Le futur Gthumb 2.12 sera-t-il l’outil qui fera oublier f-spot ?

F-spot est un excellent outil de gestion de photos, mais il a un énorme défaut : il utilise mono pour fonctionner. Un de ses avantages est l’export vers des galeries en ligne comme PicasaWeb ou encore Flickr.

L’un des outils gnome principaux pour la gestion des photos, GThumb, actuellement en version stable 2.10, ne supporte pas l’export vers les dites galeries. Cependant, depuis aujourd’hui, les versions de développement, alias les 2.11.x le permettent. Au moins pour le moment, vers picasaweb.

Le seul moyen d’obtenir une version qui permet cela, c’est de la compiler. La page de développement explique comme compiler depuis la reine des distributions, et même pour Fedora (joie !).

Pour Archlinux, il suffit d’entrer un petit :

yaourt -S gthumb-git

Et d’attendre que le code soit compilé pour installer le logiciel.

Ensuite, il faut activer l’extension, puis redémarrer le logiciel pour permettre l’envoi vers PicasaWeb.

Ensuite, en utilisant le menu File / Export to… on peut envoyer les photos en ligne. Les captures d’écrans qui suivent sont suffisamment parlantes.

On crée l’accès au compte en ligne.

Ensuite, on crée l’album.

Et enfin, on envoie les données.

Je suis heureux de voir cette fonctionnalité rajoutée. Cela me fera gagner pas mal de temps quand j’aurais besoin d’envoyer plus de 5 images sur mon espace PicasaWeb 😉

VLOS 2.0 béta 1 : pas encore très véloce… :)

Désolé pour le jeu de mots à 0,02 €… C’était trop tentant 😉

C’est une gentoo matinée de sabayon. En clair, une méta-distribution pour être humain.

Le 7 janvier, la version 2.0 béta 1 est sortie.

NB : Je sais que certaines personnes me diront qu’une distribution à la gentoo n’a aucun intérêt dans une machine virtuelle. Très bien. Si on veut se faire la main sur une gentoo pour sa culture générale, et que l’on a pas envie de se prendre la tête avec une vraie machine, on fait comment ? C’est quand même une solution souple, qui permet de se familiariser sans trop de problème avec ce genre de distribution.

Tout comme la Sabayon Linux, elle utilise l’outil anaconda pour être installée. Enfin, il faudrait préciser qu’elle utilise funtoo comme base, funtoo étant une version dérivée de la gentoo linux, dérivée mise au point par Daniel Robbins (lui même créateur de la gentoo linux en 1999) pour améliorer la gentoo linux.

Bref, pour simplifier : VLOS = funtoo (dérivée de gentoo) + anaconda + outils de la sabayon linux.

VLOS 2.0 Beta 1

J’ai donc récupéré l’image iso de la version 2.0 béta 1 de la VLOS. Ensuite, j’ai utilisé qemu pour créer une image disque de 32 Go et lancer l’émulation.


fred ~/download $ qemu-img create -f qcow2 vlos.img 32G
Formatting 'vlos.img', fmt=qcow2 size=34359738368 encryption=off cluster_size=0
fred ~/download $ kvm -hda vlos.img -cdrom Vidalinux_2.0_beta1_amd64.iso -boot d &

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1000ième article… Et oui, déjà !

Même si le compteur d’article dépasse les 3290, il faut dire que cette explosion est due au passage à WordPress 2.6 béta, en juillet 2008. Le système des révisions multiples introduit par cette version de wordpress ayant lancé une inflation des numérotations.

1000 billets. Depuis septembre 2005, soit en gros en 53 mois, cela fait environ 18,86 billets par mois… Sacré moyenne.

Sans les logiciels libres, que ce soit bien entendu wordpress, mais aussi des distributions linux, des BSD libres, Mozilla Firefox (dont je parle sur ce blog depuis l’époque de la version 1.5 !), je n’aurais jamais pu accumuler autant de billets.

J’ai fini par me prendre de passion pour le monde toujours effervescent des distributions linux, dont j’ai pu tester, soit en utilisant qemu, soit virtualbox un bon paquet : ubuntu (et ses innombrables dérivés), de la Frugalware, de la slackware, de la Fedora, et même de la Mandriva, distribution que je ne porte pas franchement dans mon coeur.

Pour ce millième billet, je voudrais simplement remercier les personnes qui me lisent et qui déposent des commentaires.

Que vive le logiciel libre, qui est surement l’avenir du logiciel.

Et pour les personnes un peu incrédules :

1000 billets avec WordPress !

Bretelle et ceinture : de l’intérêt d’avoir à la fois networkmanager et wicd installés.

Le dépot testing d’Archlinux est très rarement « explosif ». Sauf que récemment, une version de développement de NetworkManager est venue mettre une mouise pas possible dans les connexions. J’ai rapporté un bug (qui s’est révelé être le doublon d’un autre) dans lequel le dernier NetworkManager en date (0.7.998) bloquait entièrement Gnome 🙁

Heureusement, j’avais conservé sur mon disque l’outil Wicd dont je n’avais désactivé que l’applet d’affichage et de gestion de réseau. J’ai donc utilisé la séquence ctrl + alt + F2 pour ouvrir une console en mode texte. J’ai ensuite désactivé NetworkManager, réactivé Wicd, fermé la session. Les commandes ?

sudo /etc/rc.d/networkmanager stop
sudo /etc/rc.d/wicd start

La combinaison ctrl + alt + F7 m’ayant permis de me retrouver à nouveau en mode graphique.

Pour que la modification soit prise en compte à chaque démarrage, j’ai désactivé le daemon networkmanager en lui rajoutant un ! avant son son nom dans la ligne DAEMONS de mon /etc/rc.conf :

DAEMONS=(syslog-ng !network netfs crond hal @alsa wicd !networkmanager cpufreq @iptables avahi-daemon avahi-dnsconfd pulseaudio @cups @openntpd sensors gdm)

Bref, une manipulation qui a pris, quoi, 5 minutes 🙂

En vrac’ rapide et libre.

Quelques sorties récentes de logiciels dans le monde du libre :

Voila, bonne journée 😉