« Les amants du Spoutnik » : le triangle amoureux selon Murakami

Ce court roman d’Haruki Murakami nous plonge dans son monde qui flirte entre le normal et le fantastique.

Dans ce roman, Haruki Murakami met en place un triangle amoureux : deux femmes et un homme. Cependant, ce n’est pas le triangle amoureux auquel on s’attendrait au premier abord, citons en partie le résumé en quatrième de couverture :

K. est amoureux de Sumire, mais celle-ci n’a que deux passions : la littérature et Miu, une mystérieuse femme mariée. Au sein de ce triangle amoureux, chaque amant est un satellite autonome et triste, et gravite sur l’orbite de la solitude. Jusqu’au jour où Sumire disparaît…

Cependant, j’avoue que je n’ai pas vraiment accroché à cet opus des oeuvres de Haruki Murakami.

Alors que j’avais bien aimé le recueil « Après le tremblement de terre » ou encore le roman « Le passage de la nuit« , j’avoue que les « amants » m’ont laissé sur ma faim, surtout la fin qui semble être une volonté de l’auteur de se « débarrasser » d’un roman qu’il ne savait pas comment terminer.

Dommage 🙁

Dead Can Dance en 1984… Quel impact ;)

1984 : trois ans après que le groupe se soit formé sort l’album éponyme aussi connu sous le titre de « The Fatal Impact ».

Encore très fortement imprégné de cold wave et de certains rythme que Ian Curtis, mort 4 ans auparavant, n’aurait pas renié (comme la piste 4 « Fortune » ou encore la piste 2 « The trial »).

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« The Downward Spiral : Live » : ça dépote ;)

J’ai parlé dans un précédent billet du projet « The Downward Spiral : Live« . Allant sur le site « This One Is On Us« , j’ai eu l’agréable surprise de tomber sur un billet daté du 22 octobre annonçant la disponibilité – via le site mininova (tipiak ?) – du DVD.

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« The Downward Spiral:Live » : un projet à suivre.

Alors que le projet de « This One Is On Us » commence à ressembler à « Duke Nukem For Ever« , un projet a été lancé par un fan pour reproduire l’ensemble de l’album « The Downward Spiral » avec des versions en concert.

Sur les 14 pistes de l’album, au moment où j’écris, seul trois pistes ont été effectuées : Mr Self Destruct, Heresy et Reptile.

Si j’ai des doutes sur certaines pistes – comme « Big man with a gun », j’attends avec impatience les prestations choisis pour « March of The Pigs », « Closer » ou encore « Hurt » 😉

Bref, un projet à suivre, surtout qu’un DVD est prévu une fois les prestations récoltées 😉

Atom Heart Mother… Ah, la vache…

Etant dans une période de « découverte » du rock progressif, j’ai écouté récemment « Atom Heart Mother« .

Album studio qui finit la période psychédélique du groupe, avant qu’il ne produise son trio magique « The Dark Side Of The Moon« , « Wish You Were Here » et « Animals » commence par un morceau floydesque de 23 minutes, totalement instrumental, mais qui laisse l’auditeur être emporté et on a l’impression que seulement 5 minutes sont passées 😉

Les titres qui suivent sont des ballades plus ou moins « faciles », et j’avoue que la dernière piste m’a collé à mon siège. Seuls les Pink Floyd pouvaient rendre intéressant la prise d’un petit déjeuner.

Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots, si je devais résumer « Atom Heart Mother », ce serait : Ah, la vache 😉

Le côté sombre de la lune…

Je parle bien sûr de l’album le plus célèbre des Pink Floyd, avec sa pochette d’une simplicité confondante…

En 1973, quand sort l’album, les Pink Floyd sont au sommet de leur gloire. Avec cette pochette énigmatique, on tient ici un bijou du rock progressif. Des ballades comme Breathe emporte l’auditeur dans un monde de douceur.

Il serait injuste d’oublier « The Great Gig In The Sky », ethéré et simplement sublime.

Mais le point d’orgue, c’est la chanson « jingle », « Money », surement le titre le plus connu des Pink Floyd. Avec ses pièces qu’on entend tomber à intervalles réguliers.

Un des albums à conseiller pour découvrir un groupe pas comme les autres.

« Wish you were here » des Pink Floyd… L’album que j’aurais du écouter depuis des années.

