Toujours dans le domaine musical du Royaume Uni, le groupe Lorraine McCauley et les Borderlands propose la première vidéo tiré de leur album « Light in the darkest corners » avec le titre « What if »
Navigant dans les meilleurs ventes physiques de Bandcamp, j’ai trouvé deux albums qui m’ont vraiment emballé.
Le premier, c’est l’album de musique néo-classique de Lucy Claire. Dans son court album de trois pistes, elle arrive à mélanger les instruments classiques et la musique de la vie moderne. Album sorti en août 2013.
Thee Dang Dangs est un quatuor du Colorado formé par Rebecca Williams (au chant), Broox Pullford, Ray Korea et Scotty Gervais. Leur premier album – et je regrette de ne pas avoir découvert le groupe avant – propose une musique teintée de rock psychédélique, de surf rock, bref des sonorités comme celle qu’on pouvait entendre à la grande époque d’Haight-Ashbury à la fin des années 1960.
Je dois avouer que j’ai toujours aimé cette période musicale un peu spéciale, et que l’un de mes albums préférés de cette époque, c’est « The Piper At The Gates Of Dawn » des Pink Floyd.
Dès la première piste, on sent le son typique des années 1960. Et ça fait du bien. Et on est parti pour 37 minutes de voyage dans le temps. Les titres sont assez courts (de 1 minute 19 à 6 minutes 05 pour la plus longue). Comme des coups de pinceaux sur une toile.
En fouillant sur Bandcamp, je suis tombé sur l’album « Vagrant » du groupe allemand Ysma. C’est un quartet de Münster, formé en 2009, qui mélange avec bonheur de nombreuses influences. L’album est proposé sous licence Creative Commons CC-BY-NC-ND.
Mis à part la 11ième piste qui dure plus de 9 minutes 30, les morceaux sont assez court pour du progressif, dépassant à peine les 6 minutes. J’ai rédigé l’article en l’écoutant, ce qui explique le coté un peu « brut » de l’article 😉
C’est un groupe qui propose un rock progressif teinté de sonorités métal, mais aussi d’autres influences. Après une courte intro, le morceau « The Wanderer » arrive et nous propose une piste qui ne renie quelques influences jazzy.
La troisième piste « Remember Jenny Samkis » est plus rock, bien que l’influence métal avec une rythmique assez rapide se faire sentir.
Mon enfance a été bercée par les génériques les plus étranges et parfois vraiment clichés et stéréotypés qu’ils soient possible d’imaginer.
Préparer le pop-corn, y a du lourd. L’un des premiers génériques, c’est celui d’une émission produite par Christophe Izard. Non, ce n’est pas « L’Ile aux Enfants », mais « Les visiteurs de Noël » qui a été diffusé entre 1976 et 1982.
Générique entièrement animé, les clichés sont nombreux. Je vous laisse les découvrir. J’ai pris la version chantée par Marie Myriam.
Deuxième générique qui m’a marqué car long, et assez étrange (pour ne pas dire pire), c’est celui de la série « Les 400 coups de Virginie ».
Dans le précédent épisode, j’évoquais le massacre de certains génériques de séries japonaises et autres sentai produit entre 1975 et 1985 et diffusé sur les « trois chaines en couleurs » pour reprendre une partie des paroles de l’adaption de « No particular place to go » de Chuck Berry par Claude Moine alias Eddy Mitchell.
J’avoue qu’à l’époque, le nombre de séries américaines que je regardais proposait soit le générique d’origine, souvent instrumental soit en langue anglaise.
Cependant, il m’est resté en mémoire quelques séries dont parfois la traduction du titre d’origine est un massacre pur et dur. Commençons par la série maudite, « Diff’rent Strokes » (1978-1986), plus connu en France sous le nom de « Arnold et Willy ».
Cette série parle de l’adoption par un riche homme d’affaire de deux enfants noirs ceux de sa gouvernante mourante, joués par Gary Coleman et Todd Bridges. Cette sitcom est très célèbre. Mais le destin des acteurs et actrices est assez morbide.
Gary Coleman (Arnold) : ruiné par ses parents qui avait siphonné ses cachets, il sera condamné pour coups et blessures. Ne trouvant plus de rôle, il deviendra gardien de parking et décède en 2010 à l’age de 42 ans.
Todd Bridges (Willy en VF, Willis en version originale) : est tombé dans le duo drogue et alcool, puis a connu la prison.
Dana Plato (Virginia en VF, Kimberly en version originale) : arrêtée pour vol à main armée, a posé pour Playboy et a tourné dans un film érotique. Suicide par overdose de médicaments en 1999. Elle avait 34 ans.
Voici le générique original, avec la chanson anglaise. Au moins, la musique d’origine a été conservée pour la VF.
Passons ensuite à une des plus célèbres séries policières américaines, multi-rediffusée et encore de nos jours. Oui, je parle bien de « Starsky et Hutch », en version originale « Starsky and Hutch » (1975-1979).
Lorsque j’ai entendu dire que leur nouvel album « Fire & Fortune » était disponible en précommande, j’ai sauté sur l’occasion. L’album est publié chez Navigator Records, un éditeur spécialisé dans la musique folk.
Et grace à la précommande, je l’ai reçu aujourd’hui, deux jours après sa sortie officielle 😉
Dès les premières mesures de la première piste, on se retrouve en terrain conquis : le jeu de guitare aérien de Ben Walker mélangé à la voix angélique de Josienne Clarke nous porte dans un monde de douceur, de nostalgie et de mélancolie.
Quand on est né dans les années 1970, on a le souvenir de certains sentai (les supers héros japonais en images réelles) et de certains dessins animés. On a aussi le souvenir de génériques souvent très guerriers, aux paroles souvent très recherchées. Mais les versions originales sont… originales souvent et spéciales 😉
Commençons par un des premiers sentai diffusés en France, « Uchu kara no messeji: Ginga taisen » devenu « San Ku Kaï » en France. On se souvient surtout de la musique très synthé disco d’Eric Charden. La version originale est plus « sobre ».
Faisons un bond de quelques années. Vers 1982 – 1983, une série est diffusée sur Antenne 2, « Uchuu Keiji Gavan » devenue « X-OR ». Je vous laisse découvrir la version originale du générique.
Mais le massacre ne s’arrête pas aux séries en images réelles. Parlons un peu des animés de la même période qui n’atteigne pas quand même le massacre du générique de « Dragon Ball Z » qui est un peu un cas d’école.
Je viens de finir le 7ème opus de la série Erica Falk, et je n’ai à dire qu’une chose : c’est le deuxième volume en trop pour la série. Déjà en juin 2012, je disais tout le mal que je pensais du précédent roman de la série, « La Sirène ».
Mais « Le Gardien de phare » est encore pire. Oui, c’est possible. Malheureusement…