En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième samedi du mois de septembre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Il vous arrive d’avoir besoin d’une machine virtuelle pour émuler un OS ? Alors VirtualBox 7.1 sera une réponse possible à votre demande.
  • Dans le petit monde des OS alternatifs, je demande HaikuOS bêta 5, vous savez, la réécriture de BeOS avec du logiciel libre.
  • Vous aimez le jeu du pendu ? Alors un jeu parlant en anglais et italien disponible pour ordinosaures Atari 8 Bits, Commodore 64/128, Amstrad CPC 664 et suivants, MSX, Thomson To8, CoCo 1, 2 et 3 du nom de « Hangword » sera pour vous. Même si ce n’est pas le meilleur, il a toujours le mérite d’exister.
  • Le jeu vidéo d’aventure en point’n’click « The Key » pour Amstrad CPC est disponible à l’achat physique sous la forme d’une cassette.
  • Un petit rappel : Pas franchement orienté informatique, mais c’est un appel à l’aide que je relaye ici. La petite entreprise qu’est l’Âne à Nath a lancé une collecte de fonds pour aider un ânon dont la mère n’a pas franchement la fibre maternelle. Même si vous ne pouvez pas donner, faite toujours circuler l’information, ça aidera !

Côté culture ?

Rappel : Robin and The Woods dont j’avais parlé en avril 2021 a lancé la précommande de son deuxième album, « A Lack of Insight » sur Hello Asso. La précommande se terminera le 30 septembre 2024. Ne ratez pas l’occasion !

Sur ce, bon week-end

Vieux geek, épisode 356 : « Return to Danger » et « Ultimate Challenge », les deux extensions pour « Spear of Destiny »

En 1994, près de deux ans après la sortie de la préquelle de Wolfenstein 3D nommée « Spear of Destiny », Formgen qui avait déjà publié la préquelle publie deux extensions. Ce sont les missions 2 alias « Return to Danger » et 3 alias « Ultimate Challenge ». Dans les deux extensions les nazis ont encore volé la lance de la destinée, celle qui a percé le flanc du Christ sur le mont Golgota.

Bref, outre le fait que la lance soit très mal gardée, le joueur est envoyé dans deux extensions de 21 niveaux pour reprendre à chaque fois la lance qui est décidément mal gardée. L’extension mission 2 est plus dure dès le départ, même en niveau de difficulté minimale, on est rapidement à court de munitions juste au moment où des soldats avec des mitraillettes vous ont dans le viseur… Ouille, ça pique.

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Du grand foutage de gueule de l’industrie vidéo-ludique « mainstream »…

Je ne suis pas un spécialiste des jeux vidéos « modernes ». Je dois avouer que le dernier jeu moderne auquel j’ai joué sur mon matériel de l’époque, c’est Quake 4 vers 2004-2005. J’ai pu faire mumuse sur Doom 2016 sur le PC d’un ami. Évidemment Doom 2016 a été une sacrée claque, mais ne possédant pas le matériel nécessaire pour y jouer avec un bon rendu et un nombre d’images par seconde conséquent…

C’est une des raisons qui m’ont fait me tourner vers le rétro-ludique et aussi le fait que via des plateformes comme itch.io, on trouve à petit prix des jeux pour PC ou Mac tout comme des jeux pour les ordinosaures des années 1980-1990. Même si c’est du dématérialisé, si vous avez payé 5 ou 10€ pour un jeu, il vous appartient quoiqu’il arrive.

Le plus cher que j’ai payé, cela a été 14,99$ pour « Superflu Riteurnz » de Gee, même si maintenant il n’est plus qu’à 9,99$.

Mais revenons au sujet de l’article, le jeu vidéo « mainstream ». Celui des AAA qui sont parfois effroyablement bugués – comme Cyberpunk 2077 au début de sa vie commerciale – et qui coûtent entre 70 et 80 €.

Cela vous paraît cher, 80€ ? Pour info, en 1996, j’avais acheté le jeu « Quake » d’ID Software sous format CD avec une bande son signée Trent Reznor. J’avais déboursé, hors frais de port, 349 francs. En prenant l’outil de l’Insee qui permet de calculer l’équivalence d’un prix entre francs et euros en prenant en compte l’inflation, je me suis aperçu que 349 francs de 1996, ça donne 81€ en 2023.

