Confession d’un vieux geek : je n’ai jamais vraiment été un grand fan de l’Amiga !

Oui, je sais, je vais me faire tomber dessus à bras raccourcis par pas mal d’ancien(ne)s amigaistes qui vont vouloir allumer un bûcher pour me faire rotir dessus.

J’ai parlé de nombreuses fois de jeux qui m’ont marqué quand j’ai eu l’opportunité de m’équiper d’un Amiga 1200 en 1993-1994, période qui a correspondu à la descente aux enfers de Commodore.

Voici quelques articles où j’ai pu parlé de jeux sur Amiga qui m’ont donné du plaisir à être lancé de nouveau :

Mais aussi des logiciels plus sérieux comme PC-Task en juin 2020 ou le Magic Workbench en août 2020.

Mais je dois le dire, je ne regrette pas tant que ça ma période Commodore Amiga. J’étais bluffé par les captures d’écran dans les magazines vidéoludiques, et je bavais d’envie sur les images dans les publicités des jeux qui montraient toujours soit la version Amiga, soit la version Atari ST.

Continuer la lecture de « Confession d’un vieux geek : je n’ai jamais vraiment été un grand fan de l’Amiga ! »

Après l’Amstrad CPC, au tour du Commodore 64 de profiter d’un port de « Puzzle Bobble ».

Dans un article d’octobre 2021, je disais tout le bien que je pensais des diverses scènes rétroludiques. Dans la vidéo illustrant l’article, il y avait un port de Puzzle Bobble pour l’Amstrad CPC.

Quelques mois sont passés, et c’est au tour du Commodore 64 de connaitre un port de ce jeu sorti en 1994, et qui est un de mes préférés de l’univers de « Bubble Bobble », avec « Bubble Bobble » en premier, « Puzzle Bobble » en deuxième et « Rainbow Islands » en troisième.

On peut télécharger soit une image disquette, soit une image cartouche du port du jeu. Il est de haut vol, et je dois dire que le jeu rend hommage au Commodore 64 en lui sortant les tripes par endroit.

Continuer la lecture de « Après l’Amstrad CPC, au tour du Commodore 64 de profiter d’un port de « Puzzle Bobble ». »

Un projet ludique un peu fou : un longplay du jeu « Briley Witch Chronicles ».

J’ai déjà eu l’occasion de parler plusieurs fois de l’excellent clone de Zelda pour Commodore 64 développé par Sarah Jane Avory. La suite est en cours de développement.

Premier article, le 28 décembre 2021. Le deuxième, le 3 janvier 2022 et le dernier le 6 janvier 2022.

J’ai déjà publié les deux premières heures du jeu, dans les billets en vrac’ du 5 février 2002  et celui du mercredi 9 février 2022.

Je me suis lancé un défi : arriver à enregistrer une partie – je ne promets pas d’être à 100% de réussite – du jeu. Histoire de montrer qu’on peut le finir.

Les vidéos d’environ une heure en moyenne – en fonction des objectifs d’une quête ou de la fin d’une journée dans le jeu – seront publiées, je l’espère jusqu’au bout dans chaque billet en vrac’ de milieu et de fin de semaine.

Petit bonus pour cet article : la troisième heure du jeu.

La quatrième heure, si tout va bien, dans le billet en vrac’ de fin de semaine posté vers le 12 février 2022. Je pense finir le jeu, si tout va bien, en une dizaine d’heures. Ce qui donne une fin de publication pour le mois d’avril 2022, si tout va bien 🙂

Y a pas à dire, c’est du rapide la Final Cartridge III+ pour Commodore 64.

Depuis que j’ai reçu gracieusement un Commodore 64, je m’équipe petit à petit des composants indispensables pour le faire fonctionner. Que ce soit un bloc d’alimentation, un cable composite pour le brancher à un vieux téléviseur, une carte SD2IEC pour pouvoir lancer des jeux sur images de disquettes.

Il ne manquait plus qu’une cartouche de chargement rapide. Ayant été agréablement surpris par le sd2iec de Faszination, j’ai donc décidé de rester avec ce fournisseur et je me suis pris une version pré-montée (je suis nul à pleurer avec un fer à souder) d’un clone de la cartouche Final Cartridge III de 1987.

C’est un modèle dit « plus » qui outre le fait qu’elle propose un chargement accéléré, on peut geler les logiciels en cours d’exécution, avoir un moniteur système, et plein de bonnes choses que je découvrirai avec le temps.

