Ah, les contraintes du format CD… Ou au moins de sa taille de 700 Mo.

Quand j’ai commencé à m’intéresser au monde des distributions GNU/Linux, c’était vers 1996-1997. A l’époque, il fallait se créer deux disquettes au minimum pour démarrer un système minimal qui permettait de lancer l’outil d’installation.

Les CDs d’installation démarrant tout seul doivent dater de 1999 ou de l’an 2000. Quant aux liveCD, le premier, DémoLinux date de l’an 2000. 12 ans déjà, 4 ans au minimum avant une certaine distribution au nom de code bizarre, Warty Warthog, sorti courant octobre 2004.

Et depuis, sauf pour les distributions les plus gourmandes, une ISO d’installation d’une taille maximale de 700 Mo (capacité maximale d’un CD) est resté l’étalon.

En mai 2010, je parlais du problème de cette taille étalon. En dehors du fait que je pensais – et c’est toujours le cas – que des distributions à publication fixes semestrielles sont difficile à respecter coté stabilité, je parlais de sacrifices nécessaires coté logiciel.

Pour respecter la « sacro-sainte » limite des 700 Mo, on est obligé de faire la croix souvent sur des logiciels phare comme Gimp, ou encore OpenOffice.org.

Or, la publication récente de Linux Mint 9 propose une version en liveDVD qui contient des logiciels comme VLC et OpenOffice.org (assez indispensable de nos jours une suite bureautique) en complément de la version classique.
[…]
Car 6 mois, c’est déjà court pour stabiliser une distribution, et rester dans le cadre du format CD coté taille obligera constamment soit à augmenter le niveau de compression, en utilisant des outils comme xz soit à faire des sacrifices plus ou moins bien compris par les utilisateurs.

Sans le vouloir, j’ai eu le nez creux avec un peu d’avance. Lisant le site PcInpact, je suis tombé sur cet article, « Debian abandonne l’environnement GNOME au profit de Xfce »

Si on s’arrête à la une (comme de nombreuses personnes seraient tentées de le faire), on pourrait se dire : encore un coup dans la tronche de Gnome, mais il faut lire l’article pour tomber sur un morceau intéressant, je cite :

Un changement voulu en grande partie à cause du poids de GNOME qui augmente. Or, les développeurs veulent maintenant un objectif de taille raisonnable pour la distribution, notamment en ce qui concerne la distribution par images ISO de type CD.

D’ailleurs, si on se plonge sur le « commit » qui a mis en place ce choix, le commentaire est très clair.

« This ensures that the desktop will fit on CD#1, which gnome currently does not. » ce que l’on peut traduire par « Cela assurera que le bureau tiendra dans le CD 1, ce que gnome n’est pas capable de faire en ce moment ».

Bien entendu, pour les vieilles machines, avoir un support CD minimal quand on a un réseau de qualité moyenne, c’est l’idéal. Cependant, dans les pays développés ou pour les personnes pouvant faire une installation en réseau, voire mettre un ISO plus grosse que les 700 Mo sur une clé USB, le problème ne se pose pas.

Donc, nous assistons encore une fois à une obligation de trancher dans le vif pour respecter le sacro-saint format de 700M des images ISOs.

Pour combien de temps encore ?

La communauté GNU/Linuxienne dans son ensemble, elle serait pas un peu masochiste ?

Derrière ce titre volontairement provocateur – il faut bien entretenir sa réputation de troll, dixit certains membres de la communauté du libre (dans le sens GNU/linuxienne du terme) me concernant, je les remercie de leur faveur pour ce titre – se cache une question de fond : les personnes utilisant GNU/Linux sont-elles masochistes ?

Si le terme peut paraître excessif, jetons un oeil au fait : la communauté GNU/Linuxienne, c’est un énorme foutoir, au sens familier du terme. On ne compte plus le nombre d’environnement de bureau et / ou de gestionnaire de fenêtres. En dehors du quatuor Gnome 2.x – Mate et Gnome Shell / KDE SC / Unity / Xfce, on doit rajouter aux environnements de bureau Lxde, ou encore razor-qt.

