J’avais parlé rapidement d’Antoine Martel dans un billet fourre-tout il y a un peu plus d’un an.
J’avais résumé le style en disant : « si vous aimez le mélange rock, pop à tendance acoustique et celtique. »
La sortie de son premier album officiel m’a permis de découvrir une nouvelle facette de cet artiste.
C’est une influence à la Robert Allen Zimmerman avec l’utilisation d’une guitare sèche seule mâtinée d’harmonica.
Après un très doux « Mother’s Nature Cure », on revient à des mélodies plus teintée rock avec « Giving Tree ».
« 4 of 5 » nous offre un titre plus doux, mais très entraînant. Un instrument revient souvent, c’est le piano. Un titre comme « How Things Change » lui donne la part belle.
Il y a aussi des titres qui fleurent bon les années 1960 dans leur composition, comme « Mary-Jane », et c’est très sympa d’avoir un titre aussi décalé.
« City in Ruin » a été pour moi le titre le plus sombre de l’album. « No Place for good men » pourrait d’ailleurs lui disputer cette place.
Bien que l’album soit en « name your price », j’ai donné 10$ car l’album les vaut largement.
Si vous aimez les mélodies douces, la guitare sèche, les influences pop, folk, rock, l’harmonica, foncez écouter l’album. Enfin, c’est vous qui voyez !