SolusOS is a modern operating system based on the hugely popular Linux distribution, Debian. It works out of the box the second you install it, with great support for all your modern day computing needs.
Ce que l’on peut traduire par :
SolusOS est un système d’exploitation moderne basé sur la très populaire distribution Linux, Debian. Il fonctionne dès que vous l’installez, avec un grand support de tous vos besoins informatique moderne.
Bref, du classique. Dommage cependant que le moderne se limite pour le moment à une distribution 32 bits avec le cautère sur la jambe de bois qu’est la technologie PAE.
J’ai donc utilisé l’iso fraîchement récupérée, puis j’ai créé une machine virtuelle VirtualBox typique pour une Debian 32 bits.
Seul ennui de l’installation : après avoir choisi la langue, le fuseau horaire et le clavier, il faut définir manuellement les partitions 🙁
Dommage, car cela aurait été bien un partitionnement assisté, voire automatisé. Autre ennui, le redémarrage en fin d’installation ne se fait pas et on s’aperçoit que l’on a un noyau linux 3.0… Je veux bien que le noyau linux 3.0 soit une version en support long, mais quand même… Bah, redémarrons à la main l’ensemble 😉
Pour mémoire, j’avais écrit cela au début de l’épopée de Mageïa, et je suis content de m’être finalement trompé :
Un autre logiciel que je sens très mal : le fork de Mandriva Linux, j’ai nommé Mageia. Pour être clair, la sortie de la Mandriva Linux 2010.2 semble être un autre clou dans le cercueil du fork de Mandriva Linux. Tout ce que Mageia propose pour le moment ? Un logo et l’annonce d’une version Alpha0… courant Avril 2011, dixit le wiki…
Bref, même si la 2ième RC de la Mageïa n’est pas encore sortie officiellement, on peut l’installer si on est patient, en passant par l’installation réseau. Oui, c’est moins rapide qu’avec une ISO dédiée, mais au moins, on peut l’installer. Au lieu de 5 minutes, il faut en compter 45 à 50.
L’image ISO minimale à récupérer « Wired network-based install CD » est disponible à l’adresse : http://www.mageia.org/fr/2/
J’ai donc créé une machine virtuelle VirtualBox pour tester la Mageïa ainsi proposée.
J’ai ensuite sélectionné comme miroir de téléchargement un miroir francophone proche, puis l’installation graphique s’est lancée. Coté environnement, inutile de préciser que j’ai choisi Gnome 🙂
OpenBSD 5.1 est sorti il y a 3 jours. Parmi les nouveautés, Gnome 3.2.1 (mais uniquement en mode restreint, le gnome shell ne doit pas être assez sécurisé), un Xorg qui s’autoconfigure, bref que des bonnes choses.
Double quart d’heure de célébrité sur la dixième édition du podcast « En flux Libre ». D’abord de 52’41 » à 52’47 » (concernant un certain environnement de bureau) et plus long, de 1h13’15 » à 1h15’38 » concernant le blog. Le flux est téléchargeable sur le site officiel du podcast.
Il est sorti : Gimp 2.8 est enfin sorti avec son mode mono-fenêtre optionnel entre autres. Reste plus qu’à attendre qu’il soit disponible sur les dépots des différentes distributions.
Donc de quoi ravir les utilisateurs qui ne peuvent pas voir en peinture ni Gnome Shell, ni Unity.
J’ai donc récupéré l’image ISO en 64 bits de la LMDE proposant le duo Mate – Cinnamon, et lancé l’ensemble dans une machine virtuelle VirtualBox.
Dès le démarrage, on est accueilli par un environnement Mate 1.2.0 à la sauce Linux Mint, le Mint Menu étant l’interface de lancement des programmes.
J’ai ensuite lancé l’installateur, et j’ai choisi un partionnement personnalisé, à savoir :
Une partition de 10 Go pour /
Une partition swap de 4 Go
Le reste pour la partition /home
L’installateur est celui de la Linux Mint Debian Edition précédente, donc c’est assez simple à l’utilisation. A noter que l’installateur s’occupe de récupérer les traductions dès le départ, ce qui permet d’avoir rapidement un environnement dans une langue familière à l’utilisateur.
