Have The Moskovik : un très bon deuxième album !

Have The Moskovik nous propose son deuxième opus, au titre tout aussi court que le premier : « Là où les idées vertes incolores dorment furieusement« .

Après le premier album « Une Simple Théorie des Glaces en Terrasse » (sortie en décembre 2011), le groupe sort avec le label Strandflat leur deuxième album.

Trois versions sont disponibles :

  1. Numérique uniquement avec une piste bonus
  2. Deluxe simple : numérique, CD et 33 tours
  3. Deluxe limitée : la deluxe simple avec un 45 tours contenant la piste bonus.

Les deux dernières étant disponibles courant novembre 2013.

Après le coup de coeur du premier opus dont j’avais parlé dans un billet en novembre 2012, j’ai voulu voir si l’alchimie qui était la moëlle du premier album était encore présente dans le deuxième opus.

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Mercredi musical, première partie.

Un mercredi musical assez chargé. Qui nécessite la rédaction d’un deuxième article plus long 🙂

Mais commençons par ce premier billet, un peu court, mais c’est normal 🙂

Et pour finir ce cours, un extrait du prochain album de Mazzy Star.

Dayazell : un voyage musical dans l’espace et le temps.

Depuis que j’ai découvert grâce à une ancienne collègue Dead Can Dance, j’ai toujours été intéressé par les chants traditionnels. Et après la découverte via un ami artiste peintre du groupe Blackmore’s Night qui mélange rock, folk, sonorités médiévales et renaissance, j’ai cherché à trouver des musiques qui mélangeraient toutes ses influences. Ou un maximum d’entre elles 😉

Autant chercher une aiguille dans une botte de foin… Et parfois, on trouve l’aiguille. Cette aiguille, c’est le quatuor Dayazell qui a proposé son premier album éponyme en 2012.

Ce quatuor est composé de Isao Bredel (chant, nyckelharpa, tambour), Yann Voegel (flûtes à bec, ney, chalumeau, chant, bendir), Yann Righetti (cistre, oud, tambour, flûte, chant) et de Guilhem Puech (darbouka, tar, tambour, bendir, flute, chant)

Avec cet album, on fait un voyage dans le temps et dans l’espace.

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En vrac’ rapide et culturel

Un petit billet en passant consacré à la culture 🙂

C’est tout, désolé, mais j’ai pas grand chose à mettre en ce moment 🙁

Mes deux derniers coups de coeur musicaux ;)

Navigant dans les meilleurs ventes physiques de Bandcamp, j’ai trouvé deux albums qui m’ont vraiment emballé.

Le premier, c’est l’album de musique néo-classique de Lucy Claire. Dans son court album de trois pistes, elle arrive à mélanger les instruments classiques et la musique de la vie moderne. Album sorti en août 2013.

Le deuxième est un peu plus « classique », c’est l’album solo de la bassiste du groupe irlandais JJ72, Hilary Claire Woods. Il s’agit de l’album « The River Cry ». Si vous aimez les mélodies douces, rêveuses, pop, et une voix qui vous caresse les oreilles, foncez 😉

L’album est sorti en février 2013.

Bon week-end 😉

« For The people » des Thee Dang Dangs : un retour plaisant à la fin des années 1960.

Thee Dang Dangs est un quatuor du Colorado formé par Rebecca Williams (au chant), Broox Pullford, Ray Korea et Scotty Gervais. Leur premier album – et je regrette de ne pas avoir découvert le groupe avant – propose une musique teintée de rock psychédélique, de surf rock, bref des sonorités comme celle qu’on pouvait entendre à la grande époque d’Haight-Ashbury à la fin des années 1960.

« For The People » est sorti début août 2013.

Je dois avouer que j’ai toujours aimé cette période musicale un peu spéciale, et que l’un de mes albums préférés de cette époque, c’est « The Piper At The Gates Of Dawn » des Pink Floyd.

Dès la première piste, on sent le son typique des années 1960. Et ça fait du bien. Et on est parti pour 37 minutes de voyage dans le temps. Les titres sont assez courts (de 1 minute 19 à 6 minutes 05 pour la plus longue). Comme des coups de pinceaux sur une toile.

