Le premier album des « How To Destroy Angels » en version numérique pour bientôt ?

J’ai déjà parlé du groupe fondé par Trent Reznor et son épouse, Mariqueen Maandig. Le 1er juin prochain, sortira en version numérique – gratuitement téléchargeable en MP3 320 ou 2$ pour la version haute qualité (Flac + MP3 320 + Wav 24 bits 44 Khz + le clip « The Space In Between ») – de leur premier album, éponyme, à savoir « How To Destroy Angels« .

Sur la page du magasin du groupe, il suffit d’entrer son adresse de courrier électronique pour être prévenu et recevoir en cadeau une version MP3 320 de la piste « The Believers ».

Sur Amazon.com, il est aussi possible de précommander l’album qui sortira en version physique le 6 juillet… Autant vous dire que j’ai déjà effectué ma précommande 😉

Un bon petit pack de musique « gothique » :)

Ayant pu découvrir via une connaissance le groupe HereIn, j’ai commandé sur le site de Mono-Emotionals Records le « pack gothic ».

Mono-emotionals records

Le pack comprend le « N.W.O » de HereIn, « Crossing The Land of Bereavement » de Caithness et « Don’t Disturb The Beast » de Nic-U. En bonus, j’ai eu droit aux CDs de compilation de Automn Productions, volume 5 à 8.

« NWO », l’album de HereIn nous offre un rock classique, matiné de sonorités froides, avec des titres aussi bien en anglais qu’en français. Cela fait penser un peu à l’époque des Nine Inch Nails des débuts, en plus « calme » cependant.

Une atmosphère lourde et rythmée qui accompagne chaque titre. Cela m’a fait aussi un peu penser à un Joy Division de l’époque « Closer » en plus rock.

D’ailleurs, quand j’ai reçu le CD, il y avait une étiquette précisant :

« pour fans de The Cure, Mogwai, Cocteau Twins, Siouxsie, PJ Harvey »

« Crossing The Land of Bereavement », l’album de Caithness nous plonge dans une ambiance plus « spirituelle », plus médiévale. Dès les premières secondes de la piste qui ouvre l’album, « Incipit », on sent que l’on va faire un long voyage dans un univers froid, mais spirituel.

L’ambiance rappelle un peu celle des Dead Can Dance, de l’époque « Spleen And Ideal » – « Within The Realm Of A Dying Sun ». Envoutant, relaxant. Une heure pour se ressourcer spirituellement. Idéal quand on a envie de faire une coupure dans la journée 🙂

« Don’t Disturb The Beast » des Nic-U est l’album que j’ai le moins aimé. Très froid, voix caverneuses, synthétiseurs un peu trop omniprésent. J’avoue que je n’ai pas vraiment accroché. Une ou deux écoutes supplémentaires me permettront de découvrir mieux cet album.

Bilan musical du mois de mai… Plus calme qu’en avril ;)

Ce mois-ci, j’ai réussi à tenir à peu près mes achats de musique. Voici les nouvelles pièces de ma collection musicale :

Yes :

Genesis :

Deep Purple :

  • Burn
  • The Collection

The New Regime : « Coup »

Barclay James Harvest : « The best Of » – Centenary Collection

Rainbow : « Long live Rock’n’Roll’

Nine Inch Nails : « Head Like A Hole »

ZZ Top : « Eliminator »

Achat de CDs en mai 2010

Pas beaucoup au final, il faut savoir être raisonnable 😀

« Coup » de « The New Regime »… Où comment l’ultime batteur de NiN montre son talent.

En 2009, l’ultime batteur du groupe Nine Inch Nails a – à l’image de Trent « Nine Inch Nails » Reznor – produit un album pour son groupe, « The New Regime« . Son nom « Coup« , avec un morceau de la célèbre toile de David, « La mort de Marat ».

Durant un temps (jusqu’en janvier 2010), on pouvait télécharger gratuitement l’album. Depuis, on peut acheter l’album en version simple (7$) ou en version luxueuse (45$).

Bien qu’ayant télécharger l’album à l’époque de sa gratuité, j’ai voulu l’avoir sous forme « réelle ». Je suis donc allé le magasin en ligne proposant la vente du disque.

