Parfois, avoir un hébergement à soi pour son blog, ça aide.

Durant de nombreuses années (15 environ), le blog a été hébergé sur un espace personnel du FAI Free. Quand j’ai déménagé sur cet espace, j’ai enfin pu accéder à PHP 7.x remplacé par un 8.x récemment. Sans oublier que je pouvais rajouter certaines extensions comme Vigilantor qui me permet de bloquer les dépôts de commentaires si on passe par le réseau TOR.

À une époque pas si éloignée, j’ai été emmerdé par des trolls qui se croyaient suffisamment intelligents en détournant TOR de ses buts d’origine.

Évidemment cela me coûte une certaine somme mensuellement. À une époque, j’avais ouvert un compte sur LiberaPay qui est à 0 € depuis de nombreux mois. Ceci n’est nullement un appel à donner sur ce service. J’aurai bien pu ouvrir un compte sur Tipeee mais j’ai trouvé le service un peu trop intrusif.

Évidemment, cela oblige à une gestion fine des ressources et d’être responsable des services que l’on propose. On n’a pas la facilité de dire que c’est la faute de l’hébergeur si ça part en couilles.

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Une semaine sans nouveautés, mea culpa, maxima culpa !

Cela ne m’étais plus arrivé depuis des années, une semaine sans le moindre billet sur le blog. Je tiens donc à m’excuser pour cela.

Ma vie réelle m’a pris pas mal de temps et en ce moment, je n’ai que très peu de temps libre pour faire tout ce que je voudrai faire. J’essaye donc de me concentrer sur les rapports de bugs aux projets que j’utilise régulièrement.

Récemment, cela a été sur la version de développement de Qemu qui souffre d’un bug à la con qui empêche la compilation du code source. Un patch fonctionnel a été récemment créé et je me tâte pour savoir si j’amende mon paquet AUR qemu-git ou si j’attends que le correctif soit appliqué.

J’ai aussi pu constater un bug bizarre sur mon Gnome 44 avec le noyau Linux 6.4.0. En attendant que le bug disparaisse, je reste avec le noyau Linux 6.1 LTS.

J’espère simplement que le prochain billet ne mettra pas une semaine à pointer le bout de ses octets.

Sur ce, bon week-end !

Il se passe quoi dans la blogosphère francophone ?

Du moins dans celle qui est geekesque et potentiellement abordable par monsieur et madame Tout-Le-Monde. Ce qui limite le nombre de blogs concernés.

Avec mon blog qui sera majeur au mois de septembre – et oui 18 ans déjà ! – je fais partie des vieux de la vieille. Un peu comme le StandBlog de Tristan Nitot.

C’est via mon agrégateur de flux RSS – oh, une technologie qui sent bon les années 2010 – que j’ai appris qu’Oliveyeah comptait mettre fin à son aventure bloguesque au bout de 10 ans.

Ça me fait tout drôle de l’apprendre. Car c’est un des blogs que je suivais malgré ses publications  parfois aléatoire.

Cet article m’a appris que Didier alias Iceman comptait mettre lui aussi la clé sous la porte en fin d’année 2023.

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Un geek ne vieillit pas, il monte en expérience.

Derrière cette boutade bien connue des geeks que ce soit pour les jeux de rôles ou encore l’informatique ou les jeux vidéo, il se cache une vérité triviale. On fête chaque année son anniversaire, ce qui veut dire que le grain de poussière sur lequel on habite vient de finir un tour complet autour de son étoile.

J’attaque donc le niveau 49 de l’expérience. Contrairement à mon passage au niveau 42 en 2016 – oui, ça fait vieux ! – je n’ai pas de planche de bande dessinée à présenter pour illustrer le billet.

Juste un texte, tout ce qu’il y a de plus aride… C’est plus une bouffée de nostalgie qui me prend aujourd’hui. J’ai écrit le billet n°336 de la série vieux geek qui parlaient des bornes d’arcade.

Cela m’a plongé plus de 30 ans dans mon passé. Une expérience qui ne m’a pas laissé de marbre. Je me souviens quand j’avais 18 ou 19 ans que le cap de la cinquantaine, je le franchirais dans une éternité. Je suis – au moment où je rédige ce billet – à une année du dit cap.

Pas que je sois impatient de quitter ma quatrième décennie, mais je dois dire que je me souviens encore de l’année de mes 39 ans – en 2013 – comme d’une longue agonie de la décennie qui se terminait. De ma quatrième décennie je dois mon passage à la publication de textes en auto-édition, que ce soit chez Atramenta ou sur Amazon.

Même si je ne me suis pas enrichi avec les publications en auto-édition, au moins je sais que j’ai accompagné quelques lecteurs et lectrices dans leur lecture. Maintenant, ce que j’attendais de la dernière année de ma quatrième décennie ? Des bonnes surprises, la possibilité de mettre un point final à un texte que je me traine depuis environ 5 ans avec des hauts et des bas, et finir le dernier tome d’une trilogie qui me tient à coeur depuis que j’ai 25 ans. Peut-être un peu trop ambitieux, mais au moins, je pourrai essayer.