C’est un album de pop-rock classique, qui commence en fanfare avec « I Wrote The Book ». Il y a toujours un léger côté psychédélique comme avec les effets sur la piste « Autumn ». Dommage que cette piste soit un peu coupée à la hache sur la fin 🙁
Après le premier album « Une Simple Théorie des Glaces en Terrasse » (sortie en décembre 2011), le groupe sort avec le label Strandflat leur deuxième album.
Trois versions sont disponibles :
Numérique uniquement avec une piste bonus
Deluxe simple : numérique, CD et 33 tours
Deluxe limitée : la deluxe simple avec un 45 tours contenant la piste bonus.
Les deux dernières étant disponibles courant novembre 2013.
Depuis que j’ai découvert grâce à une ancienne collègue Dead Can Dance, j’ai toujours été intéressé par les chants traditionnels. Et après la découverte via un ami artiste peintre du groupe Blackmore’s Night qui mélange rock, folk, sonorités médiévales et renaissance, j’ai cherché à trouver des musiques qui mélangeraient toutes ses influences. Ou un maximum d’entre elles 😉
Navigant dans les meilleurs ventes physiques de Bandcamp, j’ai trouvé deux albums qui m’ont vraiment emballé.
Le premier, c’est l’album de musique néo-classique de Lucy Claire. Dans son court album de trois pistes, elle arrive à mélanger les instruments classiques et la musique de la vie moderne. Album sorti en août 2013.
Thee Dang Dangs est un quatuor du Colorado formé par Rebecca Williams (au chant), Broox Pullford, Ray Korea et Scotty Gervais. Leur premier album – et je regrette de ne pas avoir découvert le groupe avant – propose une musique teintée de rock psychédélique, de surf rock, bref des sonorités comme celle qu’on pouvait entendre à la grande époque d’Haight-Ashbury à la fin des années 1960.
Je dois avouer que j’ai toujours aimé cette période musicale un peu spéciale, et que l’un de mes albums préférés de cette époque, c’est « The Piper At The Gates Of Dawn » des Pink Floyd.
Dès la première piste, on sent le son typique des années 1960. Et ça fait du bien. Et on est parti pour 37 minutes de voyage dans le temps. Les titres sont assez courts (de 1 minute 19 à 6 minutes 05 pour la plus longue). Comme des coups de pinceaux sur une toile.
En fouillant sur Bandcamp, je suis tombé sur l’album « Vagrant » du groupe allemand Ysma. C’est un quartet de Münster, formé en 2009, qui mélange avec bonheur de nombreuses influences. L’album est proposé sous licence Creative Commons CC-BY-NC-ND.
Mis à part la 11ième piste qui dure plus de 9 minutes 30, les morceaux sont assez court pour du progressif, dépassant à peine les 6 minutes. J’ai rédigé l’article en l’écoutant, ce qui explique le coté un peu « brut » de l’article 😉
C’est un groupe qui propose un rock progressif teinté de sonorités métal, mais aussi d’autres influences. Après une courte intro, le morceau « The Wanderer » arrive et nous propose une piste qui ne renie quelques influences jazzy.
La troisième piste « Remember Jenny Samkis » est plus rock, bien que l’influence métal avec une rythmique assez rapide se faire sentir.
Lorsque j’ai entendu dire que leur nouvel album « Fire & Fortune » était disponible en précommande, j’ai sauté sur l’occasion. L’album est publié chez Navigator Records, un éditeur spécialisé dans la musique folk.
Et grace à la précommande, je l’ai reçu aujourd’hui, deux jours après sa sortie officielle 😉
Dès les premières mesures de la première piste, on se retrouve en terrain conquis : le jeu de guitare aérien de Ben Walker mélangé à la voix angélique de Josienne Clarke nous porte dans un monde de douceur, de nostalgie et de mélancolie.