Continuer la lecture de « Y a pas à dire, c’est du rapide la Final Cartridge III+ pour Commodore 64. »

« Tenebra », le casse-tête qui ne paye pas de mine, suite.

Le 12 décembre 2021, je parlais de la version de démonstration de « Tenebra », un jeu de casse-tête développé sur Commodore 64 et 128.

À l’époque, c’était une démonstration avec les 8 premiers niveaux sur les 25 prévus à l’origine.

Le 23 décembre 2021, la version finale est annoncée. Elle est suivie le 1er janvier 2022 d’une version pour Commmodore Plus/4.

J’avais déjà montré une partie des niveaux de « Tenebra » dans le précédent article. Je me suis alors dit que ce serait sympathique de montrer les niveaux par lots de 5, qui sont d’une difficulté assez croissante. Cela aurait été dommage de ne pas proposer les (??) solutions de chaque puzzle.

Continuer la lecture de « « Tenebra », le casse-tête qui ne paye pas de mine, suite. »

Les jeux rétro-ludique, supérieurs sur bien des points aux jeux vidéo modernes ?

Je sais ici que certaines personnes vont froncer les sourcils en se demandant si je n’ai pas abusé de substances plus ou moins illicites. En quoi des jeux sortis dans les années 1980-1990 ou beaucoup plus récemment comme le port de « Sonic the Hedgehog » – version Sega Master System – sur Commodore 64 avec une extension mémoire de 256 Ko, ou encore l’excellent clone de Zelda (avec des combats à la Final Fantasy), j’ai nommé « Briley Witch Chronicles » (transférable sur le format Easy Flash 3) sont supérieurs à un jeu sorti sur les dernières consoles à la mode ou le dernier PC de la mort qui tue ?

Je pourrais aussi citer les scènes Atari 8 bits avec le port de « Prince Of Persia », Amstrad CPC avec un port réussi de Puzzle Bobble.

Il est vrai que je cite le haut du panier et que toutes les productions ne sont pas aussi avancées. Ce genre de jeux ont un avantage : fonctionner soit sur un émulateur, soit sur le vrai matériel modulo quelques extensions par moment. Pour les jeux tournant sous MS-DOS, rien ne vaut – si on a pas un vieux PC sous la main – l’excellent Dosbox-X dont la version 0.83.22 qui sera – ou aura été – celle de février 2022 apporte le support du Pentium 3 !

La preuve en image.

Continuer la lecture de « Les jeux rétro-ludique, supérieurs sur bien des points aux jeux vidéo modernes ? »

Ah, les joies du SD2IEC sur les Commodore 64…

Dans un article du 16 décembre consacré au C64 Maxi, je terminais ainsi :

Ce sera le dernier billet consacré au Commodore 64 durant quelques jours, le temps de recevoir mon sd2iec et ne plus me limiter à saisir des listings en Basic sans rien pour les stocker !

Cet après-midi, en allant vérifier mon courrier, je suis tombé sur une grande enveloppe avec à l’intérieur un SD2IEC fabriqué par Faszination, il était fourni avec une minuscule carte SD de 16 Mo.

Après avoir déballé l’ensemble, monté les pieds sur le PCB, j’ai galéré durant 15 bonnes minutes avant de m’apercevoir qu’il y avait un interrupteur marche-arrêt à côté de ceux qui permettent de définir le numéro du lecteur de disquettes. J’avais pourtant lu la documentation, mais ce point précis me crevait les yeux…

Après avoir transférer le contenu de la carte SD de 16 Mo vers une de 4 Go (apparemment la taille maximale gérée), mais avec des images disquettes de 170 Ko (soit de quoi stocker plus de 24600 images disquettes, de quoi voir venir !), j’ai enfin pu lancer certains jeux… Et apprécier la lenteur légendaire du port série de connexion vers les lecteurs de disquettes.

Je dois dire que la première fois que j’ai vu un de mes jeux chouchous démarrer sur le vrai Commodore 64, j’étais content… Mis à part que la sortie composite sur le jeu donnait un résultat franchement dégueulasse. Je pense qu’un adaptateur composite vers HDMI règlera ce problème de sortie composite parfois limite. Sur la photo ci-après, c’est une version amélioré par rapport à la réalité 🙁

Continuer la lecture de « Ah, les joies du SD2IEC sur les Commodore 64… »

Je suis tombé sur le popotin… Un port de Sonic The Hedgehog pour Commodore 64 existe !

