Acide Sulfurique ou soporifique ?

Une amie m’avait conseillé de découvrir l’écrivaine Amélie Nothomb avec son titre « Acide Sulfurique » sorti en 2005.

Couverture du livre "Acide Sulfurique" d'Amélie Nothomb

Pour mémoire, dans ce court roman en quatre parties d’à peine 200 pages, Amélie Nothomb nous plonge dans ce qui semble être le jeu ultime en matière de télé-réalité : un camp de concentration.

Si en 2005, grande époque des émissions à la Big Brother, le roman pouvait être intéressant, il a très mal vieilli. Non seulement l’intrigue est on ne peut plus prévisible, c’est surtout l’ennui qui marque la lecture de ce texte. J’avoue que je n’ai mis que 4 heures à boucler le livre.

Il est vrai que l’intrigue est intéressante, mais le texte n’est pas assez approfondi, comme si on sentait que cela ennuyait Amélie Nothomb de pousser un peu plus loin sa réflexion. 50 ou 100 pages de plus pour approfondir l’ensemble n’aurait pas été un mal.

A moins que cette volonté de faire court était un moyen de montrer la vacuité des émission de télé-réalité à la Big Brother ?

En tout cas, en ce qui me concerne, ce sera non pour la suite des oeuvres d’Amélie Nothomb.

En vrac’ rapide et libre…

Avant ce week-end prolongé au goût cacaoté 🙂

Allez, je vous laisse, j’ai un roman d’Haruki Murakami « sur le feu » 🙂

Quand l’industrie de l’inculture est coupée de la réalité…

Vous allez me dire : encore un article avec du déjà-lu auparavant. Il est vrai que l’industrie de l’inculture n’ayant pas voulu voir arriver le virage du numérique fait passer des lois iniques, ineptes et coûteuse pour maintenir en vie un modèle qui est techniquement obsolète : la rareté.

En effet, si avant l’arrivée en masse de l’internet, la rareté qui permet de maintenir plus ou moins artificiellement des prix élevés pour les produits culturels (frais d’impression, de gravure, de numérisation, de reproduction de galettes contenant de l’audio et ou de la vidéo, frais de distribution et de stockage) permettait de justifier des prix presque exorbitants, ce n’est plus le cas depuis la dématérialisation croissante des produits culturels.

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Dernier billet pour le mois de mars 2012

Etant donné que je ne publierais rien demain, jour qui empeste le poisson pas frais, je vous fait un petit cadeau : l’ultime piste de la bande originale du film « The Girl With A Dragon Tattoo », une reprise du titre de Brian Ferry, « Is Your Love Strong Enough ? » par How To Destroy Angels.

A lundi 🙂

Quand mardi rime avec musique, partie 2 : « Land of Silence », l’album du retour aux sources pour Roger Subirana.

Après le très bon Shedneryan, Roger Subirana avec son nouvel album nous fait un retour aux sources. Intitulé « Land of Silence », l’album est – au moment ou j’écris cet article, le 27 mars 2012 – uniquement disponible via la page Jamendo de l’artiste. Septième album de l’artiste, après « L’Indret Prohibit« , « Secrets« , « Lost Words« , « Point Of No Return« , « The Dark Symphony » et « Shedneyrian« .

L’album sera disponible en physique et numérique haute qualité dans une grosse quinzaine de jours selon le compositeur que j’ai contacté. Inutile de dire que je compte en acheter un 😉

Comme le compositeur le précise, les morceaux ont été composés entre 2009 et 2012, en parallèle de l’excellent album concept Shedneryan.

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Quand mardi rime avec musique, partie 1 :)

Aujourd’hui, je vais faire deux billets musicaux. Je vais commencer par l’album « Absolute Zero » des suédois d’Emerald Park.

Ayant précommandé l’album, j’ai eu le plaisir de le recevoir ce matin dans ma boite aux lettres. C’est un album assez varié.

Emerald Park - Absolute Zero face

Emerald Park - Absolute Zero dos

Emerald Park - Absolute Zero contenu

L’album commence par le très enjoué « Reality Bites ». Suit le titre « Never say never again », assez rapide, rythmé, assez pop-rock. Genre de mélodie repris sur le titre « Bergsgatan ».

On a droit à des titres plus doux, même si les paroles sont assez explicites, par exemple, celle de « Someone To Love »,accompagné par un violoncelle.

« Things » nous apporte un son de boite à rythme typique des années 1990, et heureusement, cela ne mange pas tout le titre 😉

L’album est assez éclectique et néanmoins se laisse écouter sans problème. J’avoue que j’ai bien aimé les précédents opus du groupe, donc celui-ci ne fait pas exception à la règle.

Mais comme toujours, faites vous votre propre opinion !

C’est la licence de la vie :)

J’ai reçu ce midi dans ma boite aux lettres le 3ième volume des aventures de « Geektionnerd », acheté via la boutique de Framabook.

GKND volume 3

Ce qui me donne la collection complète des aventures. C’est donc officiel, je suis un geek qui aime les BDs qui parlent geek. C’est grave docteur ?

D’ailleurs, doit-on y voir un clin d’oeil au « Meaning of life », « Le Sens de la Vie » des Monty Python ?

L’Amstrad CPC (28 ans au compteur) en a encore dans les tripes ;)

Je vous parle d’un temps que le moins de trente-cinq ans ne peuvent pas connaitre…

Je dois faire un aveu : j’ai claqué un nombre monstrueux de pièces de 5 francs dans la borne d’arcade « Bubble Bobble »… Et quand j’ai entendu parler d’une version refaite pour l’honorable ordinateur Amstrad CPC (28 ans cette année), je me suis précipité pour la tester, en utilisant Arnold.

Et y a pas à dire, c’est très beau. Pas aussi fin que les graphismes de la borne d’arcade d’origine, mais assez proche… Deux captures d’écran suffiront pour montrer la qualité de la réalisation…

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Le jeu est aussi dur que l’original, et j’avoue que je n’ai pas réussi à dépasser le 10ième niveau à cause de ces saletés de baleines fantômes… Pas juste !!!

En tout cas, cela m’a fait me replonger en 1989-1990 quand j’allais à la Maison des Jeunes d’Arcachon… Pourquoi j’ai l’impression d’avoir pris un coup derrière la nuque ? 🙂

Comme quoi, pas besoin d’avoir des graphismes photoréalistes pour s’amuser ! 🙂

Big Bang Factory : une explosion musicale.

Il y a plusieurs mois, j’ai découvert les travaux de Julien Davila, alias Big Bang Factory. Le 21 février dernier, son premier album « D​.​I​.​Y. # 01 // Almost Live From Home« .

Coup de coeur, j’ai pris un des 99 exemplaires de la version deluxe contenant le CD 8 titres avec 4 titres bonus par rapport à la version numérique, le médiator, le certificat d’authencité. Et pour info, j’ai eu le certificat 61 sur 99… Alors que j’ai commandé l’album 15 jours après la sortie de l’album… Succès foudroyant ?

Version Deluxe du premier album de Big Bang Factory

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Dernières découvertes « bandcampienne ».

Avec quelque chose comme 448 964 albums (au 11 mars 2012), on ne peut faire que des découvertes intéressantes sur ce site d’auto-promotion et d’auto-publication musicale. Et ce, durant pas mal de temps, ce qui change un peu de la sousoupe commerciale, et qui colle parfaitement à l’idée du black march.

Voici donc mes dernières découvertes.

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