En vrac’ déconfiné, épisode 1 :)

Puisque j’écris ce billet le premier samedi qui suit le début du déconfinement, allons-y gaiement !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Le 16 mai 2010, un certain Ronald James Padavona nous quittait des suites d’un cancer. Ah, d’accord, si je vous dit Ronnie James Dio, c’est mieux ? Un des titres tirés du dernier album enregistré avec les autres membres de Black Sabbath sous le nom de Heaven and Hell.

C’est tout pour aujourd’hui et c’est déjà pas si mal 🙂

Bon week-end 🙂

Culture et confinement…

En ce moment, j’ai l’impression de vivre dans « Un jour sans fin », vous savez le grand classique avec Bill Murray et Andy McDowell sorti en 1993.

J’en suis arrivé à une saturation telle que je ne vois plus les semaines passer. Est-on lundi, mercredi ou vendredi, voire dimanche, je l’ignore. J’en profite donc pour essayer de me cultiver un peu entre deux vidéos que je poste sur les instances peertube sur lesquels j’ai un compte.

Il faut dire que parler du forcing de Microsoft pour imposer son navigateur Edge, c’est marrant et ça occupe !

Mais c’est aussi l’occasion pour découvrir certains films d’animation que je ne connaissais pas avant. Je dois avouer que j’avais laissé tomber les films Disney, même si les deux épisodes des aventures de Ralph m’ont fait rire aux éclats, spécialement le deuxième avec une trillion de références au grand nain ternet. Mais moins qu’une vieillerie que je n’avais pas vu : « Raiponce ».

Oui, je sais, ça date de 2010, mais étant célibataire sans enfant, je n’avais plus trop d’intérêt à visionner ce genre de film. Ce qui m’a fait échappé à la « Reine des Neiges ». Sur un conseil avisé, je me suis plongé dans la revisite du conte Rapuntzel des frères Grimm. Je dois dire que j’ai ri aux éclats durant une bonne moitié du film.

Que ce soit Pascal le caméléon ou encore Maximus le cheval qui se comporte comme un chien de chasse – on peut se dire que les scénaristes ont abusé de l’herbe qui fait rire – sans oublier les brigands de l’auberge du canard boiteux, y a de quoi se fendre la poire et plus d’une fois.

Mais il y a aussi des grosses déceptions comme le dernier épisode de l’énnéalogie Star Wars qui me fait dire : les épisodes 7 à 9 N’ONT JAMAIS EXISTÉ !

Désolé, quand on est énervé, ça soulage 🙂

Sinon, j’ai pu découvrir un excellent drama sud-coréen en 16 épisodes, « Goblin: The Lonely and Great God » dont vous trouverez un résumé sans aucune révélation à l’intérieur. Et c’est tant mieux, car les 16 épisodes qui durent entre 60 et 90 minutes sont excellents avec des rebondissements à chaque épisode.

Sur le plan musical, cela a été aussi l’occasion de découvrir que certains groupes de metal savent se la jouer débranché. C’est le cas de Persona qui a proposé en téléchargement à prix libre un concert acoustique. Entendre certains morceaux du groupe sans les guitares saturées, la batterie qui bastonne, c’est étonnamment bon !

Mis à part que je n’ai pas réussi à profiter du confinement pour me mettre à écrire à nouveau sur le plan littéraire, au moins, cela m’aura permis de découvrir quelques pépites et de vous les faire partager.

Vieux Geek, épisode 195 : Spyglass Mosaic, l’ancêtre de Microsoft Internet Explorer 1.0

Tout le monde se souvient de son premier jour sur Internet. De la première page web affichée, de l’excitation que l’on a eu alors. Mais pour aller sur Internet, il faut un navigateur web. Quand j’ai débuté, en 1996-1997, le choix était simple : soit le Netscape de l’époque, soit Internet Explorer de Microsoft.

Il y a une légende tenace qui veut que les deux navigateurs soient tiré du même navigateur, Mosaïc. C’est à moitié vrai, et à moitié faux. Car si Netscape est bien dérivé du Mosaic développé par le NCSA, Internet Explorer est basé sur le Mosaïc proposé par Spyglass Inc…

Le premier Microsoft Internet Explorer est tiré du pack Microsoft Plus pour MS-Windows 95. J’avais déjà parlé de cette extension payante en mai 2017. Internet est quelque chose de neuf quand sort MS-Windows 95 en août 1995. Même si Microsoft ne croit pas trop dans cette nouveauté, il faut qu’il propose un navigateur. En développer un depuis la feuille blanche : pas le temps et pas intéressant. C’est pour cela qu’il se tourne vers l’offre de Spyglass Inc.

