Fedora 41 sur 6 mois, cinquième point d’étape.

Nous voici donc au cinquième point d’étape, publié dans la journée du 2 avril. Après un quatrième billet calme, que donne celui-ci ?

Ben rien de très notable. La grosse nouveauté, c’est suite à ma migration vers Windows 11, grâce à l’aide précieuse de Baba, la machine virtuelle a migré de Qemu vers HyperV. Pour avoir le son, une couche xrdp a été rajouté, ce qui fait que le Gnome utilisé ne fonctionne plus avec Wayland mais avec X11. Mis à part cela et le fait qu’il a fallu que je modifie le fuseau horaire pour retomber sur une heure correcte.

Sans oublier la capture d’écran qui montre bien que la Fedora a migré sur les technologies de Microsoft.

Donc pour le moment, tout va bien. Espérons que ce soit le cas par la suite… À suivre donc dans un billet final qui sortira le jour de la sortie de la Fedora 42.

Mettre à jour des paquets AUR via une Archlinux sous WSL2 ? C’est possible.

WSL2 est un outil de MS-Windows 10 puis 11 qui est étonnamment puissant. En effet, l’émulation est telle que le linux installé ignore qu’il est dans un environnement et non en lien direct avec le matériel. Marrant ce fastfetch 🙂

Piqué par la curiosité – et bien qu’ayant conservé mon ancestral ordinateur portable sous Archlinux avec les dépôts testing activés – j’ai voulu voir si des opérations comme la maintenance de paquets AUR serait faisable depuis une instance WSL2.

J’ai donc commencé par récupérer mes clés ssh, qui ont été déposées dans un répertoire .ssh à la racine de l’Archlinux WSLisée. Après avoir modifié les droits – trop importants par défaut – sur le fichier qui contient la clé SSH de mon ancien compte, j’ai pu lancé un git clone suivi d’un logiciel à tester.

Dans l’Archlinux WSLisée, j’ai rajouté mc et yay, histoire de me simplifier la vie. Quant à la commande mksrcinfo, c’est un alias dans le fichier .bashrc pour la ligne de commande makepkg --printsrcinfo > .SRCINFO.

Et tout s’est bien déroulé. J’ai donc décidé d’enregistrer une courte vidéo dans laquelle je montre commment une Archlinux WSLisée tient le choc. Bon, j’ai fait une fausse manipulation dans la deuxième partie de la vidéo… Désolé pour le montage un peu sec, je n’ai pas encore l’habitude du logiciel de montage vidéo VSCD.

Bon, le principal, c’est de montrer que l’on peut faire pas mal de choses avec WSL2. Même plus que je ne le pensais au premier abord.

Changer de smartphone, au bout de 5 ans…

…Et ça est puissant. Il faut dire que j’ai sauté d’Android 10 – avec un Redmi Note 7 – à un Android 14… Même s’il m’a coûté un peu cher, j’ai calculé que si je garde ce smartphone durant 5 ans, ça me reviendra à moins de 5 € par mois.

Et oui, j’ai honteusement pompé sur les deux euros que me rapporte chaque mois mon compte Tipeee.

C’est sûrement une somme à sortir d’un coup, mais c’est toujours plus abordable que le dernier Samsoule ou AilPhone en date.

Les hics ? Pas de coque enrobante ou de chargeur complet… C’est pas juste… 😉

Maintenant, je me demande combien de temps je mettrai pour bouffer les 215 Go de stockage.

Sur ce, je vous laisse, j’ai un smartphone à apprivoiser 😉

« Hero Fantasy : The King’s Sword » : du neuf pour ce jeu rétroludique.

Dans un article publié pour Noël 2024, je parlais du projet solo « Hero Fantasy : The King’s Sword » sorti à la fois pour le Commodore Vic20 et son petit frère, le Commodore 64. Sur la page itch.io du développeur, on peut récupérer des version disquettes du jeu pour le Vic20 et le C64.

Cependant, en restant en contact avec l’auteur, j’ai eu l’honneur et le privilège de pouvoir tester des bêtas pour la version C64 sur cartouche et une première bêta du jeu pour l’Atari 800XL et plus récents.

Il faut dire que les deux ordinateurs ont en commun le processeur, même si le C64 a un MOS 6502 « amélioré ». Cela a permis à l’auteur de se concentrer sur les spécificités de l’ordinosaure d’Atari, étant donné que la logique du jeu est resté la même.

En suivant ses lives de programmation – un peu en diagonale, je dois l’avouer – j’ai pu voir la progression et bien que le jeu soit en monochrome pour des raisons d’ordre pratique. Ce qui fait que certains graphismes ont été modifiés. En effet, le jeu d’origine se base sur les clés et les portes de même couleur, sans oublier que les ennemis de deuxième niveau pour un monstre donné – comme les serpents – se basaient sur une couleur différente. Sur un jeu monochrome, c’est moins visible !