Donc les jeux sont toujours aussi chers. La seule différence, c’est qu’en 1996, le jeu nous appartenait, modulo quelques patchs à rajouter par la suite. Ce n’est plus le cas en 2024 avec le tout dématérialisé. Si les serveurs indispensables à un jeu sont éteints, vous ne pouvez plus rien faire, surtout quand une connexion est indispensable même en mode solo.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce deuxième mercredi de septembre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • La distribution basée sur Debian de la semaine. Une distribution pour faire la transition de MS-Windows vers linux qui déclare sur sa page que c’est la distribution finale. C’est l’AnduinOS dont on peut noter la modestie…
  • Redox, un projet de système d’exploitation écrit en langage Rust arrive dans sa version 0.9.0 avec comme grosse nouveauté visible, l’utilisation de l’environnement de bureau Cosmic.
  • Parmi les personnes de BD du magazine Pif Gadget, il y avait Léo. Dans un jeu pour Amstrad CPC, on peut l’aider à s’enfuir du zoo où il est enfermé. Le nom du jeu ? « SuperLeo » disponible sur itch.io.
  • Rappel : Pas franchement orienté informatique, mais c’est un appel à l’aide que je relaye ici. La petite entreprise qu’est l’Âne à Nath a lancé une collecte de fonds pour aider un ânon dont la mère n’a pas franchement la fibre maternelle. Même si vous ne pouvez pas donner, faite toujours circuler l’information, ça aidera !

Côté culture ?

Rappel : Robin and The Woods dont j’avais parlé en avril 2021 a lancé la précommande de son deuxième album, « A Lack of Insight » sur Hello Asso. La précommande se terminera le 30 septembre 2024. Ne ratez pas l’occasion !

Pour finir, une vidéo tutorielle sur une utilisation spécifique de l’installateur Calamares :

Sur ce, bonne fin de semaine !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 51 : La guerre des soucoupes volantes, prototype d’UFO Robot Grendizer.

Nous sommes en 1975, et les séries Mazinger Z et Great Mazinger ont été diffusées avec succès au Japon. C’est pour surfer sur la vague des méga-robots que Go Nagai en collaboration avec la Toei Animation qu’un court métrage de 30 minutes est créé. Son nom ? « Uchuu Enban Dai-Sensou » devenu en français « La guerre des soucoupes volantes ».

Le sypnosis ? Après la destruction de sa planète, Duke Fleed s’enfuit à bord de Gattaiger, une arme constituée d’une soucoupe porteuse et d’un robot transformable, Roboizer. Il trouve refuge auprès d’un scientifique et travaille incognito dans un ranch jusqu’au jour où les forces démoniaques ayant détruit sa planète menace la Terre… Et cherche à récupérer Gattaiger au passage.

Ça vous est familier ? Et pour cause, ça ne peut que l’être. C’est le pilote de la troisième série de méga-robots, UFO Robot Grendizer devenu Goldorak pour la France. Série qui dura 3 saisons de 1975 à 1977. Mais revenons au court métrage.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier samedi du mois de septembre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • La distribution basée sur Archlinux de la semaine : la ArchianOS, orientée vie privée, dont l’ISO d’installation propose un fork d’archinstall et un ascii art de toute beauté. Intérêt ? Aucun pour le moment !
  • La distribution basée sur Debian de la semaine : IncreaseOS, une base Debian 12.5 – dixit la page de téléchargement sur Sourceforge – (on en est à la 12.7 en ce début septembre 2024), apparemment généraliste à destination primaire d’un public hispanophone. Mieux vaut rester avec la maison mère, c’est plus sûr !
  • Un petit rappel : Pas franchement orienté informatique, mais c’est un appel à l’aide que je relaye ici. La petite entreprise qu’est l’Âne à Nath a lancé une collecte de fonds pour aider un ânon dont la mère n’a pas franchement la fibre maternelle. Même si vous ne pouvez pas donner, faite toujours circuler l’information, ça aidera !

Côté culture ?

Rappel : Robin and The Woods dont j’avais parlé en avril 2021 a lancé la précommande de son deuxième album, « A Lack of Insight » sur Hello Asso. La précommande se terminera le 30 septembre 2024. Ne ratez pas l’occasion !

Pour finir, un tutoriel en vidéo pour installer proprement Archlinux sur deux disques en utilisant Archinstall :

Sur ce, bon week-end

Vieux geek, épisode 355 : Wolfenstein3D pour la SNES, une version bien censurée.

Quand Wolfenstein3D est sorti en 1992, il a surpris par sa violence, son sang omniprésent, sur sa thématique orientée Allemagne du IIIe reich. Après tout, le jeu se passait durant la seconde guerre mondiale, c’était difficile d’y couper.

Nintendo intéressé par le succès du jeu a commandé un port pour sa console la plus puissante de l’époque, la SNES ou plus connu sous le nom de Super Nintendo.

Mais Nintendo étant orienté public familial, le port a été fortement censuré, pour ne pas dire expurger de tout ce qui était sulfureux.

Liste des modifications ? Elle est non exhaustive.

  • Les bergers allemand ont été remplacés par des rats mutants.
  • Le IIIe Reich et tous ses symboles ont été remplacés par des illustrations plus neutre. On ne combat plus l’Allemagne Nazie, mais le « Master State » dirigé par Adolf Trautman, un Adolf Hitler sans sa célèbre moustache.
  • Le sang a quasiment disparu. Sa seule présence est quand notre vie descend en dessous des 25% du total d’origine.

