Parlons simplement de la sortie de la version 1.4pre1 de la Frugalware Linux.

Devil505 en parlera surement bientôt : la première préversion de la Frugalware Linux 1.4 est sortie. Au lieu de faire un article rébarbatif, j’ai eu l’idée suivante : montrer la Frugalware dans ses versions pour Gnome, KDE et Xfce.

A noter que la version KDE utilise un affichage en 16 bits – en utilisant le truc évoqué ici – car le 24 bits donne des problèmes d’affichage assez ennuyeux, les teintes bleutées devenant jaunes 🙁

Continuer la lecture de « Parlons simplement de la sortie de la version 1.4pre1 de la Frugalware Linux. »

OpenSuSE 11.3, quel – rapide – bilan 3 mois après sa sortie ?

La distribution au caméléon est sorti le 15 juillet dans sa version 11.3. J’ai donc utilisé – vilain internaute que je suis – le torrent de l’image DVD en 64 bits pour voir quel était l’état des lieux de la distribution 3 mois après sa sortie.

J’ai donc ensuite utilisé la machine virtuelle habituelle, à savoir une PC émulé avec 32 GiO de disque dur et 1,5 GiO de mémoire vive.


fred@frugalware:~/download/ISO à tester$ qemu-img create -f raw disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=raw size=34359738368
fred@frugalware:~/download/ISO à tester$ kvm64 -hda disk.img -cdrom openSUSE-11.3-DVD-x86_64.iso -boot d &

Coté installation, j’ai choisi les options par défaut, en prenant l’interface Gnome. Oui, car malgré un passage durant environ 2 mois sous KDE (à l’époque de la version 4.3), je préfère Gnome à KDE.

Continuer la lecture de « OpenSuSE 11.3, quel – rapide – bilan 3 mois après sa sortie ? »

Collectionneur fou : mes albums de musique libre.

Du moins, la collection que j’ai constitué depuis que j’écoute de la musique libre. Etant assez exigeant, je ne grave des CDs qu’avec des mp3 320khz ou du flac, histoire d’avoir la meilleure qualité possible au final sur ma platine.

Cet article est en quelque sorte la suite de celui-ci, qui montre que la musique sous licence Art Libre ou Creative Commons est vraiment plus répandue que certaines personnes veulent l’admettre par pure idéologie commerciale.

Collection d'albums de musique libre.

De gauche à droite et de haut en bas :

Pour la plupart des albums (sauf Renversement et Somnebuleux) j’ai du m’occuper de la gravure et de la réalisation des jaquettes.

Je vous donne cette liste pour que vous puissiez découvrir de la musique libre, ce qui change un peu de toutes les productions musicales qui monopolisent les médias classiques.

Et coté source d’approvisionnements, liste non exhaustive bien entendu : altermusique.org, dogmazic.net, jamendo

Quand la culture libre est de bonne qualité…

Cela donne des résultats comme Sintel, les artistes de Jamendo, de Dogmazic, AlterMusique (dont le dernier album du compositeur Ehma), mais aussi des petits bijoux comme les films disponible sur la plateforme Vodo comme le petit film de synthèse « Legacy« .

Dans ce petit film de trois minutes, on est plongé dans le monde d’un extra-terrestre qui répond à un message venant de la Terre, et recherchant un spécimen humain… Même si le film n’est pas traduit, il est parfaitement compréhensible.

Autre oeuvre – pour laquelle j’attends avec impatience des sous-titres, même en anglais, même si j’ai compris le gros de l’histoire – est une sorte de « Taxi Driver » moderne, c’est « Person Of Interest« , qui nous mets dans la peau d’un vétéran de la guerre en Irak.

Enfin, et un peu plus « terre à terre », la version longue d’un documentaire sur les stars du yéyé lors de la tournée « Age Tendre et tête de bois », qui s’appelle « Etre et avoir été« .

Quelques créations du domaine de la culture libre que je ne saurais trop vous conseiller, pour changer un peu des machins proposés au cinéma actuellement qui ne valent pas franchement les 9 € qu’on paye pour les voir.

J’allais oublier… Un petit bijou d’une quinzaine de minutes, c’est l’album concept mis au point par Christopher Benett, et cela s’appelle « The Journey of the Starship Salvation ».

Album qui mélange musique de science fiction et musique d’ambiance, c’est idéal pour se relaxer.

