En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque samedi ou dimanche, en un vrac’ mixte pour terminer la semaine. Commençons par le monde des théoriciens enfermés dans leur tour d’ivoire, j’ai nommé le logiciel libre.

  • La distribution GNU/Linux au nom sternutatoire sort une version révisée de sa dernière mouture. La Kwort Linux 4.3.1 est disponible au téléchargement.
  • Puisque la mode est au rolling release, la Kali Linux spécialisée dans la sécurité informatique propose sa première version pour 2016. Plus d’infos sur le site officiel.
  • Vous aimez les distributions GNU/Linux lourdingue qui n’apporte rien au schmilblick ? Alors la ExTiX 16.1 fera votre bonheur.
  • Dans la série, « tiens elle est encore en vie ? », je demande la ZorinOS 11 béta basée sur la Ubuntu 15.10… Riche idée à moins de 3 mois de la sortie de la prochaine Ubuntu LTS… 🙂

Passons à la culture. Non, je ne parlerai pas de mes deux projets en cours de production, n’étant pas comme certain(e)s auteur(e)s auto-édité(e) incapables de comprendre leurs erreurs. Parlons musique.

  • Vous aimez le piano-jazz comme à la grande époque de Norah Jones (avant qu’elle ne tombe dans la daube musicale avec son troisième opus ? Alors Julia Barry pourra vous parler.
  • Si vous aimez le blues-rock avec des voix féminines, alors le premier EP éponyme des Elephant Bone Blues pourra vous plaire.
  • Si c’est la folk acoustique qui vous parle, alors laissez donc traîner l’oreille du côté des créations d’Angharad Drake.

Voila, c’est tout. Bon week-end 🙂

En vrac’ musical du mercredi.

Un en vrac’ musical assez copieux – pour une fois – en ce mercredi.

C’est tout pour ce mercredi, et c’est déjà pas si mal !

Ah, l’inamour entre la blogosphère littéraire et les auteur(e)s auto-édité(e)s…

Depuis quelques temps, on assiste à une forme de guerre froide entre la blogosphère litteraire et les auteur(e)s auto-édités. Les coups volent bas, et on peut penser que c’est la norme dans cette guerre qui ne fait qu’une gagnante au final : l’industrie de l’édition classique.

Tout a commencé avec un article sur le blog de Sophie Adriansen, au titre franchement « aimant à clics » : « Je ne lis pas d’auto édition »

Outre le fait qu’elle dénonce l’acharnement des certaines personnes, elle y va aussi un peu fort avec le passage suivant :

Généralement, on choisit l’auto-édition parce que :

A – On a envie d’autonomie… de LI-BER-TÉ !!!

B – Son projet a été refusé par une ou plusieurs maisons d’édition !

(Rayez la mention inutile)

Puis, on décide quand même de continuer alors que les signaux étaient négatifs :

A – Parce qu’on pense être un génie incompris.

B – Parce qu’on retentera l’édition plus tard (sur un malentendu, on peut conclure) !

C – Parce qu’on est fêlé du bocal…

Sympathique comme morceau recopié d’un blog de BD, article intéressant soit dit en passant.

Comme le veux la troisième loi de Newton qui dit « L’action est toujours égale à la réaction ; c’est-à-dire que les actions de deux corps l’un sur l’autre sont toujours égales et dans des directions contraires. », un blogueur du côté de l’auto-édition réplique d’une manière tout aussi vive dans un article tout autant « aimant à clic » que l’article de Sophie Andriansen, « La liste noire des blogs et sites qui ne vous chroniqueront PAS ».

Outre le fait que c’est une attaque frontale contre la blogosphère littéraire, l’intro est déjà une mise en bouche qui laisse penser que le canon de 75 est de sortie :

[…]
Plutôt que de s’entredéchirer, je crois qu’il serait plus constructif pour les auteurs comme pour les lecteurs de signaler les blogs qui font preuve de sectarisme intellectuel, en se cantonnant aux œuvres traditionnellement éditées. Ceci, afin de ne pas perdre son temps et son énergie à contacter des blogueurs qui non seulement n’auront aucun intérêt pour ce que vous écrirez, mais, du haut de leur tour d’ivoire, vous jetteront à la figure leur refus plein de morgue.
[…]

Pour moi, ce n’est pas la réponse. Car les problèmes viennent des deux clans et des trous de fesses mal lavés en quantité proportionnelle. Je vais m’expliquer plus avant, ayant le cul entre deux chaises, étant blogueur (depuis 2005), et auteur édité (via Larousse) / auto-édité (via atramenta, les deux depuis 2014).

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En vrac de fin de semaine.

Un petit en vrac’ pour finir la semaine. Qui reprend le duo logiciel libre et culture. Commençons par le panier de crabes informatique.

Côté culturel ?

Commençons par le coup de gueule d’Agnès sur le monde de l’auto-édition et des auteur(e)s qui se croyent tout permis et qui se la joue copinage à fond… Plus dure sera la chute !

Et pour finir en musique ?

Voila, c’est tout et c’est déjà pas mal !

The Fourth Is Bearded : à la découverte du post-hardcore.

J’ai des goûts musicaux assez étendus : j’aime bien écouter de tout, sauf la production commerciale qui me sort par les yeux. Que ce soit du heavy metal, du jazz, de la folk, de la musique électronique ou encore du néoclassique (comme avec Aythis) tant que j’accroche, j’écoute. Mais les productions ultra-formatées et sur-entendues, non merci. En clair, 95% des albums qu’on trouve dans les rayonnages des magasins, culturel ou pas.

Comme pour les oeuvres de Red Forest dont j’ai parlé le 6 janvier 2016, le blogueur influent que je semble être – les personnes au fond de la salle qui viennent de rire, merci de sortir ! – a été contacté par un membre du groupe « The Fourth Is Bearded », un groupe du Havre qui est spécialisé dans le mélange post-rock et post-hardcore.

J’avoue qu’avant d’écouter l’album je ne connaissais pas du tout le post-hardcore. J’ai donc été sur la page Bandcamp du groupe et j’ai lancé la lecture.

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