Achat : le 2 mai.
Envoyé : le 4 mai.
Reçu : le 12 mai.

Quelques photos – plus ou moins floue, mon APN commence à se faire vraiment vieux – du paquet et de l’album.

Vivement le deuxième opus d’Ilan Rubin 😉

« How to destroy angels » : du bon pour Trent « NiN » Reznor et madame ? ;)

Trent « NiN » Reznor s’est marié l’année dernière avec Mariqueen Maandig forme avec elle le groupe « How To Destroy Angels »

Sur le site officiel du groupe, on peut trouver des mini-vidéos liés à l’album en 6 pistes (seulement ?) du groupe.

Quoiqu’avec un premier extrait « A drowning » qui dure 7 minutes, c’est déjà intéressant.

Et le lien obligatoire vers le titre qui est franchement excellent.

J’avoue qu’il me tarde cet été pour acheter le premier opus de ce nouveau groupe !

C’est officiel : je suis vraiment dingue coté musique…

Et va falloir que j’aille me faire soigner… Etant aller me faire quelques courses, j’ai commis la bêtise de passer au rayon CDs, histoire de jeter un oeil aux prix cassés… Et j’ai acheté cet album :

Deep Purple : The Collection.

Cette compilation de 12 titres prend des titres assez connues de la période 1968-1975 du groupe.

Voici donc la liste des titres – ce qui m’a permis de découvrir : « Woman From Tokyo », « Rat Bat Blue », « Lay Down, Stay Down », « Kentucky Woman » et « Gettin’ Tighter » – de cet album compilation.

1. Highway Star
2. Fireball
3. Space Truckin’
4. Speed King
5. Lazy
6. Woman From Tokyo
7. Rat Bat Blue
8. Strange Kind Of Woman (Live)
9. No One Came
10. Lay Down, Stay Down
11. Kentucky Woman
12. Gettin’ Tighter

Ce qui ne fait que le… 94ième album de ma collection… Je suis en train de tomber dans une fringale d’achats de musique qui risque de me faire très mal au porte-monnaie si je continue à céder…

Soupir… Bah, mieux vaut cela que l’alcool ou les substances illicites.

Collectionneur fou de musique ? Je plaide coupable.

Quand je m’intéresse à un groupe, j’essaye – dans la mesure du possible et selon mes goûts et surtout mes finances – d’avoir la discographie la plus complète possible du dit groupe.

Quelques exemples.

La discographie la plus grosse pour un groupe que j’aime, c’est celle de Nine Inch Nails qui affiche quelques 27 références, en comptant la vidéo du concert « Beside You In Time » (Halo 22) et la compilation des 2 VHS « Closure » (Halo 12). Grace à un certain Seed0, j’ai un certain Halo 5 DVD, alias le film « Broken » 😀

Pour info, j’ai mis environ 18 mois pour acquérir une telle collection. Ce qui est assez honnête en rapport temps / nombre d’albums.

Sur la photo ci-dessous, j’en suis à… 18 références 🙂

Ne manque à l’appel – pour le moment, car une 19ième référence va arriver courant mai – dans la liste :

  • Halo 3 : « Head Like A Hole »
  • Halo 4 : « Sin »
  • Halo 11 : « The Perfect Drug »
  • Halo 15 : « We’re In This Together »
  • Halo 18 : « The Hand That Feeds »
  • Halo 20 : « Only »
  • Halo 23 : « Survivalism »

Ce qui m’a pas mal aidé, c’est que j’ai trouvé une grande partie via PriceMinister, donc à prix « cassés » 😀

Coté discographie presque complète ? Led Zeppelin, car il ne me manque que la bande originale du concert « The Song Remains The Same » et « Physical Graffiti ».

On peut aussi rajouter Dead Can Dance, et Lisa Gerrard, modulo le dernier album « The Black Opal », vendu uniquement sur Internet depuis… l’Australie 🙂

Pour les discographies en cours de récupération, je citerais les BJH et Pink Floyd.

