En vrac’ rapide et libre de la Trève des Confiseurs.

Après l’orgie culinaire du 24 au soir, et avant de préparer celle du 31 au soir, profitons de la trève de Confiseurs.

C’est tout pour aujourd’hui, je vous quitte, j’ai « Reverie/Harlequin Forest » d’Opeth qui m’appelle 😀

Bridge Linux 2012.12 : Dommage, on est presque dans l’utilisable.

En mars dernier, j’avais étrillé la Bridge Linux, car elle n’était pas vraiment bien finie. La sortie d’une version en ce début décembre m’a donné envie de lui redonner une nouvelle chance, histoire de voir les évolutions accomplies en l’espace de 9 mois.

J’ai donc pris l’ISO xfce en 64 bits, car à l’origine, la Bridge Linux proposait Xfce.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom bridge-xfce-2012.12-x86_64.iso -no-frame --boot order=cd &

L’installateur est en grande partie le même, bien qu’amélioré au niveau de la gestion des traductions et des langues. Cependant, si vous utilisez une machine avec un UEFI, il faudra mettre les mains dans le cambouis pour installer le gestionnaire de démarrage, comme indiqué dans le fichier « README » disponible sur le bureau.

Très bon point, l’installateur est traduit, et il se résume à suivre les étapes les unes après les autres.

Et surtout – j’ai pu vérifier cela hier soir dans un test préliminaire – il ne faut pas créer de partition /boot séparée, la distribution ne démarrera pas, le noyau étant déclaré comme introuvable. De plus, il faut partitionner à la main, alors que la plupart des autres dérivées d’ArchLinux propose un partitionnement automatisé 🙁

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Un mûrissement du marché des distributions GNU/Linux dérivées en route ?

Dans le petit monde de GNU/Linux et de ses distributions, il y a toujours eu des distributions dérivées d’autre, dont la plus célèbre au niveau du grand public est aussi une dérivée. Sans la Debian GNU/Linux, Ubuntu n’irait pas très loin.

Jusqu’il y a quelques mois, il ne se passait pas une semaine sans que l’on entende parler d’une nouvelle distribution dérivée d’Ubuntu. Au point, que Distrowatch aurait pu faire une section « La distribution dérivée d’Ubuntu de la semaine » dans sa gazette Distrowatch Weekly.

J’ai remarqué la montée en puissance progressive de distributions dérivées qui prennent une autre base que Ubuntu. Si on prend sur les dernières semaines, on pourrait citer, et je suis désolé pour les oublis :

Sans oublier des distributions dérivées plus anciennes, comme la Chakra Linux (basée à l’origine sur ArchLinux), Fuduntu (basée à l’origine sur la Fedora Linux) pour ne citer que les premières qui me viennent à l’esprit.

De part leur nombre important, les distributions dérivées d’Ubuntu, la Linux Mint en première, monopolisent l’actualité. Mais cela fait plaisir de voir que d’autres bases sont proposées, car ce serait dommage de limiter le monde des distributions GNU/Linux à Ubuntu et ses innombrables versions dérivées.

Ce ne serait pas rendre service des projets comme la SalixOS, la Siduction, ou encore la Manjaro Linux, pour n’en citer que trois.

Maintenant, c’est vous qui voyez, mais il faudra me dire où se trouve l’intérêt de certaines versions dérivées d’ubuntu qui ne propose qu’un fond d’écran alternatif, des dépots tiers activés, bref des choses faisables en 3 clics sous la distribution d’origine.

Seulement le plaisir de se dire en flattant son égo : super, j’ai sorti une distribution ?

En vrac’ rapide et libre du trolldi ;)

Comme on est vendredi – trolldi en culture geek – un petit en vrac’ rapide et libre qui essayera de ne pas suivre la tradition de la journée du vendredi.

J’allais presque oublier, une excellent vidéo de Cyprien sur la mode du Geek, histoire de remettre les points sur les « i » et les barres sur les « t ».

Voila, c’est tout pour ce matin 😉

Mate, environ 18 mois après son annonce : échec et mate ?!

Mate, le fork de Gnome 2 est né de la volonté d’un utilisateur d’Archlinux de continuer à faire vivre l’ancien code de Gnome.