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« Vagrant » du groupe « Ysma » : quand le rock progressif allemand s’exprime, ça fait du bien aux oreilles !

En fouillant sur Bandcamp, je suis tombé sur l’album « Vagrant » du groupe allemand Ysma. C’est un quartet de Münster, formé en 2009, qui mélange avec bonheur de nombreuses influences. L’album est proposé sous licence Creative Commons CC-BY-NC-ND.

Mis à part la 11ième piste qui dure plus de 9 minutes 30, les morceaux sont assez court pour du progressif, dépassant à peine les 6 minutes. J’ai rédigé l’article en l’écoutant, ce qui explique le coté un peu « brut » de l’article 😉

C’est un groupe qui propose un rock progressif teinté de sonorités métal, mais aussi d’autres influences. Après une courte intro, le morceau « The Wanderer » arrive et nous propose une piste qui ne renie quelques influences jazzy.

La troisième piste « Remember Jenny Samkis » est plus rock, bien que l’influence métal avec une rythmique assez rapide se faire sentir.

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En vrac’ rapide et culturel.

Pour animer un peu ce mois d’août décidément léthargique, un petit en vrac’ rapide et culturel.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 7 : Les génériques les plus étranges de la télévision française.

Mon enfance a été bercée par les génériques les plus étranges et parfois vraiment clichés et stéréotypés qu’ils soient possible d’imaginer.

Préparer le pop-corn, y a du lourd. L’un des premiers génériques, c’est celui d’une émission produite par Christophe Izard. Non, ce n’est pas « L’Ile aux Enfants », mais « Les visiteurs de Noël » qui a été diffusé entre 1976 et 1982.

Générique entièrement animé, les clichés sont nombreux. Je vous laisse les découvrir. J’ai pris la version chantée par Marie Myriam.

Deuxième générique qui m’a marqué car long, et assez étrange (pour ne pas dire pire), c’est celui de la série « Les 400 coups de Virginie ».

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Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 6 : Les adaptations des génériques des séries américaines entre 1975 à 1985.

Dans le précédent épisode, j’évoquais le massacre de certains génériques de séries japonaises et autres sentai produit entre 1975 et 1985 et diffusé sur les « trois chaines en couleurs » pour reprendre une partie des paroles de l’adaption de « No particular place to go » de Chuck Berry par Claude Moine alias Eddy Mitchell.

J’avoue qu’à l’époque, le nombre de séries américaines que je regardais proposait soit le générique d’origine, souvent instrumental soit en langue anglaise.

Cependant, il m’est resté en mémoire quelques séries dont parfois la traduction du titre d’origine est un massacre pur et dur. Commençons par la série maudite, « Diff’rent Strokes » (1978-1986), plus connu en France sous le nom de « Arnold et Willy ».

Cette série parle de l’adoption par un riche homme d’affaire de deux enfants noirs ceux de sa gouvernante mourante, joués par Gary Coleman et Todd Bridges. Cette sitcom est très célèbre. Mais le destin des acteurs et actrices est assez morbide.

Gary Coleman (Arnold) : ruiné par ses parents qui avait siphonné ses cachets, il sera condamné pour coups et blessures. Ne trouvant plus de rôle, il deviendra gardien de parking et décède en 2010 à l’age de 42 ans.

Todd Bridges (Willy en VF, Willis en version originale) : est tombé dans le duo drogue et alcool, puis a connu la prison.

Dana Plato (Virginia en VF, Kimberly en version originale) : arrêtée pour vol à main armée, a posé pour Playboy et a tourné dans un film érotique. Suicide par overdose de médicaments en 1999. Elle avait 34 ans.

Voici le générique original, avec la chanson anglaise. Au moins, la musique d’origine a été conservée pour la VF.

Passons ensuite à une des plus célèbres séries policières américaines, multi-rediffusée et encore de nos jours. Oui, je parle bien de « Starsky et Hutch », en version originale « Starsky and Hutch » (1975-1979).

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