Au rédémarrage, le gestionnaire de connexions mdm (en clair le dernier gdm revampé à la sauce Mate) nous accueille. On peut alors choisir l’environnement Mate, Cinnamon ou une connexion sécurisée.
Xfce 4.10 est sorti il y a quelques jours, et j’ai donc profité de l’arrivée de Xfce 4.10 sur les dépots stables d’Archlinux pour installer la nouvelle version de l’environnement de bureau. Pourquoi sur Archlinux et pas une autre distribution ?
Simplement que c’est la version la plus proche de l’originale, au moins dans sa présentation, même si la version proposée par Devil505 pour Frugalware est aussi très agréable à l’usage.
J’ai rajouter l’outil « System Printer Config » (pour gérer l’imprimante) sans prise de tête.
Coté « gnome3isation », le menu utilisateur à droite de la barre de menus, ou encore le panneau de configuration qui propose des options comme celle proposée par Gnome3, comme un outil à la dconf.
J’ai fait un tour rapide de Xfce 4.10 en vidéo.
Je dois dire que j’ai été franchement impressionné par la stabilité, la rapidité et l’évolution constante et à petite touches de l’environnement xfce. La version 4.12 sera une nouvelle étape importante, le code utilisant gtk2 sera remplacé par du code utilisant gtk3…
J’ai été aussi agréablement surpris par la faible gourmandise de l’ensemble, même en le poussant un peu. Je n’ai pas réussi à dépasser 12% d’occupation mémoire, sachant que la machine virtuelle était dotée de 2 Go de mémoire vive. Soit en gros, un peu plus de 200 Mo au maximum…
Autant dire que l’environnement est assez léger sans être d’une austérité imbuvable. Ce qui est plutôt sympathique.
A vous de voir maintenant. Je proposerais dès que possible un guide d’installation de Xfce 4.10 révisé, et dans plusieurs formats.
Etant donné que la Ubuntu 12.04 sort dans 3 jours (et aura presque surement un Mozilla Firefox obsolète par défaut), j’ai été sur http://cdimages.ubuntu.com/ et j’ai récupéré la dernière image ISO dans le répertoire daily-live/current/ pour récupérer la distribution en état au 21 avril dernier.
J’ai ensuite lancé VirtualBox et installé la distribution dans une machine virtuelle. Enfin, une fois l’installation faite, j’ai vérifié la présence de mise à jour, et fait prendre en compte les pilotes additionnels de VirtualBox pour avoir un affichage en mode « 3D ».
Chose notable, la distribution ne prend que 4,5 Go à l’installation, c’est pas si mal que cela 😀
Pour cette nouvelle publication « les libristes sont aussi des humains », je vais laisser la parole à Botchchikii, de l’association « Peuple Loup« .
Bonjour, pourrais-tu te présenter en deux ou trois phrases ? Quatre seront acceptées aussi.
Bonjour Fred. Je m’appelle Mickael et je suis président d’une association d’éducation à l’environnement nommée Peuple Loup, pisteur de loup et bénévole à plein temps depuis 9 ans. Utilisateur convaincu de Frugalware depuis pas mal de temps, je tiens aussi un petit blog qui parle de mes découvertes dans le monde du libre.
Pour les amateurs de distributions vraiment libre au point que Richard M. Stallman pourrait l’utiliser, la Trisquel GNU/Linux 5.5 (basée sur la Ubuntu 11.10) est sortie. Dommage que la version de Gnome 3.2 proposée soit encore le mélange « couscous-boulette » d’Ubuntu 11.10 : le terminal de la génération 3.0, Nautilus de la génération 3.2… Bof quoi.
Bonjour, pourrais-tu te présenter en deux ou trois phrases ? Quatre seront acceptées aussi.
Salut Fred, eh bien je m’appelle Ghislain Larose, j’ai 22 ans, métis d’origine malgache, et habitant à 30 km de Rennes, actuellement en formation pour valider mes acquis en maintenance informatique (paraît qu’il y a du boulot). Originaire de Saint Malo, fiancée et avec un bébé de 3 mois (mon ptit Yannis, dédicace!).
Passionné de musiques électroniques (et de musique en général), musicien amateur à mes heures perdues. Passionné de foot (allez l’OM!) et de Formule1 (mais on s’en fout nan?)