Critique de livre : « David Atlan : Le bout du tunnel » de Jérôme Dumont.

J’ai fini de lire le premier tome de la nouvelle saga du papa de « Rossetti et McLane », Jérôme Dumont. Comme pour ses précédents romans, ceux-ci sont disponibles au format électronique sur la plateforme détestée par de nombreux barbus, Amazon.

Dans ce nouveau roman, Jérôme Dumont mélange le thriller et le roman policier. Le héros et narrateur de l’histoire, David Atlan est un sombre gratte papier d’une agence d’assurance qui, suite à sa séparation, a du prendre un deuxième travail, dans une station service. Et un soir, dans cette station service, il fait une rencontre qui changera sa vie pour le pire… Et peut-être pas pour le meilleur 🙂

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L’auto-édition : vraie opportunité ou piège à con(ne)s ?

Depuis quelques années, l’auto-édition dans le domaine de l’écrit a le vent dans les voiles. Que ce soit via des plateformes comme celle que propose Amazon, In Libro Veritas, Atramenta ou encore Lulu, il n’y a jamais eu autant de publications écrites.

Évidemment, comme partout, quand l’auto-édition arrive, il faut savoir trier le bon grain de l’ivraie. Cela m’a permis de découvrir principalement – honneurs aux dames – des auteur(e)s comme : Isabelle Rozenn-Mari, Christelle Morizé, Anna Khazan. Pour ces messieurs ? Jérome Dumont, Wendall Utroi, Xavier Delgado, Philippe Saimbert ou encore Didier Acker.

Il faut cependant ne pas oublier que l’auto-édition est du pain béni pour les maisons d’édition classique. Cela leur permet de faire leur marché, de voir les auteur(e)s qui arrivent à bien vendre.

On peut prendre ici l’exemple d’Alice Quinn qui est désormais signée par une major de l’édition papier et qui profite ainsi de la puissance de feu médiatique qui en découle, et les « facilités » en terme de correction, de mise en page, de relecture. Tout ce qu’un(e) auteur(e) auto-édité doit faire par soi-même.

Dans un billet coup de gueule récent, Agnès de Destination Passions disait ce qu’elle pensait des auteur(e)s incapables de sortir du « mode promotion » de leurs oeuvres, oubliant le reste du monde. Je cite un passage du billet en question qui est parlant selon moi :

Je profite donc de cet article pour pousser un gros coup de gueule contre certains auteurs qui ne savent rien faire d’autre que se regarder le nombril et gonfler un peu le torse au moindre propos positif les concernant. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce genre d’auteur est plus fréquent qu’on le croit et quand vous regardez dans l’autoédition, c’est une invasion.
[…]
Qu’espèrent-ils tous ces nombrilistes de la capsule ? Que toute personne avec laquelle ils rentrent en contact se mettra à genoux devant eux et se précipitera sur leur prose ? Moi j’en ai rien à foutre de leur prose ficelée de façon intestinale et qui ne vous vaudra qu’une bonne visite chez le toubib. Pourquoi s’acharner si certains en ont rien à faire de ce que vous pensez de leur crotte ? Es-ce utile de dépenser de l’énergie à faire de nombreux emails aux uns et aux autres pour les informer de telle ou telle chose avec au passage quelques petits conseils d’”amis” ? Ils ne semblent avoir rien compris et un seul conseil s’impose pour eux : retourner à la case départ et tout réapprendre à l’exception des cas désespérés…

C’est une attaque violente et pourtant très réaliste du petit monde de l’auto-édition. Quoique la version musicale de l’auto-édition n’est pas meilleure. Je dois dire que j’adore Bandcamp, et que c’est devenu ma source principale d’approvisionnement en terme de musique. Mais pour un album que je présente sur le blog, j’aurais dû écouter dix sombres bouses pour trouver une pépite.

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Arkaïa : clap de fin, deuxième ! :)

Le 15 avril, j’annonçais l’arrivée de la version papier de mon troisième roman « Les enfants de la Nouvelle-Arkaïa ».

Désormais, la version numérique est disponible en epub, mobi et pdf. Voici les captures d’écran du livre dans Calibre. Cela vous donne un ordre d’idée du nombre de pages de chaque version.

Version ePub :

Version mobi :

Il coûte 5,99€, ce qui n’est pas excessif vu le nombre de pages. (Liste non exhaustive, je complèterais la liste au fur et à mesure des publications.