Coté gestionnaire de fenêtres, il y a presque plus que d’éléments dans le tableau périodique de Mendéléiev. Le site « Windows Manager for X » en dénombre un sacré paquet, dont OpenBox, WindowMaker, e17, (pour citer les 3 premiers qui me viennent à l’esprit) et la liste de la page « others » est assez longue , même s’il en manque à l’appel et que certains ont sûrement passé la souris à gauche.

Autre preuves du masochisme de la communauté GNU/Linuxienne ? Le nombre de distributions. En sortant les innombrables versions dérivées à plus ou moins courte durée de vie, on peut en citer au moins un demi-douzaine de distributions principales, par ordre alphabétique :

On pourrait aussi penser à la foultitude de navigateurs internet : Mozilla Firefox, Chromium, Midori, Konqueror, uzbl pour ne citer que les principaux. Résultat des courses ? Il est souvent difficile de trouver deux environnements complètement identiques entre deux utilisateurs de GNU/Linux.

Donc, autant dire que cela ne facilite pas la tâche des entreprises qui voudraient proposer des produits pour GNU/Linux, ne voulant pas négliger les 1 ou 2% de parts de marchés en utilisation « desktop » que représente GNU/Linux.

Il faut être pragmatique et réaliste : des environnements comme MS-Windows et Apple MacOS-X sont largement plus unifiés, et donc seront plus facile à utiliser pour créer des logiciels dont on est sûr qu’il ne faudra pas produire plusieurs formats d’empaquetage pour qu’ils soient installés et utilisés.

Il est vrai aussi, que dans la communauté GNU/Linuxienne, la politique du « ça me convient pas, je fais ma propre version » est une plaie. Même si certaines versions dérivées sont des réussites (LibreOffice et Mageïa), d’autres pas vraiment ; Qui se souvient de GoneMe  par exemple ?

Il serait tellement plus simple de n’avoir – comme sous MS-Windows et Apple MacOS-X – qu’une seule interface avec un seul format de paquets et tutti quanti.

C’est ce que veut faire Canonical avec Ubuntu. Et que croyez-vous qu’il se passe ? Des personnes osent crier à l’assassin et critiquer ceci… Non, vraiment, la communauté GNU/Linuxienne est masochiste…

En effet, pourquoi soutenir un effort qui permettrait d’avoir un peu plus d’impact, alors qu’on peut le descendre… Masochisme ? Expression fanatique de la liberté de choisir les logiciels de son choix, du gestionnaire de démarrage, à la suite bureautique, en passant par l’environnement de bureau ou encore le format de paquets des logiciels ?

Quels masochistes, les membres de la communauté GNU/Linuxienne, vraiment, c’est pas possible… Et après, ils s’étonneront de ne représenter qu’une part de marché epsilonesque des machines de bureaux 😀

Siduction 2012.1 : la communauté prend le pouvoir, mais un peu tard ?

Si je vous dis distribution qui utilise les dépots Debian GNU/Linux Unstable comme point de départ, vous me répondrez surement : Ubuntu et sa galaxie de dérivée. Mais ce n’est pas la seule. Historiquement, il y a eu Sidux devenu Aptosid (qui semble ne rien avoir sorti cette année), et une scission effectuée l’année dernière, du nom de Siduction.

J’ai donc récupéré l’image ISO de la version Xfce pour montrer la distribution en action. Il existe des versions avec KDE SC et Lxde.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/zero of=disk.img count=32 bs=1G
32+0 enregistrements lus
32+0 enregistrements écrits
34359738368 octets (34 GB) copiés, 287,832 s, 119 MB/s
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom siduction-12.1-desperado-xfce-amd64-201205212227.iso -no-frame -boot order=cd &

Après le démarrage, j’ai lancé l’installateur de Siduction qui est étrangement une application internet qui utilise le navigateur pour fonctionner.

