« Quand la pâtisserie s’en mêle… » de Marylin Masson : une comédie romantique qui ne tombe pas dans le mièvre !

L’actualité linuxienne manquant franchement d’attrait en ce moment, j’ai eu envie de vous parler d’un livre que m’a indiqué Agnès de Destinations Passions. J’ai profité d’une offre éclair à 0€ sur ce roman qui est à 1,50€ autrement.

Et ici, je dois vous faire un aveu. Un aveu qui va me coûter nombre de railleries. Je suis un indécrottable romantique. J’adore « Orgueils et Préjugés », spécialement l’adaptation avec Colin Firth et Jennifer Ehle. Voila, ma confession diabolique étant terminée, autant passer au roman de Marylin Masson.

On dit souvent que les comédies romantiques sont stéréotypées, que c’est dédié aux indécrottables sentimentaux, et qu’il n’y a pas un livre sur la question pour rattraper l’autre.

Pour reprendre une phrase politique française prononcée avril 1995, « Je vous demande de vous arrêter ! ».

Ici, nous avons le classique duo des deux personnages qui font une rencontre fracassante avant que la situation n’évolue en faveur des dits personnages.

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Youtube, ce n’est pas que Cyprien et Squeezie ! ;)

Dernier billet d’une série plus ou moins culturel qui ont émaillé le week-end. Je dois dire que j’adore passer des heures sur youtube… Non pas pour regarder Squeezie hurler comme un goret qu’on égorge devant un jeu qu’il démontera ou pas.

Non, pour moi, youtube est une source de connaissances et de partage. Voici donc la liste des youtubeurs et youtubeuses que je vous conseille.

Une sorte du meilleur de youtube en quelque sorte. Liste tout sauf exhaustive !

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Un peu d’auto-promotion, ça n’a jamais tué personne… Du moins pas encore, j’espère :)

Je ne parle que peu souvent de mes écrits non techniques. Je suis un humble gratteur de papier qui essayent de (se) faire plaisir en racontant des histoires. Je suis loin d’avoir le talent de, en commençant par les représentantes du beau sexe :

Et encore j’ai dû oublier des noms dans cette liste qui donne à l’auto-édition des lettres de noblesse méritées. Je tiens à m’excuser pour les oublis ! Mea culpa ! Ne vous inquiétez pas, j’ai prévu le cilice et le fouet pour me punir de ma mémoire défaillante 😀

Je travaille depuis le début de l’année 2016 sur un projet qui s’appelle « Allez sans rancunes » qui d’un petit projet qui a pris du poids. J’ai déjà publié sur Atramenta les trois premières parties, qui couvre des chroniques cyniques et je l’espère humoristique pour les périodes de Janvier à Mars, Avril à Juin et Juillet à septembre.

Début 2017, je publierai une version regroupée sur Amazon (et Kobo ?) en complément des 4 parties sur mon espace Atramenta. Je pense que je mettrai le tout à 0,99€ au pire. De quoi financer en 4 à 5 millénaires un appartement dans le XVIe à Paris, non ? 🙂

Bref. Mais je me suis dit qu’il serait intéressant que je vous partage sur le blog une des dernières entrées, rédigées à la va-vite en fin de nuit, car mon cerveau faisait des siennes 🙂

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« L’ombre du papillon » de Marilyse Trécourt : encore un changement de genre réussi ?

Ce roman, sorti le 4 novembre 2016, est le troisième que je lis de Marylise Trécourt. Après le comique et le thriller psychologique, voici qu’elle s’attaque à un genre franchement casse-gueule si mal maîtrisé, le fantastique avec deux thèmes plus que classiques : le voyage dans le temps et son camarade, le monde parallèle.

L’histoire commence le 21 avril 2015. Thomas, 38 ans, retombe par hasard sur la maison de ses grands parents où il a passé les meilleures années de son enfance. Alors qu’il rentre dans la maison abandonnée depuis une vingtaine d’années, sa grand-mère lui apparaît et lui propose un marché : revivre les 20 dernières années de sa vie, tout en gardant les souvenirs de sa « première » vie. Il y a une condition à ce marché : revenir le 21 avril 2015 à la maison, et faire un choix cornélien : soit garder sa nouvelle vie, soit choisir la deuxième qu’il vient de vivre.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Court mais costaud 🙂

Je le poste tard vendredi soir, au lieu de samedi dans la matinée. Faut savoir profiter de l’inspiration 🙂

Côté logiciel libre et informatique :

  • Vous aimez la Slackware Linux, mais vous ne la trouvez pas assez « libre » au sens de la FSF ? Essayez donc la FreeSlack !
  • Comme s’il y en avait besoin… Un nouvel OS libre est disponible. Son nom ? MinocaOS. Plus d’infos sur le site officiel du projet.

Côté livres ?

  • Marylise Trecourt vient de sortir son quatrième roman, « L’ombre du papillon ». Une invitation pour voir différemment les voyages temporels ?
  • Lann Stereden a sorti son dernier roman policier qui est franchement inspiré de l’actualité, car l’action se passe durant… une campagne présidentielle ! Son nom ? « Le dernier contrat ».

Côté musique ?

Bon week-end !

Zombie Kebab : de la zombicalypse débordante d’humour.