Parabola GNU/Linux : une archlinux libérée, enfin, si on veut ;)

Parabola GNU/Linux, c’est un peu ce qu’est la Trisquel pour Ubuntu : une version utilisant le noyau linux-libre et quasi-exclusivement des logiciels libres. Pour le quasi, la raison est donnée un peu plus loin dans l’article 😉

J’ai donc récupéré l’image ISO de la version « core » datant de début octobre. Il faut savoir que les dépôts de la Parabola sont assez lents 🙁

fred@frugalware:~/download/ISO à tester$ wget -c http://repo.parabolagnulinux.org/isos/x86_64/parabola-2010.10.01-core-x86_64.iso
–2010-10-15 13:22:58– http://repo.parabolagnulinux.org/isos/x86_64/parabola-2010.10.01-core-x86_64.iso
Résolution de repo.parabolagnulinux.org (repo.parabolagnulinux.org)… 69.163.153.218
Connexion vers repo.parabolagnulinux.org (repo.parabolagnulinux.org)|69.163.153.218|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 341835776 (326M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «parabola-2010.10.01-core-x86_64.iso»

100%[======================================>] 341 835 776 68,3K/s ds 35m 39s

2010-10-15 13:58:37 (156 KB/s) – «parabola-2010.10.01-core-x86_64.iso» sauvegardé [341835776/341835776]

Et ensuite, j’ai lancé la machine virtuelle habituelle : 1,5 GiO de mémoire vive, 32 GiO de disque.


fred@frugalware:~/download/ISO à tester$ qemu-img create -f raw disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=raw size=34359738368
fred@frugalware:~/download/ISO à tester$ kvm64 -hda disk.img -cdrom parabola-2010.10.01-core-x86_64.iso -boot d &

Continuer la lecture de « Parabola GNU/Linux : une archlinux libérée, enfin, si on veut 😉 »

En ce geek day…

Nous sommes donc le 10 octobre 2010, qu’on peut réduire en 101010, soit 42 en langage binaire. Et 42, pour une génération de fondus de technologie sachant encore lire, c’est un nombre magique.

C’est aussi aujourd’hui que sort une nouvelle version semestrielle de la distribution qui est presque devenue le synonyme de GNU/Linux, j’ai nommé Ubuntu 10.10, alias « Maverick Meerkat ».

Sans aucun doute, cette version sera un succès, même si ce n’est que la première étape vers une future version LTS, la 12.04 (sortant en avril 2012).

Bref, c’est en ce jour de jouissance intense pour les utilisateurs d’Ubuntu que sort la nouvelle mouture. Mais c’est aussi une occasion pour constater un mouvement de fond : l’abandon progressif d’une partie des grandes distributions dérivées d’ubuntu pour s’en affranchir. Cyrille Borne a déjà mieux parlé que moi de ce phénomène dans ce billet par exemple.

De mémoire, voici les distributions qui louchent (plus ou moins) vers Debian pour leur base, voire qui ont carrément abandonné Ubuntu pour leur base :

Pour ne citer que les plus célèbres. Revenir à la vieille Debian, est-ce une volonté d’indépendance ou une volonté d’avoir une base plus stable et plus modelable ?

Adieu Archlinux, bonjour…

Dans un précédent billet, j’annonçais mon départ d’Archlinux (la migration désastreuse vers Python 3 sur le dépot [Testing]), pour la distribution Ubuntu. Cependant, ce n’est pas celle qui fait fonctionner actuellement ma machine.

Les raisons principales :

  1. Le manque de fraicheur de certains logiciels
  2. Le coté cartoon de l’interface
  3. Le coté « figé » de la distribution

Et de plus, comme me l’avait fait remarquer Cyrille Borne dans son commentaire : « c’est pas honteux à un moment donné d’avoir envie de facilité ».

J’ai donc suivi le conseil, et j’ai allié deux de mes envies : facilité et jeunesse « stabilisée » de logiciels. Ce qui m’a finalement orienté vers le choix que j’ai fait aujourd’hui.

Continuer la lecture de « Adieu Archlinux, bonjour… »

De l’irresponsabilité flagrante de passer à Python3 dès maintenant.

Je suis en colère contre les codeurs d’Archlinux qui ont voulu pousser la logique du « rolling release » jusqu’au bout.

Depuis le passage à Python3 activé sur testing, les logiciels en python explose en vol les uns après les autres au fur et à mesure des versions.

Sur la liste des victimes, suite à une modification du paquet pygtk :

Et encore je n’ai pas fait la totalité de mes logiciels basés sur Python.

Et étant donné que je pousse des gueulantes sur Identi.ca et twitter, j’ai eu droit à la réponse que je méritais de la part de Pingax

J’ai toujours été une sombre nullité en matière de développement et de codage. Mes tentatives pour apprendre python se sont toutes soldées par des échecs.

Je pense que la solution qui me reste – et je sens déjà Cyrille Borne rire – est de retourner sous Ubuntu. Chose que je ferais ce soir, car j’en ai marre de devoir recompiler tous les jours les outils en python car un paquet aura changé sur [testing].

Dommage que les codeurs d’Archlinux oublie une chose : que rolling release ne signifie pas explosion en vol à la moindre grosse mise à jour 🙁

Python 3 et Gwibber ? Une vraie galère.

Archlinux vient de mettre en route un gros chantier : mettre python 3 à la place de python 2 dans la distribution.

Deux logiciels que j’utilise manquaient à l’appel, à savoir : gramps et gwibber.

Continuer la lecture de « Python 3 et Gwibber ? Une vraie galère. »

En vrac rapide et libre.

Pour bien commencer ce mois d’octobre, un petit paquet de liens en vrac 😉

Plantage de la Crux 2.7 au démarrage :(

C’est tout pour aujourd’hui, j’ai le tome 1 de « Millenium » qui m’appelle 🙂