Les DGLFI en recrudescence ou simplement plus visibles ?

Quand j’ai commencé vers 2017 ou 2018 à parler des DGLFI, à savoir les Distributions GNU/Linux Franchement Inutiles, je ne pensais pas que la série de vidéos que je leur dédierai atteindra la cinquantaine, voire la dépasserait légèrement.

Pour m’alimenter dans ce genre de distributions qu’il serait suicidaire de mettre sur un PC en dur, je me basais souvent sur la liste d’attente de Distrowatch.

C’est ainsi que j’ai alimenté régulièrement cette série de vidéos. C’est ainsi que j’ai pu faire l’épisode 51, visible ci-dessous.

Cependant, j’ai parfois utilisé les nouveautés côté distributions pour me servir. Comme cela a été le cas pour l’épisode 52 des DGLFI.

D’où débouche une question existentielle ? Les DGLFI sont-elles en retour ou simplement sont-elles plus visibles ?

J’espère simplement que je n’atteindrai jamais – ou le plus tard possible – l’épisode 100 de cette série.

L’espoir fait vivre après tout 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième vendredi du mois de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Pour finir, après l’avoir abordé dans un précédent en vrac’, voici une vidéo dédiée à la DGLFI Altima Linux. Bon visionnage 🙂

Sur ce, bon week-end

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Aquilus a sorti récemment un nouvel album, « Bellum II ». C’est à destination des personnes aimant le black metal atmosphérique. Je dois dire que j’ai donné et que je n’accroche plus à ce genre de black metal.

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Broken Mirror » ou l’aventure-horreur en point’n’click sur Commodore 64.

Je dois dire que j’ai toujours aimé les jeux d’aventures, qu’ils soient en mode texte, semi graphique voire point’n’click. Le genre point’n’click soit à la première personne soit à la troisième personne est très répandu sur le Commodore 64.

Il ne faut pas oublier que « Maniac Mansion » a été porté sur le Commodore 64 en 1987.

Mais revenons à « Broken Mirror ». C’est un point’n’click en vue à la première personne. On commence l’aventure enfermé dans une cellule, mais on ne sait plus qui on est et pourquoi on a été emprisonné.

Le jeu est divisé en quatre parties, du moins si j’en crois le catalogue de la disquette du jeu. Vous pourrez le récupérer sur le site csdb.dk.

Je vous offre la solution de la première partie du jeu. Les autres parties ? Peut-être un jour, si j’arrive à finir le jeu 🙂

Sur ce, bonne fin de journée 🙂

Même si ce n’est pas un projet officiel, Tiny11 risque de faire très mal aux distributions GNU/Linux bureautique.

Tiny11, c’est un projet pour dégraisser profondément MS-Windows 11 qui a tendance à prendre du poids. Le but est de fournir un MS-Windows 11 allégé, et le projet y réussit très bien.

Au lieu des 64 Go d’espace disque recommandé, un Tiny11 peut descendre à une grosse vingtaine de Go installés.

Ce qui en fait un grand danger pour le Linux bureautique dont les chamailleries entre communautés et choix techniques poussés malgré tout – Coucou les snaps ! – ne font que pourrir l’ambiance. Comme disait Sun Tzu dans son « art de la guerre » :

Connais-toi, connais ton adversaire, et cent batailles ne te mettront pas en danger. Si tu ne connais pas ton adversaire et que tu te connais, pour chaque victoire, une défaite. Si tu ne connais ni ton adversaire ni toi-même, à chaque bataille tu seras vaincu.

Cela a le mérite d’être clair. J’ai même enregistré une petite vidéo de Tiny11 en action.

Même si l’OS est assez réduit côté fonctionnalités, sa légèreté fait penser un peu à celle de MS-Windows 7. Maintenant, Tiny11 reste un projet de niche, mais qui sait, peut-être que Microsoft s’en inspirera et proposera quelque chose d’officiel. Ce qui serait alors le dernier clou dans le cercueil du Linux bureautique.

Ajout au 14 mai 18 h 00 : J’ai testé avec un Windows 11 complet, et le « debloatage » n’est pas si visible que cela, du moins en terme d’espace disque. La désactivation de pas mal de services permettent de gagner en souplesse.

C’est comme si l’équipe de Tiny11 ne pouvait pas enlever réellement tout le « bloat » qui caractérise une installation classique, mais simplement le désactiver.

J’atteinds une consommation d’espace équivalente, à savoir 25,4Go pour un MS-Windows 11. Donc deux petits gigas de moins.

Ajout au 15 mai, 9 h 00 : L’image ISO a été générée à partir du github du projet pour être directement en français.