Je ne suis pas un grand fan des récits de zombie et d’apocalypse à base de zombie. On présente souvent les zombies comme des monstres idiots, obnubilé par la volonté de se « reproduire ». Un peu comme les vampires du film « The Last Man on Earth » avec Vincent Price.

Ici, Olivier Saraja nous propose un récit où le héros Hakim, qui joint les deux bouts pour nourrir sa famille, est contaminé par un produit chimique suite à un incident dans un laboratoire souterrain. Oui, ça fait un peu penser au scénario du premier Half-Life sur certains plans 🙂

Le produit chimique zombifie Hakim qui nous raconte par le détail ses aventures.

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Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 26 : L’École des Fans.

Pour les gamins et gamines des années 1970, il y a une émission qui est restée dans les mémoires du dimanche après-midi. Présentée de 1977 à 1988 par Jacques Martin, dans un premier temps avec un certain Tonton Mayonnaise alias Stéphane Collaro, les enfants qui participaient massacraient plus ou moins les titres d’une star de l’époque. Tout cela pour le plaisir des parents qui avaient l’opportunité de ne pas avoir à s’ennuyer pour faire des cadeaux à leur progéniture.

Comment oublier l’inénarable Bob Quibel qui servait de souffre douleur en cas de couac avec un gamin !

Il y a eu quelques exceptions dans les massacres, comme l’une des séquences parmi les célèbres de l’émission, le 3 mai 1981. Avec une certaine Vanessa qui n’avait alors que 7 ans ou plutôt 8… Oui, celle qui a été connue pour un certain Joe Le Taxi en 1987 🙂

Il faut se souvenir qu’invariablement les notes étaient soit 8, soit 9, soit 10. Il ne fallait pas non plus traumatisés les plus mauvais élèves. Comment oublier la franchise des enfants qui en profitaient pour balancer une ou deux crasses à leurs chers géniteurs au passage ?

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Merci la sérendipité : l’exemple en musique par Mobius et Todesbonden.

Même si le mot n’est pas encore défini dans le dictionnaire de l’Académie Française – et comme disait Clemenceau de manière fleurie : « Donnez-moi quarante trous du cul et je vous fais une Académie française. », ce terme et cette notion d’origine anglophone peut se définir ainsi : « trouver autre chose que ce que l’on cherchait ».

Pour le premier, c’est en suivant le mot clé metal – comme c’est étonnant – que je suis tombé dessus via la framasphere*, qui est un point d’accès au réseau social décentralisé diaspora*.

Mobius est un groupe français spécialisé dans le metal progressif auquel s’ajoute des tendances symphoniques, de world music et d’une dance traditionnelle réunionnaise, le maloya. Oui, ça apparait comme bizarre au premier abord. L’album est sorti en octobre 2016.

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Peut-on encore accorder du crédit à la blogosphère littéraire ?

Cet article est la suite d’un précédent rédigé il y a quelques jours sur la propagation des écrits de complaisance.

Alias m’a fait remarqué dans les commentaires de l’article en question ceci :

En même temps, l’auteur de l’article que tu cites a l’honnêteté d’annoncer la couleur: elle connaît l’auteure du bouquin, reçu gratuitement.J’ai déjà vu passer des chroniques où on doutait du fait que leur auteur avait lu (ou écouté) la chose chroniquée et reproduisait ce qui ressemblait fort à un dossier de presse.

Là, ouais, il y a de l’abus.

Il ne pouvait pas savoir à quel point la phrase sur l’abus était en plein coeur de la cible. J’ai récupéré pas plus tard que le 29 octobre au soir l’extrait du bouquin, comme propose de faire Amazon pour qu’on puisse avoir un premier aperçu.

J’ai été malheureusement surpris de voir un livre dont la composition donnait envie de fuir à grande enjambées. Pour citer mon propre commentaire :

[…]
Il y a aussi l’utilisation mal placée des virgules, comme au premier chapitre :

« Ils n’entendent pas, ce que je leur explique ». Quel intérêt de mettre une virgule ici ? Et c’est ainsi tout le long du premier chapitre qui rend la lecture hachée et pénible.

C’est dommage que l’auteure n’ait pas consacré un peu plus de temps à relire son texte et surtout à le faire relire par des personnes qui auraient pu lui explquer que les virgules, cela obéit à certaines règles.

Bien entendu, j’ai eu droit à une série de réponses pour essayer d’éteindre l’incendie. Mais apparemment, la réaction de l’auteur ne s’est pas fait attendre, s’étant fendue d’un billet sur son blog, auquel je vous renvoie et dont je cite le morceau de choix :

[…]Je suis sincèrement désolée de vous dire que je me suis fait avoir par un(e) correcteur(trise) dit pro. Par conséquent, j’ai pris la décision de retirer provisoirement mon roman de la vente.[…]

Quelle réaction épidermique. Cela me fait poser quelques questions sur lesquelles je vais revenir dans la suite de l’article.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Il sera assez court cette semaine.

Côté logiciel libre et informatique :

Côté livres ? Rien. C’est plus simple !

Côté musique ?

Pour finir, une vidéo culte de mars 1976 sur le changement d’heure… Étant donné que le changement d’heure vers celle d’hiver arrive pour la France métropolitaine.

Bon week-end !