Comme j’ai déjà pu le dire, Bandcamp est un site merveilleux. Une vraie mine d’albums de très bonne qualité. D’ailleurs, j’en suis à plus de 150 albums déjà acheté sur Bandcamp. Il y a quelques jours, en fouillant les meilleures ventes, et les recommandations liées aux dites ventes, je suis tombé sur un petit bijou pop folk d’outre Manche : Model Village.
C’est un groupe de pop-folk originaire de Cambridge et de Londres. Leur prermier album est sorti en avril 2012, et s’appelle « A Solution To Everything ».
Proche des créations d’un groupe comme « Belle and Sebastian », Model Village propose des mélodies qui mélange avec beaucoup de succès les rythmes folk (la première piste commence même avec un peu d’accordéon), les rythmes pop, et des mélodies parfois plus intimes, comme « Country Claimed Me » ou encore « Tiny Hands ».
Des morceaux comme « Josefina » sont plus proche du folk-rock que de la folk pop classique. Les pistes s’enchainent pour le plaisir de l’auditeur, qui ne voit pas le temps passer, et se régale durant les presques 40 minutes de l’album.
Leur premier album est disponible en version physique, et uniquement en 70 exemplaires. Autant dire que c’est un album assez collector. Inutile de me le demander, oui, j’ai commandé un des exemplaires restants 🙂
Le groupe, principalement constitué du duo Tom Crosley-Thorne et Rebecca Leach, nous propose une folk rock assez classique, un peu teinté de country. Leur premier EP contient 4 titres et dure une grosse douzaine de minutes.
Avec le premier titre, on pourrait se croire dans un appartement des années 1960, l’air saturé de senteurs de patchouli, passant à l’envers la deuxième face de « Sergent’s Pepper Lonely Heart Club Band » des Beatles pour entendre le message subliminal contenu dans la dernière piste.
La deuxième piste nous envoie au far west avec des ambiances qu’on pourrait trouver autour d’un feu de camp, à la belle étoile.
La troisième piste est plus teinté pop-rock que les précédentes. La dernière piste clot l’EP en douceur, avec un mélodie à tendance country. Et on peut se dire : déjà ? C’est tout ? Allez, on se le remet 🙂
L’album n’est pas excessif côté prix, surtout pour un CD imitation vinyle, un poster de leur tournée et une petite étiquette avec le nom du groupe le tout pour 5£, soit 5,82€. Si vous ne voulez que la version numérique, il vous en coutera 4£, soit 4,66 €.
Inutile de préciser que j’ai acheté une version physique d’un des 200 exemplaires disponibles. Il me tarde de le voir rejoindre ma collection de folk anglaise déjà constitué de la discographie de Dave Gerard and The Watchmen et du duo Josienne Clarke et Ben Walker.
Petit ajout du 31 mai : la vidéo officielle du titre « When You Call ».
Cette apparence est celle de la face d’un vinyle avec ses microsillons. Pour les personnes n’ayant pas connu l’époque glorieuse des 33 et 45 tours, mais uniquement le CD, imaginer que l’on devait acheter des bouts de plastique de 30 cm de diamètre contenant 25 à 30 minutes par face, c’est comme revenir au temps des cavernes 🙂
Bref, pour une raison qui sera dévoilée dans un prochain article à venir, j’ai remarqué que les CD imitation vinyle était une tendance qui commençait à apparaître. Dans la photo ci-dessous, les 4 CDs imitations vinyle de ma collection qui contient environ… 550 références 🙂 Oui, je sais, moins d’un petit pourcent ce n’est rien, et pourtant… Pour prendre un parallèle douteux, les utilisateurs de GNU/Linux pour les ordinateurs domestiques ne représentent aussi qu’un petit pourcent 🙂
J’avoue que le côté vintage de la présentation des galettes plastifiées est sympathique et permet un délire nostalgique. En tout cas, ça change du CD fourni avec sa notice torchée sur ce qui ressemble à du papier hygiénique recyclé.