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En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier mercredi de mars 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 2 : les projets de distributions mono-développeur.

Dans le petit et doucéreux monde des distributions Linux, il y a un truc qui m’irrite et me fait peur à la fois : les projets de distributions mono-développeur. Oui, vous allez me dire, il y a la Slackware qui est née en 1993 et qui essentiellement maintenu par Patrick Volkerding et quelques autres personnes.

Mais il y a d’autres projets, aussi mono-développeur qui sont à éviter pour cette raison. Il suffit que le développeur n’ait plus le temps de s’occuper de son projet pour se retrouver avec le bec dans l’eau.

Il est vrai que des projets comme SDesk sont des Archlinux à peine retouchées. Mais quand le projet est un peu plus ambitieux et ne se résume pas à la énième personnalisation d’Ubuntu, de Debian ou encore de LinuxMint, on est plutôt dans la mouise.

C’est pour cela que je ne conseille aucun de ce genre de projets quand on me contacte – contactait ? – pour me demander quelle distribution utiliser. J’ai pu voir récemment une Archlinux pure et dure utilisée par une personne que je n’aurai jamais soupçonné de l’utiliser. J’étais un peu sur le fondement ! Comme quoi, parfois on peut être agréablement surpris.

Pour résumer : projet mono-développeur ? Pas bien. Et restez donc sur les distributions mères et filles comme je me tue à le répéter. Vous aurez largement moins d’emmerdes au final.

SpeechNote / DsNote, la dictée vocale en action sous Linux.

SpeechNote ou DsNote sur AUR, c’est un logiciel de dictée vocale. Et comme tout logiciel de ce style, il faut être dans un environnement le plus silencieux possible. Voici donc la partie que j’ai saisie vocalement et corrigée des nombreux bugs de traduction que j’ai corrigé.

En effet, j’ai eu un accident de basket… En effet, j’ai deux doigts en écharpe et c’est un peu chiant pour taper sur le clavier. Donc je vais utiliser ce début d’article l’outil SpeechNote. Ça fera un peu « inception », mais c’est juste pour montrer speech note ou dsnote en action.

Et en donné que je n’ai pas d’autre choix, j’utilise SpeechNote pour me simplifier la vie, même si par la suite, je compéterai l’article avec les huit doigts qui restent utilisables.

Ici, je reprends la saisie au clavier. Il y a de nombreuses langues supportées, et je suppose que l’anglais doit être la version la plus fonctionnelle qui existe. Je ne l’ai pas testé, mon anglais n’étant pas aussi bon que je le voudrais.

Mais bon, on ne peut pas non plus demander des miracles à ce genre de produits. Il y aura toujours plus ou moins besoin d’un environnement calme. Mais le mieux, c’est de vous montrer le logiciel en action.

Inutile de préciser que je n’ai pas gardé le logiciel. Il me prend de la place pour pas grand-chose. Mais au moins, il a le mérite d’exister.

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mars 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 1 : la mise en avant de projets non terminés.

Comme vous le savez, je suis un utilisateur long terme du logiciel libre, ayant décidé de passer au mono-démarrage linuxien en 2006. Ce qui était assez acrobatique à l’époque et on avait pas encore la dose de finition actuelle. En 2006, c’était un choix technique osé. De nos jours, un peu moins !

Cependant, il y a certains travers qui ont le don de me géner aux entournures. D’où ce premier article d’une petite série. On va commencer par ce qui m’a irrité récemment, c’est l’annonce par le projet Garuda de proposer une saveur de leur distribution avec l’environnement Cosmic Desktop qui est – au 16 mars 2025 en version alpha 6 – non terminé pour le moment.

Il ne serait pas étonnant que tout au long de l’année 2025 l’équipe de System76 sorte des versions alphas ou betas mensuellement. Je pense qu’il serait raisonnable d’estimer la première version stable pour fin 2025 début 2026. Écrire un environnement de bureau depuis la page blanche, ça prend du temps.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième samedi du mois de mars 2025. Attention, ça va piquer et pas qu’un peu.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans la série « L’environnement de bureau n’est pas terminé mais on l’empaquète », je demande la Garuda Linux qui propose une saveur avec Cosmic Desktop.
  • Vous trouvez ReactOS trop avancé dans sa réécriture de MS-Windows ? Alors Free95 sera pour vous. Merci Phoronix pour l’info !
  • Vous détestez les pubs qui s’affichent à l’écran. Vous rêvez de les tuer à vue ? Alors le petit jeu « Ad Popper » pour Commodore 64 sera pour vous.

Côté culture ?

Comment faire comprendre qu’il n’y aura pas de sortie numérique d’un album ? Mettez-le à 700€ sur la page bandcamp de l’album. Simple, non ? 🙂

Sur ce, bon fin de week-end !