Merci la sérendipité : l’exemple en musique par Mobius et Todesbonden.

Même si le mot n’est pas encore défini dans le dictionnaire de l’Académie Française – et comme disait Clemenceau de manière fleurie : « Donnez-moi quarante trous du cul et je vous fais une Académie française. », ce terme et cette notion d’origine anglophone peut se définir ainsi : « trouver autre chose que ce que l’on cherchait ».

Pour le premier, c’est en suivant le mot clé metal – comme c’est étonnant – que je suis tombé dessus via la framasphere*, qui est un point d’accès au réseau social décentralisé diaspora*.

Mobius est un groupe français spécialisé dans le metal progressif auquel s’ajoute des tendances symphoniques, de world music et d’une dance traditionnelle réunionnaise, le maloya. Oui, ça apparait comme bizarre au premier abord. L’album est sorti en octobre 2016.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Il sera assez court cette semaine.

Côté logiciel libre et informatique :

Côté livres ? Rien. C’est plus simple !

Côté musique ?

Pour finir, une vidéo culte de mars 1976 sur le changement d’heure… Étant donné que le changement d’heure vers celle d’hiver arrive pour la France métropolitaine.

Bon week-end !

En vrac’ mercurien.

Un rapide en vrac’ mixte de milieu de semaine, ça faisait longtemps que je n’en avais pas fait un ! Il y a de quoi se mettre sous la souris ! 🙂

Commençons par le logiciel libre :

Côté musique et livres ?

Voila, c’est tout pour aujourd’hui et bonne journée.

Mardi culturel, deuxième partie : « The Island » de Kylver

Deux billets en ce mardi 11 octobre 2016, à destination culturelle. Après un billet consacré à l’excellent court roman d’Olivier Saraja, passons aux plaisirs auditifs.

Le 6 octobre, Kylver groupe de rock progressif instrumental aux influcences metal a sorti son deuxième album « The Island ». Après un premier album « The Mountain Ghost » dont j’ai parlé en juillet 2015, j’attendais d’oreilles fermes le deuxième opus.

Comme pour le premier, on est face à un EP « long ». EP en nombre de pistes, car il n’y en a que 5 pistes pour environ 42 minutes… Oui, ça fait une moyenne de 8 minutes par piste, ce qui justifie l’appellation progressive revendiquée par le groupe 🙂

Qui oserait affirmer le contraire avec la piste d’introduction et ses quelques 13 minutes ? Hein, qui ? 🙂

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« Deadwood » de Cyclocosmia : un bon premier album !

S’il y a un mélange d’ingrédients dans le metal qui me tape directement dans l’oreille, c’est le suivant : chant clair féminin, chant guttural masculin, avec des pistes progressives et / ou symphoniques.

C’est assez pointu, et cela limite donc le nombre de coups de coeur potentiels. Heureusement pour mes finances. Dans ce domaine, je pourrais citer Rise of Avernus, Alwaid ou encore Lethian Dreams à ses débuts.

À cette courte liste vient se rajouter Cyclocosmia, groupe originaire de Londres.

Leur premier album, « Deadwood » est paru en avril 2016 sur Bandcamp.

56 minutes au compteur et 10 pistes. Cela promet une bonne moyenne pour chacun des titres. La piste la plus longue pointe à 9 minutes, la plus courte ? Seulement 3 🙂

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