Maintenant qu’Acid3 est de l’histoire ancienne, vive la branlette de neurones avec html5test ! Première partie.

La dernière fois que j’ai parlé du test html5, c’était il y a… 15 mois.

A l’époque, j’avais utilisé Chromium 6, Epiphany 2.30.2, Mozilla Firefox 3.7 pré-alpha6. A l’époque le test comptait 300 points. Au moment où je rédige cet article, il est monté à 450 points.

Dans cette première partie, je vais parler des résultats de :

Un deuxième article sera consacré à Internet Explorer 9, Opera et Safari, les trois sous MS Windows 7 (récupéré depuis un DVD de sauvegarde de ma machine actuelle) sous VirtualBox.

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Tiens, 100/100 à Acid3 pour les navigateurs modernes ? ;)

La première fois que j’ai parlé du test acid3, c’était en… mars 2008. Etant abonné au bug qui gère le suivi des normes utilisées par le test acid3, à savoir le bug 410460, j’ai pu lire un commentaire de Lars Gunther qui annonce que le test est passé entièrement désormais, suite à quelques modifications intrinsèques au test en lui-même.

Un article posté sur Google Plus par Ian Hickson (vous savez le réseau qui monte même s’il est encore en béta fermée) donne des explications complémentaires.

N’ayant pas le dernier Mozilla Firefox stable sur ma machine (le 6.0.2 au moment où je rédige cet article, j’ai fait une capture d’écran avec une version compilée maison du code en « alpha ».

Ca fait plaisir finalement de voir cela 🙂

La descente aux « enfers » d’Internet Explorer… au profit de Google et de Google Chrome ?

En 2001, Internet Explorer, c’était 95% à 97% du marché des navigateurs. Il a fallu attendre 2004, et la sortie de Mozilla Firefox 1.0 pour voir la tendance s’inverser, puis s’accentuer avec l’arrivée de Google Chrome fin 2008 début 2009.

Selon Statcounter, entre août 2010 et août 2011, Internet Explorer est passé de 51,34 à 41,85%… 10% en un an, soit près d’un pourcent par mois…

Google Chrome bondit de 10,76 à 23,14%. Quand à Mozilla Firefox, le challenger historique, perd un peu de terrain, passant de 31,09% à 27,54%.

Même s’il est mathématiquement faux d’additionner des pourcentages, on peut dire que les navigateurs basés sur du code source libre, même si 95% des internautes se contrefoutent (à tort ?) de la liberté du logiciel, à savoir Mozilla Firefox et Google Chrome sont passés de 41,85 à 50,68%.

Donc, plus de la moitié des utilisateurs de navigateurs ont un navigateur vraiment moderne. Et on dépasse les 57% si on additionne le mal-aimé Opera qui pointe à 1,67%, et le navigateur d’Apple, Safari (5,18%)

Plusieurs facteurs jouent en faveur de Google Chrome. Déjà, il est fourni avec de nombreux outils. Cet après-midi, en mettant à jour le duo CCleaner et Defraggler sur le PC d’une amie, par deux fois on m’a proposé d’installer Google Chrome. Il suffit de ne pas faire super attention, et boum, Google Chrome est installé.

Ce qui a joué aussi en faveur de Google Chrome, c’est la lenteur de l’arrivée de Mozilla Firefox 4 et la pas trop mauvaise image de Google auprès des internautes.

Car il faut être réaliste. Pour pouvoir imposer plus ou moins son OS en ligne, Google a tout mis en place : trousse bureautique, gestionnaire de photos, réseau social (bien conçu par ailleurs, et si vous voulez une invitation, n’hésitez pas à m’écrire), et bien sur, navigateur internet.

Bien que la grosse artillerie ait été mise en route à la Fondation Mozilla, je pense que Google Chrome (et son pendant libre Chromium) finira – à terme, d’ici 18 mois à deux ans – par dépasser allègrement les 50% d’utilisateurs.

J’ai installé Chromium sur ma machine, et je l’utilise de temps à autre. Et je pense que si la Fondation Mozilla n’arrive pas à regagner un peu de terrain d’ici un an, sa part de marché baissera dans les 10% à 15%, ce qui serait dommage pour les navigateurs internet qui finiraient par ronronner et ne plus autant innover, surtout vu la tendance à la dématérialisation de nos vies.

Je me permettrais de jouer ma « madame Irma » et pronostiquer – à plus ou moins 2% près – les parts de marchés pour Noël prochain.

  • Internet Explorer : 37%
  • Google Chrome : 27%
  • Mozilla Firefox : 23%
  • Apple Safari : 5,5%
  • Opera : 1,90%

On se donne rendez-vous à Noël pour savoir si me je suis planté dans les grandes largeurs ? 😉

Il n’y a pas eu que la sortie de Mozilla Firefox 4.0 hier !

Suite à mon précédent article – qui m’a valu un taillage de costard maison sur les commentaires de l’article de zdnet – et l‘explosion du compteur de téléchargements recensée pour la sortie de Mozilla Firefox 4.0 (un peu plus de 4,9 millions au moment où je rédige cette bafouille), il serait surement bon de parler d’autres projets du logiciel libre qui ont sortie une nouvelle version (majeure ou mineure) depuis le début de la semaine.

A tout seigneur, tout honneur : LibreOffice est sorti en version 3.3.2. Quelques corrections de bugs et de modification au niveau des traductions. Prochaine étape ? La version 3.4 prévue pour début mai prochain.

Pour les fans de vieilles distributions, la Slackware Linux continue son approche lente mais sure de la version 13.37. Une 3ième RC est sortie, contenant – entre autre chose – un certain Mozilla Firefox 4.0…

Gnome 3 – hautement controversé pour le Gnome-Shell – arrive petit à petit à la fin du developpement de sa version 3.0. La version 2.91.92, alias Release Candidate est – sur le point d’être – disponible. J’attends cependant la disponibilité officielle sur ma distribution pour l’installer.

C’est pas grand chose, mais les médias sont ainsi faits qu’il est tellement plus facile de placer le focus sur un seul évènement que de parler de la diversité de l’actualité… Bah, et contrairement à ce que disait les Beatles, le « We wanna all change the World » dans Revolution, j’y crois pas trop 😉

En vrac’ rapide et libre.

Je n’ai pas eu une grosse envie d’écrire cette semaine. Pour compenser, un petit en vrac’ rapide et libre.

C’est tout pour aujourd’hui !