Vieux geek, épisode 397 : « Raptor : Call of the Shadows », un excellent shoot’em’up de 1994.

Je suis arrivé sur PC en 1995, et j’avais à l’époque collectionné les versions partagicielles de jeux d’éditeurs connus, que ce soit Apogee (devenu 3D Realms) ou d’Epic Megagames (devenu Epic). Dans ma collection, il y a eu un shoot’em’up de 1994, développé par Cygnus Studio et publié par Apogee, « Raptor : Call of the Shadows ».

Comme tous les shoot’em »up, on s’en fout de l’histoire, ce qui compte, ce sont les poussées d’adrénaline. Car ce jeu est d’un bon niveau, même au niveau de difficulté le plus simple. Je suis tellement moyen dans ce genre de jeu que je m’étais fait éclater la tronche par le boss du premier niveau !

J’ai donc pris le niveau de difficulté le plus simple pour vous montrer les deux premiers niveaux du premier épisode. Par contre je n’ai pas trouvé l’endroit qui permet de sauvegarder après chaque mission… Ouille !

Le jeu a été réédité en 1999 pour MS-Windows, puis en 2015 sur Steam. Autant dire qu’il a eu une longue vie, même si je préfère la version de 1994, celle qui m’a étrillé dans la vidéo. Un shoot’em’up qui en vaut la peine, surtout pour un jeu qui a 31 ans en cette année 2025.

Vieux Geek, épisode 252 : Jill of the Jungle, Lara Croft avant l’heure ?

Dans les clichés des jeux vidéos, il y a le prince charmant qui va sauver sa princesse des griffes d’un grand méchant pas beau. C’est le scénario de la série des Super Mario, entre autres.

Si on demande quel est le premier personnage féminin dans le domaine à être au centre de l’action, un grand nombre de personnes répondra Lara Croft ou dira Tomb Raider. Il est vrai que Lara Croft en 1996 avec ses deux pistolets en imposait pas mal.

Un précédent avait eu lieu quelques années plus tôt. En 1992, Epic MegaGames sort le premier volet d’une trilogie de jeu de plateformes, « Jill of the Jungle ».

On y joue le rôle de Jill, une amazone qui doit parcourir une quinzaine de niveaux – dans le premier épisode – pour secourir son prince charmant qui est dans les ennuis jusqu’au cou.

Comme pour le premier Doom, c’est le principe du shareware – ou partagiciel – qui est utilisé ici. Les deux épisodes suivant s’intitulent « Jill Goes Underground » et « Jill Saves the Prince ». Titre qu’on peut traduire par « Jill descend sous terre » et « Jill sauve le prince ».

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Vieux geek, épisode 15 : ah, les sharewares :)

En lisant un article de La Vache Libre sur l’éditeur de texte shareware SublimeText, j’ai eu l’idée de ce billet.

Quand j’ai commencé à plonger dans l’univers de l’informatique personnelle, durant plusieurs années (toute ma période Amstrad), je récupérais des programmes soit commerciaux, soit je tapais des listings de plusieurs – dizaines de – pages pour avoir un jeu en 4 ou 16 couleurs proposés par les magazines.

C’est quand je suis arrivé sur Amiga 1200 que j’ai entendu parler d’autre types de logiciels. Avec des noms anglophones barbares. Freeware, shareware, bref des termes inconnus. Entre les logiciels gratuits, les logiciels d’essais, et les logiciels utilisables mais qui te demande régulièrement d’acheter une license d’utilisation, j’étais perdu !

Parmi les grands noms des sharewares sur Amiga, impossible de ne pas citer des projets comme MUI (pour Magic User Interface) ou un des plus célèbres jeux de combat de l’époque, Scorched Tanks ! J’ai du en oublier un sacré paquet, mais comme cela fait 18 ans que j’ai quitté l’Amiga, hein…

Arrivé sur le PC en 1995, j’ai été un grand fan des sharewares, en utilisant pas mal que ce soit sur le plan purement ludique ou sur des plans pratiques. De mémoire, je peux citer des programmes comme celui qui m’a permis de débuter ma généalogie, WinGAO, qui n’est plus développé mais est toujours récupérable.

Il y a aussi eu le logiciel de création d’image de synthèse Terragen, développé par PlanetSide, à l’époque des versions 0.quelquechose. que j’avais acheté et qui pendant une période m’a permis de proposer des images et des tutoriels, qui sont hébergés par le site d’un ancien utilisateur du logiciel.

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