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Xfce 4.10 : vers une « gnome3isation » de Xfce ?

Xfce 4.10 est sorti il y a quelques jours, et j’ai donc profité de l’arrivée de Xfce 4.10 sur les dépots stables d’Archlinux pour installer la nouvelle version de l’environnement de bureau. Pourquoi sur Archlinux et pas une autre distribution ?

Simplement que c’est la version la plus proche de l’originale, au moins dans sa présentation, même si la version proposée par Devil505 pour Frugalware est aussi très agréable à l’usage.

Pour l’installation, j’ai utilisé le guide que j’avais jadis rédigé, en apportant les modifications suivantes :

  • J’utilise l’outil dhclient avec Wicd, sinon la connexion ne s’effectue pas avec dhcpcd 🙁
  • J’ai remplacé LibreOffice par le duo Abiword et Gnumeric
  • J’ai rajouter l’outil « System Printer Config » (pour gérer l’imprimante) sans prise de tête.

Coté « gnome3isation », le menu utilisateur à droite de la barre de menus, ou encore le panneau de configuration qui propose des options comme celle proposée par Gnome3, comme un outil à la dconf.

J’ai fait un tour rapide de Xfce 4.10 en vidéo.

Je dois dire que j’ai été franchement impressionné par la stabilité, la rapidité et l’évolution constante et à petite touches de l’environnement xfce. La version 4.12 sera une nouvelle étape importante, le code utilisant gtk2 sera remplacé par du code utilisant gtk3…

J’ai été aussi agréablement surpris par la faible gourmandise de l’ensemble, même en le poussant un peu. Je n’ai pas réussi à dépasser 12% d’occupation mémoire, sachant que la machine virtuelle était dotée de 2 Go de mémoire vive. Soit en gros, un peu plus de 200 Mo au maximum…

Autant dire que l’environnement est assez léger sans être d’une austérité imbuvable. Ce qui est plutôt sympathique.

A vous de voir maintenant. Je proposerais dès que possible un guide d’installation de Xfce 4.10 révisé, et dans plusieurs formats.

Bridge Linux : quel intérêt ?

J’avais entendu parlé de la Bridge Linux il y a quelques semaines, sur une publication du Distrowatch Weekly. Poussé par la curiosité, j’avais décidé de voir ce que valait la distribution, à l’époque uniquement proposée avec Xfce.

J’avais tellement été déçu – une base ArchBang mal digérée – que je n’avais pas rédigé d’article.

L’auteur de la Bridge Linux vient de sortir 6 versions : KDE, Gnome et Xfce, à la fois en 32 et 64 bits.

J’ai donc récupéré l’image ISO de la version Xfce pour voir si des progrès étaient apparus.

L’étape suivante a été de créer l’habituelle machine virtuelle pour donner sa chance à la Bridge Linux.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/zero of=disk.img count=32 bs=1G
32+0 enregistrements lus
32+0 enregistrements écrits
34359738368 octets (34 GB) copiés, 450,478 s, 76,3 MB/s
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom bridge-xfce-2012.2-x86_64.iso -no-frame -boot order=cd &

Une fois le chargement terminé, on tombe sur un Xfce tout en dégradé de gris. Pas conseillé au personne qui aime les couleurs chaudes et vivantes 😉

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Puisque la Manjaro Linux semble être en sommeil prolongé…

…pourquoi ne pas se faire une ArchLinux avec un environnement Xfce dessus ? Autant voir ce qu’on peut faire sans passer par la Manjaro Linux, non ? 😉 Il y a bien une distribution « obscure » du nom de Bridge Linux qui a se que j’ai pu en voir est une version dérivée d’Archbang avec des fichiers de configuration qui nécessite des ajustements constants et certains outils comme LightDM qui refusent de prendre en compte une version francophone 🙁

J’ai donc utilisé la dernier version ISO non officielle d’installation, alias Archboot pour faire le tutoriel qui suit. Non seulement, si vous avez envie de le reproduire, vous aurez une Archlinux « xfce-isée » récente, mais vous aurez le plaisir de pouvoir de vous dire : j’ai réussi une installation 😉

Pour récupérer l’iso, voici par exemple son emplacement sur le miroir archlinuxfr : http://mir.archlinux.fr/iso/archboot/latest/

L’installation durera entre 30 minutes et une heure, tout dépendant de la vitesse de votre connexion.