Sans DRMs :

Atramenta : http://www.atramenta.net/ebooks/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia/325

Librairies Dialogues : http://www.librairiedialogues.fr/livre/8293317-les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia-arkaia-tome-3-frederic-bezies-atramenta

Feedbooks : http://fr.feedbooks.com/item/1202490/les-enfants-de-la-nouvelle-arka%C3%AFa

EPagine : http://www.epagine.fr/ebook/9789522736000-les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia-frederic-bezies/

Librarie Immatériel : https://www.7switch.com/fr/ebook/9789522736000/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia

Avec DRMs :

Amazon : http://www.amazon.fr/enfants-Nouvelle-Arka%C3%AFa-Arka%C3%AFa-3-ebook/dp/B00W579RN2/

Kobo : https://store.kobobooks.com/fr-FR/ebook/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia

Booken : https://www.bookeenstore.com/ebook/9789522736000/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia-arkaia-tome-3-frederic-bezies

Fnac : http://www4.fnac.com/livre-numerique/a8281176/Frederic-Bezies-Les-enfants-de-la-Nouvelle-Arkaia

En vrac’ rapide et plus ou moins libre.

En cette fin de semaine, un en vrac’ rapide et partiellement consacré au libre.

Dans le domaine du non-libre, quelques liens en vrac.

C’est tout pour aujourd’hui !

Arkaïa : clap de fin, première ! :)

Il y a presque un an, je publiais un premier article sur le premier tome de ma trilogie de science fiction dystopique, « Arkaïa », en duo papier et électronique.

Comme je le précisais dans l’article à l’époque :

[…]En juin 2012, sur les conseils d’une personne que je tiens à remercier, j’ai repris la rédaction de l’histoire qui était resté en plan durant une douzaine d’années. De 100 pages que je comptais rédiger à l’origine, je suis arrivé à plus de 300 en l’espace de huit long mois d’écriture, uniquement effectué sur mon temps libre.[…]

En octobre 2014, c’était au tour du tome 2 de voir la lumière du jour, sous le nom « Chroniques de la Nouvelle Arkaïa », toujours en version papier et électronique. Je dévoilais un peu la réalité du projet qu’avait représenté l’écriture de la trilogie.

[…]Ce que je n’avais pas précisé, à l’époque, ignorant l’accueil de celui-ci, c’est qu’une suite avait été extraite de mon cerveau, écrite en l’espace de quatre à cinq mois, toujours sur mon temps libre.[…]

Un an après la sortie du premier tome, la fin de trilogie est enfin disponible. Comme pour le deuxième tome, j’ai mis environ 4 à 5 mois à l’écrire sur mon temps libre. Il est vrai que je m’astreignais à une certaine discipline. Le premier tome avait été écrit entre juin 2012 et février 2013, le tome 2 entre mars et juin 2013, le dernier tome entre juillet et octobre 2013.

C’est donc un projet lancé il y a près de trois ans qui arrive à sa fin. Avec « Les Enfants de la Nouvelle Arkaïa », je termine cette mini-saga.

Pour le moment, la version électronique est en cours, et dès qu’elle sera disponible, je la rajouterai à cet article. Voici donc le quatrième de couverture du dernier roman de ce projet que j’aurai porté durant des années avant d’avoir la maturité nécessaire pour l’écrire.

Depuis la fin de l’histoire racontée dans « Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa », huit années sont passées. Sally vient de fêter ses trente ans. Comme Marc, Isabella, Lauryana, Lucas ou encore Jonas, c’est une enfant de la Nouvelle-Arkaïa.

Petit à petit, les jeunes générations prennent le pouvoir dans la Nouvelle Arkaïa, laissant la génération fondatrice finir ses jours tranquillement, ou presque.

Dans cet ultime tome de l’histoire d’Arkaïa, partez donc à la découverte de la vie des « Enfants de la Nouvelle Arkaïa ».

Le plus important dans ce projet a été pour moi, en dehors de raconter une histoire, d’arriver à produire un long texte et d’avoir la possibilité d’être lu pour d’autres textes que ma prose, parfois acide, sur ce blog. C’était aussi pour me prouver que j’étais capable de le faire.

Une suite ou une préquelle ? J’avoue que j’en sais rien. Quand on passe 18 mois avec des personnages, on finit par s’attacher à eux. Mais j’ai envie de tourner la page du projet Arkaïa qui a été une grande source de travail d’écriture, de réflexion et d’imagination.