Top 5 des moins bonnes distributions que j’ai pu avoir sous la main.

En faisant des recherches sur mon blog, j’ai retrouvé le premier article ressemblant à un test de distribution. En août 2006 (6 ans bientôt), je faisais le premier brouillon d’articles qui seraient par la suite plus étouffée. Je taillais rapidement une croupière à une distribution qui ne doit plus exister de nos jours : La FreeSpire.

En 6 ans, j’ai testé de nombreuses distributions, parfois parlant de plusieurs versions au fil des mois.

J’ai eu donc envie de faire un top 5 du pire.

Commençons par PearOS. Cette dérivée d’Ubuntu (connue à une époque sous le nom de ComiceOS) est surement ce qu’il ne faut pas faire : une copie d’un environnement bien connu, mais tellement lourd et plantogène qu’on s’étonne quand ça tombe en marche. Pour faire simple : « Vous voulez un Mac mais vous n’avez pas le moyen de vous payer une machine de la marque à la pomme. PearOS 5 (anciennement ComiceOS), une copie qui n’est pas des plus réussies sort. Un conseil, libre à vous de le suivre, économisez, rien ne vaut l’original ! »

Deuxième distribution : OpenMamba. J’avais parlé de cette distribution en novembre 2010. Une version récente disponible (encore en développement ?) est si légère qu’elle ne demande pas moins de… 13 Go d’espace pour s’installer, 20 Go conseillés… Alors que même des distributions aussi complète qu’elle (Linux Mint par exemple) demande largement moins de place pour s’installer. –

Troisième distribution : GoboLinux. Cette distribution qui n’a plus sortie de version stable depuis avril 2008 est assez spéciale. Elle part du principe qu’il faut appliquer une hiérarchie de fichiers à la MS-Windows au lieu d’utiliser le standard FHS. Pourquoi pas ? Mais vu son succès, on peut penser que ce n’était pas la meilleure idée du monde 🙂

Quatrième distribution : OpenSuSE. Et oui, la distribution au caméléon. Pourquoi ? Entre autre le fait que c’est la seule à proposer des logiciels se basant sur Mono (quels sont les logiciels irremplaçables écrits en Mono ?), c’est une des distributions qui reste bien des années après les autres, une des rares à ne pas être proposée en version purement 64 bits.

Sauf erreur de ma part, les autres distributions, dont Fedora Linux ont du proposé des distributions 64 bits « pure » depuis au moins deux ou trois ans. Une des dernières Fedora mixte, c’est pas la 9 ?

Dernière distribution : la KahelOS. Cette distribution dérivée d’Archlinux proposant Gnome est une horreur. Non respect des « normes » archlinuxienne, très chargée. Pour mettre à jour, c’est kafkaïen. Il est limite impossible de mettre à jour la distribution installée, entre les conflits de fichiers, les paquets obsolètes, ceux en conflit. Dans ce cas, il est largement plus simple – et meilleur pour la santé mentale – de faire une installation d’Archlinux en rajoutant Gnome par dessus !

Voila, et pour vous, quel est le top 5 des pires distributions GNU/Linux ?

En vrac’ rapide et libre

Un petit en vrac’ rapide et libre pour commencer la semaine.

C’est tout pour aujourd’hui 😀

Archlinux est-elle en train de se vider un chargeur de AK-47 dans le pied ?

Archlinux se base sur le principe du KISS, en clair la simplicité érigée en règle immuable. Cependant, une annonce sur la liste arch-dev-public a mis le feu aux poudres. Le fichier /etc/rc.conf (colonne vertébrale d’une distribution archlinux) se voit dépouillé de nombre de ses attributs. Au moment où j’écris cet article, le paquet contenant le nouveau /etc/rc.conf est dans le dépot testing.

D’ailleurs, j’ai même exprimé le fond de ma pensée sur la liste arch-general.

Autant dire que cette course à la simplicité entraine une forme de complexité, car au lieu d’un seul fichier, on se retrouve avec 6 fichiers à configurer, en plus du /etc/rc.conf.

Autant dire que cela risque de faire fuir des personnes de bonnes volontés, intéressée par une distribution toujours à jour, vers des distributions plus « connues », comme la Fedora Linux 17 qui me fait franchement de l’oeil.

Cela résume en un éclatement du fichier /etc/rc.conf, qui est réduit à son strict minimum) ; on se retrouve avec :

  • Pour les modules autorisés : /etc/modules-load.d/
  • Pour les modules bloqués : /etc/modprobe.d/blacklist.conf
  • Pour la « linguistique »: /etc/locale.conf (langue) et /etc/vconsole.conf (clavier)
  • Pour le nom de la machine sur le réseau : /etc/hostname
  • Pour le fuseau horaire : /etc/timezone

J’ai réussi à passer mon système avec un /etc/rc.conf monolitique vers cette version « éclatée ». Voici un mode d’emploi, merci VirtualBox pour m’avoir aidé 😉

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Vers une informatique de défiance ?