Environ 18 mois après, où en est-il ? La version 1.4.0 est sortie en juillet dernier, intégré dans un nombre croissant de distribution (Linux Mint, SalixOS, openSuSE, en cours pour Mageia).

J’ai donc pris une archlinux virtualisée – autant reprendre l’environnement qui a vu la naissance du fork – et installé la dernière version en date.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting ‘disk.img’, fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom archlinux-2012.10-1-archboot-dual.iso -boot order=cd &

L’installation se fait en deux étapes, en partant d’une archlinux avec Xorg installé et configuré. J’ai aussi rajouté Gimp, Mozilla Firefox et LibreOffice 😉

On rajoute le dépot dédié en tête de liste dans le fichier /etc/pacman.conf


[mate]
Server = http://repo.mate-desktop.org/archlinux/$arch

Puis avec la ligne de commande :


yaourt -S mate mate-extras

Installation du groupe Mate

Installation du groupe Mate - suite

Pour le gestionnaire de session, j’ai installé LightDM, lxdm refusant de se lancer ?! Le gestionnaire de connexion MDM (utilisé par la version Mint de Mate) est indisponible sur les dépots pour archlinux. On arrive sous Mate 1.4.2 lors du chargement de l’environnement.

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En vrac’ rapide et libre pour commencer la semaine.

Un petit en vrac’ pour un lundi de novembre.

Voila, c’est tout pour ce lundi matin ! Bonne journée 😉

En vrac’ rapide plus ou moins libre.

En ce mardi frisquet de fin octobre, un petit en vrac’ plus ou moins libre.

C’est tout 🙂

Bonne journée.

Unity pour Archlinux : du progrès, on y est presque ;)

Il y a un mois, j’avais fait un point sur le port de l’environnement maison de Canonical sur Archlinux.

J’ai voulu voir quels étaient les progrès du port. Il faut partir d’un environnement Gnome 3.4.x installé et fonctionnel (c’est plus pratique, non ?). Ensuite, étant donné que l’ancien dépot http://unity-xe-xe.org/ semble un brin à l’arrêt, on peut passer par un autre dépot, http://unity.humbug.in/ dont la date de compilation complète au moment où je rédige cet article n’est vieille que de 48 heures. La version proposé d’Unity est le port de la 6.8.0, celle proposée avec Ubuntu 12.10.

Il faut rajouter en haut de la liste des dépots dans le fichier /etc/pacman.conf :


[unity]
Server = http://unity.humbug.in/$arch

[unity-extra]
Server = http://unity.humbug.in/extra/$arch

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Razor-Qt 0.5 : le « clone » de Lxde basé sur QT est de retour.

J’avais parlé il y a près d’un an du projet reprenant le principe de lxde pour l’appliquer à QT.  La version 0.5 étant sortie récemment, j’ai voulu voir ce que cela donnait désormais. J’ai donc utilisé une base Archlinux et j’ai ensuite récupéré le paquet AUR correspondant en l’adaptant. Le tout dans une machine virtuelle.

Je tiens à remercier Alexandre Singh pour avoir fait circuler l’info sur google+.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom archlinux-2012.10.06-dual.iso -boot order=cd &

Après avoir installé OpenBox comme gestionnaire de fenêtres, j’ai adapté le paquet proposé sur AUR.

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Guide d’installation d’Archlinux et Gnome : une petite mise à jour.

Avec l’annonce de l’officialisation de systemd comme système d’initialisation par défaut pour Archlinux, j’ai eu envie de mettre à jour mon guide d’installation, dont la dernière version date un peu, mai dernier pour être précis.

Il se base sur une machine virtuelle Qemu, utilisant Grub 2.0. On obtient un système assez fonctionnel, avec Gnome 3.4.2 au final.

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 3.0.

Bonne lecture !

Note : une coquille s’est introduite dans la première version de ce document. Après le partitionnement, il faut faire :

mount /dev/sda3 /mnt
mkdir /mnt/{boot,home}
mount /dev/sda1 /boot
mount /dev/sda4 /home

Une version modifiée est en route 🙂

Note 2 : Guide corrigé envoyé en ligne. Désolé pour le désagrément 🙁