Et ils sont plutôt classe. Des captures d’écran sont plus parlantes.
Le thème par défaut :
Le thème alternatif :
Cela fait moins préhistorique que le fond d’écran officiel d’Ubuntu Linux Intrepid Ibex, non ? 🙂
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Bien que la sortie ne soit annoncée que demain, la version de développement actuelle d’Ubuntu Linux Jaunty Jackalope (entre l’alpha6 et la bêta) propose Gnome 2.26.0.
A vrai dire, les changements sont si peu visible au premier abord, que j’ignore quelles sont les modifications apportées depuis la version 2.24 fournie avec Ubuntu Linux Intrepid Ibex.
Une image valant mille mots, voici une capture d’écran. Pour le moment, seul manque à l’appel Brasero 2.26.0.
Ayant installé une version pré-alpha6 de la distribution Ubuntu Linux Jaunty Jackalope dans une machine virtuelle Virtualbox, j’ai eu droit à un écran de connexion assez « classe ».
Ce serait bien qu’il soit conservé dans la version finale 🙂
Avec la sortie de Xfce 4.6, j’ai voulu tester une distribution l’incluant, désirant voir à quoi ressemblait cette nouvelle mouture de l’environnement en question.
N’appréciant pas outre mesure Xubuntu (trop gnomisée à mon goût), et comme les distributions en rolling release (comme ArchLinux ou Frugalware) ne la propose pas, je me suis rabattu sur la ZenWalk 6.0rc1.
J’ai donc utilisé le protocole habituel : machine virtuelle virtualbox, avec 768 Mo de mémoire vive, un disque virtuel de 32 Go. L’installation propose pas mal d’option (mais pas encore le système de fichiers ext4fs), et j’aurais bien aimé aller plus loin, mais manque de pot, l’installation a planté au moment de la configuration de Xorg :/
Néanmoins, j’ai pris quelques captures d’écran qui montre l’énooooooooooorme complexité d’installation de la distribution en question 😉
Zenwalk 6.0rc1 |
Je retenterais ma chance avec la sortie de la version finale de la ZenWalk 6.0 😉
« When pigs fly » est une expression anglophone dont l’équivalent francophone est : « quand les poules auront des dents ».
A vrai dire, j’avais entendu parler d’une sortie de la version 5.0 de Debian pour la Saint Valentin, et cela a été presque le cas. Le site officiel de la distribution a été mis à jour le 15 février – du moins en France.
Selon les notes de publication, cette version – qui ne sort que 22 mois après Debian Etch – propose :
Il est vrai que le leitmotiv de Debian est : stabilité, stabilité, stabilité. Et tant pis si les versions sont parfois un peu vieille. Mais on l’aime bien la Debian, au fond 😉
Maintenant, reste à savoir quand sortira Debian Squeeze (et qui sera sûrement Debian 6.0). Allez, rendez-vous dans deux ans ? 😉
La vénérable distribution Slackware Linux (la plus ancienne encore en vie ?) n’a qu’un défaut – mis à part de proposer KDE – c’est de n’être disponible qu’en version 32 bits. Il existe deux ports non-officiels de la Slackware Linux, la Slamd64 et la Bluewhite64 Linux.
Continuer la lecture de « Tour du « propriétaire » de la distribution linux « Bluewhite64 12.2 ». »
En me basant sur l’image ISO récupérée, j’ai lancé l’installation dans une machine virtuelle virtualbox équipée de 768 Mo de mémoire vive, un disque de 32 Go, un circuit son AC’97.
Continuer la lecture de « Le test de la Frugalware 1.0pre2 : deuxième partie, l’installation. »
Récupérer l’image ISO du premier DVD – car je n’ai pas envie de télécharger la plus grosse partie des paquets dont j’aurais besoin après l’installation – quelque soit l’architecture supportée par la distribution Frugalware Linux tient du parcours du combattant.
J’ai installé hier après-midi la dernière mouture de la distribution OpenSuSE, la 11.1 en 64 bits dans une machine virtuelle VirtualBox, équipée de 768 Mo de mémoire vive, un disque de 32 Go, un circuit son AC’97.
Après avoir récupéré l’image ISO du DVD (histoire d’avoir une installation sans trop jongler avec des images de CDs), et attendu la fin de l’installation, je me suis aperçu que de nombreux paquets 32 bits étaient installés, sans même que l’utilisateur ait son mot à dire.
Comme jadis la Fedora 8 (qui est sorti mi-2008), la OpenSuSE 11.1 est un mélange de paquets 32 et 64 bits. Alors que j’ai pu vérifier que les paquets 32 bits peuvent être virés sans problème. Une centaine de paquets à vue de nez…
Soit en gros 10% des paquets installés… On pourra me dire que c’est lié au support du greffon flash en 32 bits. Or, depuis novembre dernier, Adobe propose une version béta de son greffon en 64 bits.
Il est vrai que les solutions libre comme swfdec (ou gnash, s’il est vraiment fonctionnel) ne sont pas des panacées sur des sites comme deezer.com :/
Même si je préfèrerais largement utiliser swfdec, il faut rester pragmatique : les solutions libres pour flash, c’est pas encore cela :/
Bref, la distribution OpenSuSE ne sera pas celle qui remplacera mon Ubuntu Linux Intrepid Ibex. Si on fait un bilan rapide de cette mouture, en positif :
Et côté négatif :
A chacun de se faire son opinion sur cette version de la distribution de Novell.
Dernier article de la série, qui a pris plus de temps que prévu. Pour finir, je vais parler de Frugalware Linux.
Comme base de départ, j’ai pris l’image ISO des deux premiers CD (sur les 15 !) de la version 1.0-pre1 en version AMD64.
J’ai lancé l’installation dans une machine VirtualBox, équipée de 768 Mo de mémoire vive, un disque de 32 Go, un circuit son AC’97.
L’installateur graphique est en cours de construction pour la version 1.0 de la distribution, donc l’installation se fait en mode texte. Pour me simplifier la tache, j’ai créé avec cfdisk une partie / de 31 Go, le dernier Go étant consacré à la partition swap.
Cependant, je n’ai pas pu aller très loin, l’installateur me faisant des segmentation fault à répétition, soit à la création du mot de passe du compte root, soit à l’insertion du deuxième CD :/
Donc, j’attendrais la sortie de la deuxième préversion de la 1.0 pour tester cette distribution qui semble prometteuse.