Nous vivons une époque formidable. Mais si ! Depuis des années, on nous parle de sécurisation de l’informatique personnelle. Je suis entièrement d’accord, il faut sécuriser l’informatique, surtout à une époque d’ultra-connectivité.

Cependant, l’énième avatar de cette volonté de sécuriser l’informatique, à savoir la technologie SecureBoot (et l’effet « indésirable » que cela entraînera à terme sur la communauté du libre au plaisir non dissimulée de Microsoft, comme je l’ai exprimé sur un article écrit pour Chatinux), risque de provoquer la naissance d’une informatique où la défiance sera la règle.

Depuis le projet « Palladium » de 2003, tous les efforts pour rendre l’informatique plus sure se résume à rajouter verrous sur verrous, clés sur clés. Depuis la célèbre puce Fritz les efforts ont été constants.

Les verrous numériques ont fait depuis longtemps la preuve de leur inefficacité ou de leur nuisance envers les utilisateurs honnêtes. Les verrous des DVD et des BluRay ont soit été cassés soient contournés. Cette course à l’armement sera sans fin.

Quand on me parle du principe de SecureBoot, qui n’autorise le démarrage que si la clé annoncée par le système d’exploitation est autorisée donc valide, ça me fait penser à une scène du film « Gattaca« .

Dans cette scène, on voit la population « valide » accéder à leurs lieux de travail en se basant sur une goutte de sang, comme une clé pour ouvrir une porte. Des outils vérifient que cette goutte de sang est celle d’une personne qui a le droit d’accès ou pas.

Mais il ne faut pas oublier que d’autres étapes de cette informatique signée existe dejà : par exemple l’AppleStore ou encore la fonctionnalité GateKeeper du futur MacOS-X Mountain Lion.

Car l’informatique dite « de confiance » ne pourra l’être sans une forme minimale de censure. Censure technologique qui sera l’utilisation de clé qui donnera l’autorisation ou non au système d’exploitation de lancer l’application.

D’ailleurs, le principe existe depuis des années sur MS-Windows, avec les pilotes dit WHQL. Cependant, on peut toujours installé un pilote non-WHQL, le système prévenant l’utilisateur.

On ne protègera pas uniquement l’informatique par l’obscurité et l’empilement de verrous plus ou moins solide. Un minimum de pédagogie et d’information est nécessaire.

SecureBoot est une mauvaise réponse à une bonne question : comment éviter que des logiciels vérolés ne démarre sur une machine ?

Et pour finir, je reprendrais la conclusion de mon article sur Chatinux :

Tirons donc notre chapeau à l’enseigne de Microsoft qui en combattant le problème des machines qui pourrait faire démarrer une version frelatée (piratée ?) d’un OS, cela aura comme effet “kiss-cool” de se débarrasser d’un concurrent minuscule : GNU/Linux. Quoique la communauté GNU/Linuxienne s’occupe très bien de son cas toute seule, comme j’ai pu l’écrire sur mon blog personnel, avec un billet teinté d’humour acide.

En voulant conforter l’utilisateur en lui disant : avec telle et telle technologie tu seras à l’abri, cela créera d’abord un sentiment fallacieux de sécurité et engendrera une défiance envers l’outil informatique au final.

PCBSD 9.1 beta 1 : attention, grosse version en vue ?

PCBSD, c’est un FreeBSD pour être humain. J’en ai déjà parlé sur le blog, la dernière fois, c’était en août 2011.

La version béta 1 de la version 9.1 est sortie récemment. Outre le fait qu’elle se base sur la bêta 1 de FreeBSD 9.1, elle apporte pas mal de nouveautés, dont un installateur que je trouve très sympathique, et surtout la possibilité d’avoir autre chose que KDE par défaut comme environnement de bureau. J’ai récupéré l’image ISO en 64 bits.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp.heanet.ie/mirrors/pcbsd/9.1-BETA1/amd64/PCBSD9.1-BETA1-x64-DVD.iso
–2012-07-18 19:04:49– http://ftp.heanet.ie/mirrors/pcbsd/9.1-BETA1/amd64/PCBSD9.1-BETA1-x64-DVD.iso
Résolution de ftp.heanet.ie… 2001:770:18:aa40::c101:c140, 193.1.193.64
Connexion vers ftp.heanet.ie|2001:770:18:aa40::c101:c140|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 3608305664 (3,4G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «PCBSD9.1-BETA1-x64-DVD.iso»

100%[====================================>] 3 608 305 664 744K/s ds 2h 1m

2012-07-18 21:06:08 (484 KB/s) – «PCBSD9.1-BETA1-x64-DVD.iso» sauvegardé [3608305664/3608305664]

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Unity sur Archlinux : le retour :)

Ayant entendu parlé via Phoronix de l’existence d’un dépot proposant Unity pour la Fedora Linux j’ai pu lire dans les commentaires qu’il y avait un dépot de paquets à compiler par soi-même pour obtenir unity sur Archlinux.