Pour ce tutoriel, j’ai pris ma machine virtuelle kvm, j’ai mis un ajout si vous préférez utiliser VirtualBox au niveau de la partie qui concerne l’installation de Xorg pour que tout fonctionne bien.

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Les distributions n’aiment pas la simplicité…

…Ou n’aiment pas le « one size fits all » ? Un fidèle lecteur m’a écrit il y a quelques jours pour me suggérer de parler d’un problème inhérent selon lui aux distributions linux : leur rejet de la simplicité.

Je ne reproduirais pas le message en question, mais tout ce que je peux dire, c’est que cette personne a une dent contre les interfaces qui se démultiplient, spécialement les interfaces nouvelles générations qui ont fait leurs premières armes l’année dernière.

Un reproche que l’on fait souvent aux interfaces graphiques utilisateurs des distributions linux, c’est leur foisonnement. Contrairement au duopole Microsoft-Apple où chacun des adversaires impose sa vision de l’interface graphique comme étant ce que recherche l’utilisateur (en lui imposant au passage sa vision des choses), le monde du logiciel libre est celui qui refuse l’idée de la taille unique, en clair imposer à l’utilisateur débutant comme à l’habitué la même interface, avec les mêmes icones, les mêmes raccourcis claviers, etc…

D’un coté on impose l’interface, et l’utilisateur fait son choix souvent en fonction de ses besoins ou de ses finances, de l’autre, on laisse l’utilisateur choisir ce qui lui convient le mieux à l’utilisation.

C’est pour cela que l’on a 3 grands noms dans les environnements de bureau, Gnome, KDE SC et Xfce, mais aussi un nombre conséquent de gestionnaires de fenêtres plus ou moins complet, allant d’Openbox à RatPoison, en passant par fluxbox, windowmaker ou encore wmfs.

Ce n’est pas que les distributions refusent la simplicité, elle préfère promouvoir un ou plusieurs choix (en fonction de la cible d’utilisateurs qu’elles visent), car tout le monde n’a pas les mêmes besoins, ni les mêmes envies.

Dans ce cas, les distributions les plus ouvertes sont, par ordre alphabétique : Archlinux, Crux Debian, Fedora, Frugalware, Funtoo, Gentoo.

Car soit elles ne mettent en avant aucune interface, soit elles proposent les principales individuellement.

Choisir pour l’utilisateur ou laisser l’utilisateur choisir, à vous de voir la voie que vous préférez !

0 Linux epsilon : la distribution qui est tout sauf nulle !

J’avais jadis parlé de la 0linux, et je n’avais pas eu franchement de chance à l’époque.

J’ai donc profité de la sortie de la version « Epsilon » pour essayer la distribution plus en profondeur. J’ai récupéré l’image ISO, puis j’ai réutilisé l’image disque créé avec l’article concernant la Mageia 2 alpha3. Soyons écologique, recyclons 😉

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c ftp://ftp.igh.cnrs.fr/pub/os/linux/0linux/iso_dvd/0linux-epsilon-DVD.iso
–2012-01-12 19:56:54– ftp://ftp.igh.cnrs.fr/pub/os/linux/0linux/iso_dvd/0linux-epsilon-DVD.iso
=> «0linux-epsilon-DVD.iso»
Résolution de ftp.igh.cnrs.fr… 193.50.6.138
Connexion vers ftp.igh.cnrs.fr|193.50.6.138|:21…connecté.
Ouverture de session en anonymous…Session établie!
==> SYST … complété. ==> PWD … complété.
==> TYPE I … complété. ==> CWD (1) /pub/os/linux/0linux/iso_dvd … complété.
==> SIZE 0linux-epsilon-DVD.iso … 1796093952
==> PASV … complété. ==> RETR 0linux-epsilon-DVD.iso … complété.
Longueur: 1796093952 (1,7G) (non certifiée)