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En vrac’ d’un dimanche de Pâques confiné.

Troisième billet en vrac’ depuis le début du confinement lié au covid-19… Et ce ne sera sûrement pas le dernier.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, une vidéo positive sur le monde du logiciel libre, comme quoi, il m’arrive d’en faire parfois !

Bon week-end prolongé 🙂

En vrac’ en direct du confinement, épisode 2

Un petit en vrac’ pour un confinement qui est bien parti pour durer au moins 6 semaines, le deuxième à mi-chemin de la fin… Avec un peu de chance !

Côté informatique et internet ?

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui. Bon courage !

« Parangon Circus » d’Altesia : attention, c’est du lourd :)

Il y a parfois des découvertes que l’on fait par pur hasard. Le premier album d’Altesia en fait partie. Pour l’apprécier, il y a plusieurs pré-requis : si on aime Opeth, toute la carrière (y compris le transitionnel et très moyen « Heritage »), la carrière solo de Steven Wilson et les morceaux qui explosent les compteurs en terme de durée, c’est bon.

Altesia est un groupe de Bordeaux qui se définit comme étant du metal progressif. Progressif c’est certain. Sur un album qui arrive à environ 57 minutes avec 3 pistes qui dépassent allègrement les 10 minutes, c’est difficile de dire le contraire. Metal ? Si on considère que le métal, c’est du chant guttural et point barre, partiellement.

Les inspirations « Wilsonniennes » se font entendre dès la piste d’introduction avec « Pandora ». Une guitare acoustique suivi de chants clairs franchement calmes. Le calme avant la tempête… Car un premier morceau plat de résistance vous attends au tournant.

Dès que « Reminiscence » commence on sent qu’on va s’en prendre plein la… Une ambiance à la « Porcelain Heart » d’Opeth mélangée avec des rythmes du rock progressif des années 1970 arrive… Une introduction d’environ 4 minutes, c’est du grand art.

La voix du chanteur qui arrive comme une fleur, ça fait bizarre ! Il y a bien entendu des bonnes grosses guitares saturées, mais aussi du saxophone qui donne un côté jazzy à la piste. Miam !

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En vrac’ de fin de semaine…

Commençons bien le mois de mars 2020 avec un billet en vrac’

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Un petit billet en ce mercredi hivernal.

  • Elle est enfin sortie, la Manjaro Linux 19.0… Même s’il y a des conneries monumentales comme l’ajout du support des snaps et autres flatpaks, elle a le mérite d’exister.
  • La LinuxMint Debian Edition 4.0 beta est enfin sortie, basée sur Debian Buster. Pas trop de retard pour une fois par rapport à sa base !
  • Dans la série des distributions GNU/Linux bizarre, je demande la GoboLinux 0.17 alpha, vous savez, celle qui jette à la poubelle l’arborescence d’unix pour cloner cette de MS-Windows…
  • La DGLFI de la semaine, la Releax OS apparemment créée depuis une feuille blanche.
  • La clownesque MakuluLinux est disponible dans une nouvelle version, la 2020 « Lindoz ». Youpi !

Côté culture :

  • Si vous aimez le rock progressif à la Steven Wilson ou celui proposé par Opeth depuis l’album Heritage, les créations des bordelais d’Altesia seront votre tasse de thé.
  • Sept ans après le premier album, Camille Feral a sorti en décembre 2019 le deuxième opus des Fantomes Courtois sous le titre « Monseigneur l’astre solaire ». De l’acoustique pour les fans de mélodies que l’on aurait pu entendre au 18e siècle 🙂

Puisqu’il faut rire du logiciel libre et de ses délires, voici l’épisode 7 des tutos à la con de Tonton Fred :

Bonne fin de journée ! 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

En cette Saint Valentin 2020, vrac’ons un brin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, mon dernier « C’est trolldi, c’est permis » où je m’amuse avec la vénérable et sacralisée Debian GNU/Linux.

Bon week-end 🙂

« Wintersongs » de Solventis : de la dark folk de haut vol.

L’oiseau bleu est parfois source de découvertes intéressantes. J’ai ainsi fait la connaissance d’un groupe toulousain de dark folk du nom de Solventis en jetant un oeil à un message du groupe de death metal mélodique Aephenamer. Outre le fait que cette fois j’espère pouvoir les voir en concert – après une occasion ratée lors de leur passage à Bordeaux en 2019 – il y a sur l’affiche l’annonce de la présence de Solventis.

J’ai effectué quelques recherches. Outre la classique page sur Facebook, il y a aussi une page bandcamp avec le premier EP du groupe sorti en août 2018.

Sur le plan technique, c’est un EP des plus classiques : 5 titres pour un peu plus de 17 minutes.

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