J’ai donc repris la machine virtuelle créée la veille , et après avoir rajouté alsa, gstreamer, networkmanager, cups et un xorg de base, j’ai en utilisateur classique récupéré le dépot git du port de Unity pour Archlinux :


git clone https://github.com/chenxiaolong/Unity-for-Arch.git

Si on suit le fichier README du portage, il y a quelques chose comme 75 paquets à faire recompiler, dans un ordre précis, même si deux ou trois paquets sont optionnels.

J’avais déjà tenté – sans grand succès – de faire fonctionner unity sur archlinux, le paquet disponible sur AUR est désormais plus que périmé

Et j’ai serré les fesses en lançant la compilation de chaque paquet, sachant que certains paquets officiels sont remplacés par des versions « spécifiques ». Liste non exhautive :

  1. glib2-ubuntu -> glib 2.0 with Ubuntu patches
  2. gtk2-ubuntu -> GTK toolkit 2.0 with Ubuntu patches
  3. gtk3-ubuntu -> GTK toolkit 3.0 with Ubuntu patches
  4. qt-ubuntu -> Qt toolkit with Ubuntu patches
  5. gconf-ubuntu -> A configuration database system
  6. gsettings-desktop-schemas-ubuntu-> Shared GSettings schemas for the desktop
  7. gnome-settings-daemon-ubuntu -> Daemon handling the GNOME session settings
  8. gnome-session-ubuntu -> GNOME Session Manager
  9. gnome-control-center-ubuntu -> Utilities to configure the GNOME desktop
  10. gnome-screensaver-ubuntu -> Screensaver and screen locking for GNOME
  11. metacity-ubuntu -> Lightweight GTK+ window manager
  12. gsettings-desktop-schemas-ubuntu -> Shared GSettings schemas for the desktop
  13. gnome-settings-daemon-ubuntu -> Daemon handling the GNOME session settings
  14. gnome-session-ubuntu -> GNOME Session Manager
  15. gnome-control-center-ubuntu -> Utilities to configure the GNOME desktop
  16. network-manager-applet-ubuntu -> Network Manager applet with indicator support
  17. gnome-bluetooth-ubuntu -> Gnome bluetooth applet with indicator support
  18. fixesproto-ubuntu -> X11 Fixes extension wire protocol
  19. libxfixes-ubuntu -> X11 misc. ‘fixes’ extension library
  20. xorg-server-ubuntu -> Xorg X server
  21. nautilus-ubuntu -> File manager and graphics shell for GNOME
  22. compiz-core-ubuntu -> Compiz core components
  23. libcompizconfig-ubuntu -> Compiz configuration system library
  24. compizconfig-backend-gconf-ubuntu -> GConf backend for Compiz
  25. compizconfig-python-ubuntu -> Compizconfig bindings for Python
  26. ccsm-ubuntu -> Compiz configuration manager
  27. compiz-plugins-main-ubuntu -> Compiz main plugins
  28. compiz-plugins-extra-ubuntu -> Compiz extra plugins

Inutile de préciser que cela prend un certain temps, même si on ne compile pas les paquets dédiés à kde ou xfce. La version spécifique de qt, qt-ubuntu prend environ 1 h 15… J’ai commencé à 17 h 33 ce 19 juillet, et l’ensemble des paquets a été terminé vers… 23 h 30… Oui, près de 6 heures pour compiler l’environnement au complet. Et encore, j’ai du rajouter lightdm et son paquet lightdm-gtk-greeter pour le lancer 🙂

Après le premier lancement, j’ai rajouter quelques outils de gnome, ainsi que Mozilla Firefox, LibreOffice ou encore Gwibber.

Une petite vidéo pour montrer l’ensemble en action. C’est loin d’être parfait, surtout que je suis resté aussi basique que possible, spécialement pour Light DM. J’avoue aussi que l’ergonomie d’Unity me laisse pantois.

Bilan rapide : le code semble avoir été travaillé pour devenir portable, mais c’est au prix d’une longue compilation. Ce qui m’a fait spécialement tiqué, c’est l’obligation de recompiler certains paquets « sensibles » comme le serveur X, alors que tous les autres environnements de bureau et gestionnaire de fenêtres qui existe ne demande aucune recompilation.

Il est aussi dommage que le menu global ne soit pas fonctionnel, à moins que je sois tombé sur une version portée qui souffre d’un bug dans ce domaine.Je terminerais en posant une question : pourquoi la LinuxMint a pris comme base mutter, devenant Muffin, pour gérer l’affichage de son interface Cinnamon ?