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième samedi du mois de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans la série des distributions basées sur la RHEL, je demande la EuroLinux 9.4.
  • Ou encore la Rocky Linux 9.4.
  • Dans la série « les distributions portent parfois un nom trompeur », je demande la Linux Lite 7.0rc1. C’est une base Ubuntu avec xfce dessus. Et l’image ISO n’est pas légère, elle pèse plus de 2,1 Go !
  • Haplo propose la préversion d’un jeu qu’il vient de porter pour le Commodore 64 et les Atari 8 bits. Comme d’habitude, c’est un jeu d’action-réflexion où on jongle avec chaque niveau en le tournant à 180° sur lui-même. Le nom du jeu ? « Shift », disponible sur itch.io.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Pour finir, les 9 premiers niveaux résolus de « Shift » en version preview. Je vous laisse résoudre le 10e niveau par vous-même. Ne me remerciez pas, c’est de bon coeur 🙂

Sur ce, bon week-end

Suis-je trop formaté pour envisager à long terme un changement de distribution ?

Je suis sur PC depuis 1995 et j’ai connu plusieurs grandes périodes, mis à part un an avec le premier Mac Mini entre 2004 et 2005.

  1. La période MS-Windows entre 1995 et 2006 : MS-Windows 3.1, 95, 98 et 98SE, 2000 et XP. Oui, j’ai échappé à Millenium 🙂
  2. Une période Ubuntu de mi 2006 à mi 2009
  3. Une période Archlinux depuis 2009 sans quasiment aucune interruption, mis à part un court passage sur la regrettée Frugalware Linux

Il y a 6 mois – au moment où je rédige cet article, le 9 mai 2024 – je rédigeais un court billet sur mon choix en cas de décès d’Archlinux. Sans grande surprise, c’est la Fedora Linux classique qui a emporté mon choix.

Moins d’une semaine plus tard, je faisais un billet où je parlais de mes expérimentations avec la Fedora Linux 39 à l’époque.

Rien n’a bien changé depuis, modulo la version stable de la Fedora Linux. Cependant, je me demande presque si au décès d’Archlinux, je ne serai pas en pleine saturation linuxienne, quitte à quitter le doux – hum ! – monde du libre pour le monde Microsoftien, en ayant ma dose de linux avec WSL.

Mais vu la vivacité d’Archlinux, son AUR toujours plus rempli et dans lequel il devient difficile de s’y retrouver sans perdre cinq bonnes minutes pour certains logiciels, la question risque de ne pas se poser avant longtemps.

Je peux dire en ce mois du quinzième anniversaire en tant qu’Archlinuxien, « BTW, I use Arch! » 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Prenez une dose de black metal, une de death metal, un peu de musique traditionnelle et des chants en gascon. Secouez-le tout et vous aurez le premier album de Moisson Livide, « Sent Emp​è​ri Gascon ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

« .​.​.​And We Will Move The Stars », un gros retour de la part de Cyclocosmia.

C’est en septembre 2016 que je parlais pour la première fois de Cyclocosmia.

Près de 8 ans sont passés, et entre temps a été publié un EP intermédiaire, « Immured ». Pour compenser l’attente depuis l’EP, un album massif de 84 minutes est proposé à l’écoute et à l’achat. Oui, j’ai bien dit 82 minutes pour 16 pistes. Ce qui fait une moyenne de 5 minutes par piste. L’album s’intitule « .​.​.​And We Will Move The Stars ».

Dès le premier titre, on retrouve le métal symphonique du premier album, ou encore avec les pistes « Bread And Circuses », « Nero », « Redde Legiones », « Home », « Ophidia ».

Mais on trouve aussi des influences de doom metal, avec les pistes « Idriss », « Harihara », « Dikalosyne »,

Il y a des influences metal progressif dans des pistes comme « Lockstep », « Madimi » et « Temple Of The Spider Prince ». Sans oublier des influences au metal industriel avec des pistes comme « Restrained », « Entropy ».

La dernière piste est une longue ballade acoustique qui tranche avec les guitares lourdes du reste de l’album.

C’est un album complet, complexe, du moins à la première écoute. Une chose est sûre, on n’est pas noyé par la lassitude, vu les changements de style, sans oublier une liste de personnes invitées sur les différentes pistes qui est assez longue, dixit la page bandcamp de l’album.

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier samedi du mois de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Vous aimez le post-rock instrumental un brin aérien ? Alors le dernier album de « When Colors Are Fading » est pour vous.

Ajout à 17 h 35, le 4 mai 2024.

Un longplay de la version anglaise de « The Key ». Merci à Xyphoe pour sa vidéo qui m’a bien aidé !

Et oui, je ferai de même avec la version française quand elle sera disponible !

Sur ce, bon week-end