un roman de Fantasy, Wendall a remis le couvert avec un deuxième thriller, « L’Enjeu ».

Sorti début février 2016 chez Amazon – je sais, la Kindle pue ! – au format numérique et papier, Wendall nous propose donc son deuxième thriller.

Au début de l’histoire, nous trouvons Élisabeth qui se réveille dans un lieu froid, inconnu. Elle finit par découvrir qu’elle n’est pas seule, et les questions s’accumulent pour elle.

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En vrac’ culturel et mercurien.

Comme chaque mercredi – ou presque – un billet orienté culture.

Côté livre ?

Côté musique ?

Bon mercredi !

Ah, l’inamour entre la blogosphère littéraire et les auteur(e)s auto-édité(e)s…

Depuis quelques temps, on assiste à une forme de guerre froide entre la blogosphère litteraire et les auteur(e)s auto-édités. Les coups volent bas, et on peut penser que c’est la norme dans cette guerre qui ne fait qu’une gagnante au final : l’industrie de l’édition classique.

Tout a commencé avec un article sur le blog de Sophie Adriansen, au titre franchement « aimant à clics » : « Je ne lis pas d’auto édition »

Outre le fait qu’elle dénonce l’acharnement des certaines personnes, elle y va aussi un peu fort avec le passage suivant :

Généralement, on choisit l’auto-édition parce que :

A – On a envie d’autonomie… de LI-BER-TÉ !!!

B – Son projet a été refusé par une ou plusieurs maisons d’édition !

(Rayez la mention inutile)

Puis, on décide quand même de continuer alors que les signaux étaient négatifs :

A – Parce qu’on pense être un génie incompris.

B – Parce qu’on retentera l’édition plus tard (sur un malentendu, on peut conclure) !

C – Parce qu’on est fêlé du bocal…

Sympathique comme morceau recopié d’un blog de BD, article intéressant soit dit en passant.

Comme le veux la troisième loi de Newton qui dit « L’action est toujours égale à la réaction ; c’est-à-dire que les actions de deux corps l’un sur l’autre sont toujours égales et dans des directions contraires. », un blogueur du côté de l’auto-édition réplique d’une manière tout aussi vive dans un article tout autant « aimant à clic » que l’article de Sophie Andriansen, « La liste noire des blogs et sites qui ne vous chroniqueront PAS ».

Outre le fait que c’est une attaque frontale contre la blogosphère littéraire, l’intro est déjà une mise en bouche qui laisse penser que le canon de 75 est de sortie :

[…]
Plutôt que de s’entredéchirer, je crois qu’il serait plus constructif pour les auteurs comme pour les lecteurs de signaler les blogs qui font preuve de sectarisme intellectuel, en se cantonnant aux œuvres traditionnellement éditées. Ceci, afin de ne pas perdre son temps et son énergie à contacter des blogueurs qui non seulement n’auront aucun intérêt pour ce que vous écrirez, mais, du haut de leur tour d’ivoire, vous jetteront à la figure leur refus plein de morgue.
[…]

Pour moi, ce n’est pas la réponse. Car les problèmes viennent des deux clans et des trous de fesses mal lavés en quantité proportionnelle. Je vais m’expliquer plus avant, ayant le cul entre deux chaises, étant blogueur (depuis 2005), et auteur édité (via Larousse) / auto-édité (via atramenta, les deux depuis 2014).

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Opération transparence 2015… L’inutile donc indispensable billet du blogueur indépendant :)

En décembre 2014, je jouais l’ouverture et la transparence sur les dépenses du blog. Maintenant que l’année 2015 est bientôt finie, voici donc le billet récapitulatif des dépenses qui joue la transparence.

C’est le genre de billet inutile qui est cependant indispensable pour une seule et bonne raison : ils permettront de rétablir la confiance. Sauf contre indication, les achats concernent des albums en CD. Si certains résultats sonnent bizarre, c’est que ce sont des conversions depuis des £ ou des $ 🙂

De plus, cela ne concerne que les achats culturels dont j’ai parlé sur le blog de manière extensive.

Janvier 2015 :

Février 2015 :

Mars 2015 :

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Bilan culturel de l’année 2015 : bonnes surprises et déceptions.

Le mois de décembre est celui des bilans. Deux billets sur le plan des bilans. Le premier concerne la culture. Un deuxième à venir d’ici quelques jours sera consacré au logiciel libre.

Dans les bonnes surprises ? Que ce soit sur le plan lecture (j’avoue que j’ai du lire peut-être dix romans depuis janvier 2015), il y a eu trois très bonnes surprises dans les auteurs que je lisais déjà : Le premier volume de la nouvelle série de Jérôme Dumont « Le bout du tunnel » et le tome 7 des aventures de « Rossetti et MacLane » et le dernier opus d’Isabelle Rozenn Mari, « Souviens-toi Rose ».

Dans les découvertes, j’ai aussi apprécié le premier livre de Maurice Desborels.

Passons à la musique maintenant.

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Vive la bande dessinée francophone indépendante !

Je dois avouer que je suis jaloux des dessinateurs de bande dessinées. Je n’ai jamais réussi à raconter des histoires en dessins. J’ai été bercés avec des classiques comme Robin Dubois, Léonard (et son disciple souffre-douleur), Gaston Lagaffe (et son gaffophone), sans oublier Tintin, Astérix ou encore les Tuniques Bleues.

En vieillissant et en arrivant sur internet, j’ai appris à connaître et apprécier la BD francophone indépendante. Spécialement trois auteurs, que je vais citer par ordre alphabétique : Bruno Bellamy, Simon « Gee » Giraudot et Péhä.

Bruno Bellamy, c’est le premier que j’ai connu, à l’époque du magazine indépendant « Le Virus Informatique » qui était un peu le « Canard Enchainé » de l’informatique personnelle. Je l’ai suivi par la suite, spécialement à cause des bellaminettes qui sont souvent accompagnée de félins domestique. J’ai bien aimé sa « Romance de Mars » qui reprend tous les ingrédients de ses oeuvres : un dessin léché, des jolies bellaminettes et une histoire qui se tient. Si vous n’avez pas encore lu « Romance de Mars », je vous le conseille, et j’attends la suite avec impatience.

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