100%[====================================>] 1 796 093 952 239K/s ds 84m 10s

2012-01-12 21:21:05 (347 KB/s) – «0linux-epsilon-DVD.iso» sauvegardé [1796093952]

J’avais déjà expliqué l’installateur dans l’article précédent, celui-ci n’ayant que peu évolué je n’y reviendrais pas. Et il fait bien son travail si on fait attention à ce que l’on fait.

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DreamLinux 5.0 : quand le rêve n’est pas au rendez-vous.

La DreamLinux, c’est un mélange de Debian GNU/Linux Testing, avec Xfce et Plank (un outil à la Cairo Dock développé par l’équipe d’Elementary OS). Je sais que présenté ainsi, c’est pas extraordinaire. Mais même si j’avais entendu parler de cette distribution – à une époque payante, à moins que je confonde avec une autre distribution basée sur Debian GNU/Linux et Xfce ? – je n’avais jamais eu l’envie de m’y plonger.

J’ai donc lancé mon petit wget, et j’ai récupéré l’image ISO uniquement en 32 bits de la distribution.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp.snt.utwente.nl/pub/os/linux/dreamlinux/Dreamlinux-5.iso
–2012-01-09 10:59:12– http://ftp.snt.utwente.nl/pub/os/linux/dreamlinux/Dreamlinux-5.iso
Résolution de ftp.snt.utwente.nl… 2001:610:1908:a000::149:20, 130.89.149.20
Connexion vers ftp.snt.utwente.nl|2001:610:1908:a000::149:20|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 1011875840 (965M) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : «Dreamlinux-5.iso»

100%[====================================>] 1 011 875 840 513K/s ds 2h 6m

2012-01-09 13:05:40 (130 KB/s) – «Dreamlinux-5.iso» sauvegardé [1011875840/1011875840]

Et j’ai créé un disque virtuel de 32 Go en taille fixe, pour éviter des ralentissements à l’utilisation. Il faut dire que la distribution semble assez gourmande coté place demandée, la page officielle annonçant 8 Go requis pour l’installation

HARDWARE REQUIREMENTS:
i686 CPU – 32bits, 512 MB RAM, DVD drive,
8GB free HDD or Flash Disk.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/zero of=disk.img bs=1G count=32
32+0 enregistrements lus
32+0 enregistrements écrits
34359738368 octets (34 GB) copiés, 533,035 s, 64,5 MB/s
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Dreamlinux-5.iso -no-frame -boot order=cd &

Au premier démarrage, il ne faut pas oublier que la clavier est en anglais.

L’installation se fait simplement. Un redémarrage, puis on peut créer le compte utilisateur, et après un dernier démarrage, DreamLinux est utilisable. Même si un petit passage de l’outil « Dream Linux / Distro upgrade » n’est pas du luxe 😀

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Quand Frugalware rentre dans la cour des grands…

Quel est le point commun entre : Ubuntu, Linux Mint, Fedora, OpenSuSE, Debian GNU/linux, Puppy et Mageïa ? Mis à part d’être dans le top 10 de Distrowatch ? Proposer des versions Live de leur distribution.

C’est dans le but d’accroitre sa popularité que l’équipe de Frugalware nous propose à son tour une série de LiveCD / DVD installable et hybride.

Même si le projet ne sera vraiment mature que pour la sortie de la version 1.6 de la distribution (donc pour le 13 février prochain), c’est déjà agréable d’avoir un aperçu de ce qu’on peut avoir installé 🙂

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