Même si j’étais au courant depuis quelques jours, je dois dire que j’attendais de pouvoir récupérer l’image disquette du jeu pour voir si je ne rêvais pas tout éveillé.

Mais non. Il y a deux ans, le jeu Super Mario Bros était porté sur Commodore 64.

Il était normal de se demander si l’ennemi juré de Mario allait avoir droit à son adaptation sur Commodore 64. C’est désormais le cas.

En ce 19 décembre 2021, Sonic The Hedgehog est disponible pour Commodore 64 avec une extension mémoire (ou REU) de minimum 256 Ko.

Sur la page de téléchargement du jeu, on trouve des images disquettes (au format d64 et d81) prête à être utilisé sur les Commodore 64 Mini et Maxi. Si vous utilisez Vice, il faut activer dans la section cartouches des préférences un RAM Expansion Module de minimum 256 Ko.

Deux photos du jeu sur mon C64 Maxi :

Et un écran du premier niveau.

Continuer la lecture de « Je suis tombé sur le popotin… Un port de Sonic The Hedgehog pour Commodore 64 existe ! »

« Tenebra », ou il est prouvé qu’il n’y a pas besoin de graphismes de la mort qui tue pour faire un titre prenant.

Je l’ai déjà dit plusieurs fois, j’adore la vitalité des scènes ludiques des ordinosaures (Atari, Amstrad CPC, Commodore ou Apple 8 bits). En me baladant sur Facebook – je sais, c’est mal d’y être ! – je suis tombé sur l’annonce de la sortie d’une démo d’un jeu mélangeant des ingrédients de Rogue-like (les donjons, torches et autres clés) et de l’action-réflexion.

Ce jeu s’appelle « Tenebra » et sa démo propose 8 niveaux à la difficulté croissante sachant que l’explorateur que l’on incarne a un gros point faible : il a peur du noir et refusera de se déplacer dans une zone non éclairée par sa torche.

Ajoutez à cela des passages qu’on ne peut emprunter que les mains vides, des objets qu’il faut faire chauffer – en sacrifiant une torche – pour ouvrir des portes verrouillées autrement et vous obtiendrez un casse-tête digne de ce nom.

Continuer la lecture de « « Tenebra », ou il est prouvé qu’il n’y a pas besoin de graphismes de la mort qui tue pour faire un titre prenant. »

Dans le rétroludique, il n’y a pas que le prix du matériel qui est dingue…

…Il y a aussi le prix de certaines nouveautés. J’avais évoqué le prix du matériel explosant les limites du raisonnable dans un article de mai 2021. Mais revenons au logiciel.

Je veux bien que trouver des disquettes 3,5 pouces ou 5,25 pouces fiables est difficile. Prenons l’exemple du port du jeu « The Shadows of Sergoth » pour Amiga 1200 et plus puissant. Sa version physique est constituée de 3 disquettes, du manuel, d’un compas et d’un dé à 20 faces. Le prix demandé est de 39,99€. Vu le contenu, c’est justifiable.

Mais est-ce justifiable de demander 14,99€ (soit 37,48% du prix) pour une version numérique qui se résumera à un fichier pdf et 3 images disquette au format ADF ?

Ça me parait un peu cher, surtout pour du numérique pur. Je sais bien qu’il faut payer les développeurs et compagnie. Mais je trouve cela quand même onéreux. Au dela de 10€ / 10$ pour du numérique pur, c’est non merci et je vais voir ailleurs.

Dans le même domaine, il y a la version améliorée du jeu Planet X2 connu sous le nom de Planet X2.1. Sa version physique (proposée sur une cartouche, avec le manuel et la boite) coûte 40€. C’est aussi cher que la version physique de « The Shadows of Sergoth ».

Mais si on va sur la version numérique, on descend à seulement… 7,99€ !

Autant dire que c’est plus que raisonnable pour simplement des fichiers numériques.

Vous me direz que la plupart des jeux sont désormais immatériels et que trouver des titres à 45 voire 50 €, ce n’est pas difficile.

Cependant, j’ai connu l’époque des jeux en version physique, qui coutait 150 francs en disquettes pour mon Amstrad CPC au début des années 1990, soit avec l’inflation environ 35,50€ en 2021. Les jeux Atari ST / Amiga, c’était plutôt dans les 250 francs, donc 59,22€ en 2021.

Continuer la lecture de « Dans le rétroludique, il n’y a pas que le prix du matériel qui est dingue… »