Et la même question pour le projet ElementaryOS qui utilise Gala (cf cet article de Devil505), sachant que c’est aussi un dérivé de mutter ?

Pourquoi les deux projets n’ont pas utilisé comme Canonical le code de Compiz ? J’avoue que je n’en ai pas la moindre idée.

Installons ArchLinux avec l’iso 2012.07.15, et les arch-install-scripts.

ArchLinux a proposé durant de nombreuses versions pour s’installer l’outil AIF. Cependant, celui-ci est mis temporairement de côté. Si vous n’avez pas envie d’utiliser les ISOs non officielles ArchBoot, la nouvelle et future ISO officielle proposera des scripts d’installation.

Ils sont assez arides, mais cependant, reste utilisable et laisse quand même une Archlinux installable plus facilement qu’une Gentoo. Merdre, c’est vrai, c’est pas trolldi 🙂

J’ai donc récupéré sur le miroir irlandais l’image ISO 2012.07.15. Elle ne fonctionne qu’en réseau, et propose par défaut de pouvoir démarrer aussi bien avec un noyau 32 que 64 bits. Une page de wiki explique les grandes lignes.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp.heanet.ie/mirrors/ftp.archlinux.org/iso/2012.07.15/archlinux-2012.07.15-netinstall-dual.iso
–2012-07-18 16:54:03– http://ftp.heanet.ie/mirrors/ftp.archlinux.org/iso/2012.07.15/archlinux-2012.07.15-netinstall-dual.iso
Résolution de ftp.heanet.ie… 2001:770:18:aa40::c101:c140, 193.1.193.64
Connexion vers ftp.heanet.ie|2001:770:18:aa40::c101:c140|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 387973120 (370M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «archlinux-2012.07.15-netinstall-dual.iso»

100%[======================================>] 387 973 120 531K/s ds 9m 53s

2012-07-18 17:03:57 (639 KB/s) – «archlinux-2012.07.15-netinstall-dual.iso» sauvegardé [387973120/387973120]

[fred@fredo-arch ISO à tester]

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En vrac’ rapide et libre.

Quelques liens pour un petit en vrac’, histoire que je puisse de nouveau « travailler » sur un vieux projet qui me tient à coeur.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui 🙂

e17-svn sur Archlinux ? Mais si, c’est possible ;)

L’arrivée prochaine d’une version stable d’e17 (en développement depuis 1999 !) m’a donné envie de voir l’ensemble sur Archlinux. J’ai donc utilisé une archlinux virtualisée, en utilisant Syslinux comme gestionnaire de démarrage pour éviter un bug avec grub2.

J’ai donc installé une archlinux « basique » avec Xorg. Il y a bien des paquets sur le dépot community d’Archlinux, mais ils sont un peu trop « vieux », datant du mois de mai dernier. J’ai donc utilisé le paquet « arche17 » pour installer l’environnement, qui reste encore assez restreint côté outils.

Ensuite, j’ai suivi l’ordre de compilation suivant des paquets pour éviter de me prendre la tête outre mesure :


eina-svn-arche17 - embryo-svn-arche17 - eet-svn-arche17 - evas-svn-arche17 - ecore-svn-arche17 -edje-svn-arche17 - efreet-svn-arche17 - e_dbus-svn-arche17 - emprint-svn-arche17 - eeze-svn-arche17 - elementary-svn-arche17 - e-svn-arche17 - e-modules-extra-svn-arche17

Pour le réseau ? Connman. Pour une fenêtre de ligne de commande ? Terminology via le paquet terminology-svn

Et pour le gestionnaire de connexion, elsa, outil officiel d’e17 pour cette fonction.

J’ai modifié le fichier /etc/inittab pour démarrer en init5 et en rajoutant la ligne de commande suivante :


x:5:respawn:/usr/sbin/elsa

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Emmabuntus 2 : une distribution GNU/Linux à vocation sociale.

Le 14 juillet 2012, le projet Emmabuntus a sorti une deuxième ISO de son système d’exploitation. Basé sur une Xubuntu 12.04 LTS, l’image ISO que j’ai récupéré via BitTorrent pèse dans les 3 Go.

A l’origine du projet, un coup de gueule de Patrick, bénévole chez Emmaüs, que l’on peut lire sur le Framablog.

Mon compère, le frétillant Cyrille Borne en avait parlé en avril dernier.  Ayant été contacté par un proche du projet, j’ai décidé de faire un article sur cette distribution, dont l’annonce de publication montre déjà la couleur et l’orientation du projet.

L’image est un LiveCD/USB installable de manière classique.

L’installation n’est pas excessivement gourmande, surtout quand on voit la quantité de logiciels proposées. En effet, à peine 4 Go… L’installateur est celui de la famille des Ubuntus, donc du solide et fonctionnel. En 5 minutes, l’ensemble est installé.

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