Un petit délire scriptural :)

Dans le but de me remettre en jambes sur le plan de l’écriture non bloguesque, j’ai rédigé une petite nouvelle d’une vingtaine de pages alors que je travaille de temps en temps sur mon prochain récit « commercial ». Dont la sortie est pour le moment prévue pour février 2016.

Le langage est assez fleuri, c’est pour cela que j’ai choisi de mettre un « pour public averti » comme catégorie sur Atramenta.

Voici donc l’accroche :

La semaine d’un petit cadre quadragénaire au chômage

À quoi peut bien ressemble la semaine d’un petit cadre, âgé d’une petite quarantaine d’années et au chômage ?

Ce petit récit qui ne manque pas d’un humour assez grinçant est une volonté de répondre à cette question.

Le tout est disponible sur Atramenta au format epub, pdf et mobi sans DRMs.

Ce n’est pas le chef d’oeuvre du siècle, mais ça fait du bien de pouvoir partager des délires scripturaux 🙂

Sans ce titre ultra-connu de Renaud, rien n’aurait été possible.

Ah, les noms de code des diverses versions d’Ubuntu… Merci à Lucy in the Sky with Diamonds ? :)

Alors que la 22ième publication d’Ubuntu est encore toute fraîche, et que le grand manitou de Canonical, j’ai nommé Mark Shuttleworth a annoncé le nom de code de la 6ième LTS de l’histoire de la distribution, j’ai eu envie de revenir sur les noms de code qui sont les plus… bizarroïdes jamais proposés.

Le nom de code la Ubuntu 16.04 LTS étant hors concours, bien qu’il est assez tiré par les cheveux, car il faut y penser à Xenial Xerus. Dixit Mark Shuttleworth, Xenial signifierait amical ou hospitalier. Le Xerus fait un peu penser aux suricates dans l’apparence générale, bien qu’ils soient affiliés aux écureuils. Bizarre, non ?

Mais il y a d’autres noms de code depuis la sortie de la première Ubuntu en octobre 2004 qui valent leur pesant de « Mais comment ils ont pu trouver ça ? ». Voici donc mon top 5, rangé par ordre chronologique.

À tout seigneur, tout honneur. Commençons par la Ubuntu 4.10, sortie en octobre 2004. Inaugurant le principe d’une Debian GNU/Linux « simplifiée », la première Ubuntu avait pour nom de code… Warty Warthog, ce qu’on peut traduire par « phacochère verruqueux ». Non, je n’ose même pas m’imaginer la tête d’un phacochère souffrant de verrues. Pauvre bête !

À l’époque la seule interface disponible était Gnome 2.8 avec Mozilla 0.9 (mise à jour par la suite en version 1.0.x), et OpenOffice.org 1.1…

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Le 24 août, date pas franchement reluisante du calendrier ?

En ce 24 août 2015, je me pose cette question. En effet, si on regarde les principaux 24 août célèbres de l’histoire humaine, il n’y a pas de quoi se réjouir.

24 août 79 : Pompéi, Herculanum, Oplontis et Stablies sont ensevelies par l’éruption du Vésuve. Cependant, des recherches plus récentes déplacent la date de l’éruption au mois de septembre ou d’octobre de la même année. La date du 24 août ayant été établie par l’étude des écrits de Pline Le Jeune (61 ou 62 – 113 ou 115)

24 août 410 : Rome est mise à sac par les Wisigoths d’Alaric 1er. L’empire romain n’est plus que l’ombre de qu’il a été, et chutera définitivement 66 ans plus tard, le 4 septembre 476 avec l’abdication de Romulus Augustule.

24 août 1572 : suite à la tentative d’assassinat de Gaspard de Coligny, les mouvements ultra-catholiques massacre à tour de bras les huguenots venus à Paris pour la célébration du mariage d’Henri de Navarre (héritier lointain à la couronne de France) et de Marguerite de France, dite Margot. On estime le massacre a fait 3000 morts au bas mot.

Une « légende » dit que quand Gustave Eiffel fit creuser les fondations de la future Tour Eiffel en 1887, des ossements avaient été trouvés : ceux des victimes du massacre de la Saint Barthélémy.

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P’tain, un an de plus !

En ce 10 février 2015, j’entame une nouvelle année. Pour être plus précis, j’aurais (eu) officiellement mes 41 ans à 16h00, heure de Paris.

Et oui, 41… Qu’est-ce qui a changé par rapport à mes quarante que j’évoquais en février 2014 avec un brin d’ironie ? Pas grand chose.

Les plus grands changements sont physiques. Mon front a tendance à vouloir étendre son royaume, la barbe que je porte depuis près de deux ans (et je me sentirais bien nu sans elle) commence à connaître quelques poils blancs qui jurent un peu avec le brun du reste.

J’ai eu aussi tendance un tout petit peu d’embonpoint. On va mettre cela sur une forme de gourmandise qu’expliquerait notre ami Sigmund 🙂

En bref, une année de plus qui commence, sans grand changement mis à part le fait qu’en vieillissant, je continue d’écouter des musiques qui décalamine les cages à miel comme du metal progressif ou symphonique. Je prends un plaisir énorme à écrire, et avoir pu gagner un peu d’argent grace à ma plume a été pour moi l’un des grands points positifs de l’année passée.

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Le blues de « celui qui s’y connait en informatique ».

Dans mon entourage proche, qu’il soit familial ou amical, je suis « celui qui s’y connait en informatique ». Celui qui s’est plongé tout petit dans les méandres incompréhensibles de l’informatique personnelle. Ce qui me vaut des coups de fil de la part de personnes qui ont parfois un arrière plan culturel plus développé que le mien (du genre ayant fait des formations niveaux Bac+3 dans leur domaine professionnel), et qui panique pour le moindre petit bobo informatique.

Dans un vieux récit publié sur Atramenta, moitié fiction, moitié réalité, « Mémoire de vieux geek », chapitre 10 :

[…]
Alors que je suis en train d’écrire ces quelques lignes, mon téléphone portable sonne. Tiens, encore un ami qui m’appelle pour que j’aille lui dépanner son ordinateur. J’enregistre le texte, et je pars après avoir pris mon équipement de « docteur pour ordinateur. »

En moi-même, je sais à peu près combien de temps durera l’intervention. Que je pourrais être invité pour le repas du soir. Je dépanne mes amis à titre gracieux. Me faire payer le repas c’était toujours ça de pris. Au moins, je mangerais quelque chose d’équilibré et qui me fera varier mon régime alimentaire.[…]

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