En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième vendredi du mois de novembre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Comme tous les 3 mois environ, WordPress a connu une mise à jour, la version 6.7 dont la migration a été une partie de plaisir.
  • La distribution basée sur Devuan du mois. Prenez une Devuan 5 (une Debian 12 sans systemd), Xfce (ISO 64 bits) ou LXQt (ISO 32 bits) avec Calamares comme installeur. Vous aurez la Vendefoul Wolf 23.
  • Dans le domaine des distributions GNU/Linux sur lesquelles on peut compter les yeux fermés, je demande la 8e révision de la Debian Bookworm alias Debian 12.8.
  • Dans la série « j’ai un nom ridicule », je demande la Macaroni OS qui semble être la continuation du projet Funtoo. Merci à Seb à en avoir parlé dans un commentaire.
  • Prenez deux jeux de 52 cartes, une grille et composez des combinaisons de poker le plus puissante possible. C’est le leitmotiv de Carré Magix pour l’Amstrad CPC.

Côté culture ?

Sur ce, bon week-end !

Les rollings en dehors de la famille Archlinux, ça donne quoi sur un mois ?

En septembre 2024, je concluais un mois de tests sur les principales distributions immuables.

Début novembre 2024, je me suis lancé dans un projet de suivi sur 6 mois de la Fedora Linux 41.

Je cherchais une nouvelle expérience, histoire d’utiliser un peu plus le potentiel de mon Ryzen7 5700G. L’idée de faire un test sur un mois de distributions rolling release en dehors de la famille Archlinux. Pratiquant au quotidien Archlinux avec Gnome sur mon PC fixe et Manjaro Gnome (canal unstable) sur mon PC portable, il ne me manquait que deux familles. La famille rpm et la famille deb.

Par famille d’Archlinux, j’inclue (liste non exhaustive) :

J’ai dû sûrement oublié une poignée de projets dont l’équipe se résume à une ou deux personnes au fond d’un garage, quelque part sur la planète.

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Décidément, itch.io est une source intarissable de petites merveilles.

Je dois dire que j’apprécie franchement le site itch.io qui permet à de nombreuses personnes d’éditer des jeux sans avoir à se prendre la tête avec un éditeur. C’est un peu l’auto-édition, mais en version vidéo ludique.

Comme toute source bien fournie, il faut savoir jouer de la recherche pour tomber sur quelques jeux qui font passer un bon petit moment. C’est via un pouet sur Mastodon du créateur qui annonçait la sortie de la version Linux. C’était une occasion en or de sauter sur ce jeu, car les point’n’click sortant pour Linux ne sont pas si nombreux que cela.

Je suis donc allé sur la page itch.io du créateur et j’ai récupéré l’archive du jeu. Celui-ci se termine en une petite heure, le temps de comprendre les énigmes qui sont somme toute logique – même si une est bien laxative – pour arriver à la fin du jeu.

J’ai donc enregistré les 10 premières minutes du jeu en vidéo.

L’anglais utilisé est abordable et l’aventure bien que courte est bien dosée en difficulté. Un jeu qui vous occupera une bonne après-midi, sans prise de tête. Après, à vous de voir 🙂

Vieux geek, épisode 362 : « Eureka! », le jeu d’aventure qui vous récompensait financièrement.

Des jeux d’aventures, qu’ils soient textuels, graphique, point’n’click ou autre, il en existe des centaines, voire des milliers. Sur la bible qu’est CASA, on dépasse les 10 000 entrées !

Il y a cependant un jeu britannique, sortit en 1984 qui a fait parler de lui, c’est « Eureka! ». Le scénario du jeu est écrit par Ian Livingstone, qui était surtout connu pour la série « Défis fantastiques » des livres-jeux dont vous êtes le héros.

Sorti pour le duo Commodore 64 – sur deux disquettes ce qui en dit beaucoup sur sa longueur – et ZX Spectrum, c’est un jeu basé en Europe, avec 5 étapes :

  • La préhistoire
  • La Rome ancienne
  • La Bretagne du roi Arthur
  • L’Allemagne durant la deuxième guerre mondiale
  • Les caraïbes modernes

Si on pouvait jouer les quatre premières parties dans l’ordre que l’on voulait, pour débloquer l’ultime partie, il fallait jouer dans l’ordre. Un peu comme Rick Dangerous II dans l’idée où le dernier monde ne se débloquait qu’à la fin des quatre premiers. Il y avait cependant un point intéressant. Domark qui éditait le jeu proposait la somme de 25 000 £. Apparemment, il y a eu une version française avec 250 000 francs à la clé (soit 77 363,86€ en comptant l’inflation), mais je ne l’ai pas trouvé dans mes recherches.

Je vais donc vous montrer le tout début du jeu en action, sachant qu’il y a plus d’une centaine d’étapes pour finir la première époque. Du moins une fois qu’on a vaincu le petit jeu d’arcade d’introduction ! Cependant, dans la version que j’ai trouvé, les jeux d’arcade étaient désactivés ?!

Pour la petite histoire, le prix fut remporté par Matthew Woodley, un grand-breton qui travailla par la suite pour Domark. Les graphismes étaient sympathiques pour 1984, la bande son digne du SID qui équipe le Commodore 64.

Avec la solution – et de la chance car on en a parfois besoin – on peut finir le jeu en une bonne heure voire une heure et demie. Peut-être que je finirai un jour le jeu par curiosité, mais c’est pas dit 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois de novembre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rappel : Altesia a lancé une campagne de financement participatif pour son troisième album qui sort en 2025. Plus d’informations sur la page Ulule du projet.

Sur ce, bon week-end !