Bon d’accord, je sais, je suis un fou de musique, mais quand j’aime un artiste, je l’aime vraiment. Et j’avoue que ma prochaine victime, ce sera Genesis, en me limitant à l’époque de Peter Gabriel. Par la suite, c’est trop « commercial » à mon goût 😉

Non, faut vraiment que j’arrête :D

Faisant mes courses ce matin à l’hypermarché de Biganos, j’ai vu au rayon musique des albums en solde… Et pour 11 €, j’ai pu avoir deux albums, dont un que j’ai acheté par pure curiosité 😉

Le premier : c’est l’album des « inédits » de Jeff Buckley, artiste disparu en pleine gloire. Dans cet album, on a droit à ses grands titres, souvent dans des versions alternatives et néanmoins intéressantes 😉

J’ai bien aimé la version limite « hard-rock » de « Eternal Life ». J’ai aussi découvert des bijoux de cet artiste. La version alternative de « Dream Brother » vaut largement celle de l’album « Grace ».

La version acoustique de « So Real » vous fait passer des frissons. Et la version « Live at Sin-E » donne envie d’acheter l’album live en question.

Le morceau le plus inattendu, c’est de l’entendre chanter en français, dans le titre « Je n’en connais pas la fin ».

Le deuxième album, c’est le seul album live de la formation historique de Genesis, simplement intitulé « Live ».

Thierry, peintre et grand fan de musique devant l’éternel (il m’a fait découvrir les Pink Floyd, Deep Purple ou encore Barclay James Harvest) est un fan de Genesis.

Désirant découvrir la période « Peter Gabriel » du groupe, j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai vu l’album à petit prix.

Bon, c’est du rock progressif. Soit on aime, soit on déteste. Mais ayant commencé avec BJH et le trio d’album progressif (« The Dark Side Of The Moon », « Wish You Were Here » et « Animals ») des Pink Floyd, j’ai tout de suite accroché à ce live. Même s’il est un peu difficile d’accès au début 😉

C’est un vrai festival pour les oreilles. Près de 47 minutes qui passent très rapidement… Du rock progressif pur sucre, surtout avec les sublimes « Get’em out by friday », « Musical Box » ou encore « The Knife ».

Autant dire que si vous êtes fachés avec le rock progressif, cet album ne changera rien 🙂

Non, faut vraiment que j’arrête d’acheter de la musique à aussi grande vitesse… Je vais me ruiner à ce rythme là 😀

Mes deux derniers achats de CDs… Attention, vieux con inside ;)

Profitant d’un bon d’achat sur Amazon, j’ai acheté deux albums des années 1970. Deux albums « mythiques » pour les personnes qui s’intéressent à la musique anglaise de cette période.

J’ai cité : Fireball – édition « 25ième anniversaire » de Deep Purple et « Long Live Rock’n’Roll » de Rainbow.

1971. Deep Purple sort « Fireball », deuxième opus de la meilleure période du groupe, avec le déjà très bon « In Rock ».

Dedans, on trouve des titres assez puissant : Fireball, Demon’s Eye, The Mule. Dans les pistes bonus, on retrouve aussi Strange Kind Of Woman, ou encore le très étrange « The Noise Abatement Society Tapes » qui montent que les membres du groupe ont une solide formation en musique classique.

C’est du hard rock de la grande époque de ses balbutiements. Et on sent que le groupe prend plaisir à définir les canons du hard rock et que le commercial est encore loin d’avoir siphonner l’inventivité des musiciens.

Le deuxième album est le quatrième opus du groupe fondé par l’ex-Deep Purple Ritchie Blackmore.

Après un départ en fanfare avec le titre éponyme, on a droit à des titres qui mélangent les bases du hard rock avec des textes assez développé. J’avoue que j’ai des coups de coeur pour le très complexe et puissant « Gates of Babylon » ou encore pour un « Kill The King » porté par la voix puissante de Ronnie James Dio.

Ce qui est bien avec cet album de 1978, c’est que celui se termine par la superbe ballade « Rainbow Eyes ».

C’est un de mes albums préférés de Rainbow, pour le mélange douceur et puissance.