J’avoue, je n’avais jamais été attiré par les Pink Floyd, jusqu’à ce que Thierry me conseille d’écouter un album à la pochette étonnante : « Wish You Were Here« .

Il est vrai que la pochette n’est pas des plus « aguichantes », mais il faut se méfier des apparences.

Dès le début, les 5 premières parties de « Shine On You Crazy Diamond » emporte l’auditeur avec un mélange mélodieux de guitares,  de sons étranges, et quand les paroles arrivent au bout d’une demi-douzaine de minutes, on sent que c’est l’hommage du groupe à Syd Barret qui subit les conséquences de ses abus de LSD et autres substances.

Arrive le mécanique « Welcome to the machine », puis le cynique « Have A Cigar » qui font penser à l’industrie du disque de nos jours, avec environ 35 ans d’avance.

Arrive une superbe ballade acoustique, « Wish You Were Here ». Encore un hommage à Syd Barret disparu trop tôt de l’histoire du groupe.

La conclusion arrive avec les 4 dernières parties de « Shine On You Crazy Diamond », qui conclue cet album de 45 minutes qui ne semble durer que quelques minutes tant on l’écoute avec plaisir.

Amarok 2.2.0 « Sunjammer » vient de sortir.

La version 2.2.0 d’Amarok vient d’être annoncée. Parmis les grandes nouveautés, liste non exhaustive, bien entendue :

  • On peut modeler l’interface à son goût, les éléments pouvant se déplacer à volonté.
  • La liste de lecture permet de nouvelles choses, comme la lecture aléatoire des pistes, le rassemblement de pistes par années et bien d’autres possibilités.
  • L’import direct d’un CD audio dans Amarok est possible.

Pour la série des versions 2.2.x d’Amarok, elles seront produites avec un intervalle d’environ 6 semaines pour apporter des correctifs et des stabilisations.

Etant donné que la version officiellement disponible n’est encore que la 2.2rc1 pour Archlinux, j’ai récupéré le PKGBUILD et le fichier amarok.install, et modifié le PKGBUILD pour qu’il compile le code source de la version 2.2.0. Voici à quoi ressemble le PKGBUILD en question :

# $Id: PKGBUILD 52971 2009-09-23 22:03:36Z giovanni $
# Contributor: Andrea Scarpino
# Contributor: damir

pkgname=amarok
replaces=(‘amarok-base’ ‘amarok-engine-xine’ ‘amarok-base-mysqlfree’)
pkgver=2.2.0
pkgrel=1
pkgdesc= »A media player for KDE »
arch=(« i686 » « x86_64 »)
url= »http://amarok.kde.org »
license=(‘GPL2’ ‘LGPL2’ ‘FDL’)
depends=(‘mysql>=5.1.37’ ‘kdebase-runtime>=4.3’ ‘libmtp>=0.3.7’ ‘libgpod>=0.7.2’
‘libmp4v2’ ‘qtscriptgenerator>=0.1.0’ ‘taglib-extras>=1.0.1’
‘liblastfm>=0.3.0’ ‘loudmouth>=1.4.3’)
makedepends=(‘pkgconfig’ ‘automoc4’ ‘cmake’)
install=amarok.install
source=(« http://download.kde.org/stable/${pkgname}/${pkgver}/src/${pkgname}-${pkgver}.tar.bz2 »)
md5sums=(‘5a0188c5eb7d343109b82964942d8eb5’)

build() {
cd ${srcdir}
mkdir build
cd build
cmake ../${pkgname}-${pkgver} \
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \
-DCMAKE_SKIP_RPATH=ON \
-DCMAKE_{SHARED,MODULE,EXE}_LINKER_FLAGS=’-Wl,–no-undefined -Wl,–as-needed’ \
-DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr
make || return 1
make DESTDIR=${pkgdir} install || return 1
}

Ensuite un petit duo :

makepkg ; yaourt -U amarok-2.2.0-1-x86_64.pkg.tar.gz

Et un Amarok 2.2.0 a répondu présent 😉

amarok-2.2.0 dans Archlinux

Maintenant, bonne écoute !

Les livres qu’on entame et qu’on ne finit jamais.

Il arrive qu’on emprunte ou qu’on achète des livres qu’on  ne finit jamais.

Actuellement, j’ai trois livres qui rentre dans cette catégorie.

Et vous ?