Les graphismes de la barre inférieure sont inspirés de ceux de la version pour Apple IIGS qui était en développement à l’époque. Le seul bon point, c’est qu’on a enfin une carte du niveau en pressant sur le bouton select de la manette de la SNES.

Vous avez pu le voir, entre la version d’origine pour PC et celle pour la SNES, les différences sont notables. J’ai eu du mal avec la version SNES, n’ayant pas de manette pour gérer le jeu. En tout cas, j’avais entendu dire que la version avait été censurée, mais à ce point, c’est du grand art 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi de septembre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Vous êtes un(e) fondu(e) de distributions GNU/Linux techniques et peu abordables au premier abord ? Alors la version 12.2 de la Linux From Scratch est pour vous.
  • Vous aimez les Rogue-like ? Alors RogueCraft pour l’Amiga sera pour vous. Un rogue-like en 3D isométrique.
  • Vous vous souvenez des jeux où il fallait frénétiquement bouger un joystick à gauche et à droite ? Un jeu reprenant le même principe avec le champion olympique Léon Marchand existe pour Amstrad CPC.
  • Rappel : Pas franchement orienté informatique, mais c’est un appel à l’aide que je relaye ici. La petite entreprise qu’est l’Âne à Nath a lancé une collecte de fonds pour aider un ânon dont la mère n’a pas franchement la fibre maternelle. Même si vous ne pouvez pas donner, faite toujours circuler l’information, ça aidera !

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !

Il n’est pas besoin d’avoir de la mémoire à foison pour faire des jeux inventifs et parfois prenant.

J’adore les concours de programmation, surtout quand on met une limite dure. Comme pour le concours Craptastic 2024 organisé par le magazine Reset 64. Le but est simple : faire des petits jeux en utilisant au maximum 4 Ko de mémoire vive, les programmes compressés étant acceptés.

J’ai donc récupéré l’archive des 31 créations du concours Craptastic 2024 et je vais vous présenter rapidement mes 3 coups de coeurs.

Le premier ? « Golf Dash ». Un jeu classique où on contrôle une balle qui doit aller dans un trou, sachant que la balle ne s’arrête que si elle rencontre un obstacle. Voici donc les 10 premiers niveaux des 17 du jeu.

Le deuxième ? « Hydrogen ». Un casse-brique inversé avec la raquette en haut. Ça fait tout drôle et ce n’est pas si évident que cela ! La preuve en vidéo…

Le troisième ? « Stop the Bomber » de Skyberron. Un jeu où il faut désarmorcer les bombes posées par un terroriste. Si une bombe explose, on perd une vie. Et le terroriste est vaincu si on le touche 10 fois. On monte ensuite de niveau et ça devient un peu plus rapide… Un jeu rapide et nerveux, la preuve en vidéo.

J’aurais pu aussi citer « Crac Pac », un jeu qui fait un peu penser à « Jetpac » sur le ZX Spectrum, mais le jeu est bugué au troisième niveau.

Je vous laisse regarder les jeux rendus disponibles, peut-être d’autres vous parleront plus qu’à moi 🙂

Les distributions immuables, premier point d’étape une dizaine de jours après l’installation.

Il y a une semaine, je faisais un premier article sur les distributions GNU/Linux immuables. J’avais installé la Arkane Linux depuis près d’une semaine, la Fedora Silverblue depuis un ou deux jours, seule la VanillaOS avait été installée le jour même où je publiais l’article.

Je me suis dit qu’au bout d’une grosse dizaine de jours je pourrais faire un premier bilan. Sur le plan dynamisme, la Arkane Linux et la Fedora Silverblue sont à égalité. Des mises à jour quotidiennes ou tous les deux jours – en moyenne – sont disponibles pour les bases systèmes.

VanillaOS fait bande à part en me proposant aucune mise à jour du système immuable. Surtout l’ascendance Debian qui joue ici.

En fouillant les documentations de chaque distribution, du moins tant que les documentations sont à jour, m’ont permis d’apprendre comment gérer en ligne de commande les mises à jour. Dans l’article du 25 août, j’étais déjà au courant pour la Arkane.

Pour la Fedora Silverblue, je l’ai appris par hasard, après avoir rajouté le logiciel fastfetch à la base immuable. Désormais, au lieu d’attendre que le lourdingue Gnome Logiciels se mette en route, je passe par une ligne de commande qui n’est autre que rpm-ostree upgrade. J’ai d’ailleurs fait une petite vidéo montrant la commande en action pour une Fedora Kinoite, à savoir la base immuable avec KDE à la place de Gnome.

J’ai aussi appris comment chercher et appliquer les mises à jour des logiciels fournis en format flatpak. Une simple commande flatpak update et vogue la galère.

Pour le moment, je suis assez content de la base immuable, et ça me change des distributions GNU/Linux classiques. Mais ce n’est pas pour autant que je franchirais le pas sur mon vrai PC.

Prochain point d’étape ? Au bout d’un mois, si tout va bien !

Bonne fin de journée 🙂