« Briley Witch Chronicles 2 », 13 heures de jeu et puis c’est tout !

J’ai fini en ce deuxième dimanche de décembre le second volet des aventures de Briley. J’en avais parlé dans un précédent article sorti le 2 décembre 2023.

Après une longue session de plusieurs heures le 2 décembre 2023, comme je l’avais précisé dans le précédent article, j’ai réussi à poursuivre mon bonhomme de chemin dans le jeu, bien qu’ayant appelé à l’aide plusieurs fois sur la page officielle du jeu.

Le jeu est plus dur que le premier opus, avec des sections qui sont parfois tendues du slip. Surtout dans des combats où on peut se prendre un « game over » en pleine tronche si on a mal géré les potions de soin.

Je dois dire que j’ai été un peu surprise quand je suis arrivé à la fin du jeu. Alors que 19 heures avaient été annoncées à l’origine par l’autrice du jeu, j’ai mis un peu plus de 13 heures pour arriver à la fin qui me dit que les aventures continueront dans « Briley Witch Chronicles 3 ». Donc rendez-vous en 2025 pour la suite des aventures de la sorcière de Maepole.

Côté statistiques de fin, je n’ai pas un très bon score dans la quête des renards éparpillés dans le jeu. Mais cela aurait pu être pire !

Pour conclure, je dirai simplement que si vous avez aimé le premier opus, le second sera pour vous même s’il est un peu plus difficile. Je déconseillerai fortement de commencer par « Briley Witch Chronicles 2 », étant donné qu’il y a pas mal de référence au premier jeu. Après, c’est vous qui voyez 🙂

« Briley Witch Chronicles 2 », la suite des aventures de Briley

En décembre 2021, je découvrais l’excellent « Briley Witch Chronicles », un jeu à la Zelda pour le Commodore 64. On suivait les aventures de Briley Forester transporté dans un village connu sous le nom de Maepole.

J’avais deux mois plus tard enregistré la vidéo du jeu d’une durée d’une dizaine d’heures découpée en partie d’une heure.

Après presque de 2 ans d’attente, la suite des aventures de Briley est disponible sur la page itch.io de Sarah Jane Avory.

Je n’ai pas vraiment réfléchi et j’ai acheté un exemplaire numérique de la cartouche contenant le jeu. Jeu qui tient sur une cartouche de 820 Ko, avec une bonne dizaine de lieux à explorer, de nombreuses quêtes principales et annexes, et je ne sais combien de cinématique créées avec le moteur du jeu pour le suivi de l’histoire.

On reprend les aventures de Briley à la fin du premier jeu. On démarre le nouveau jeu avec plus de 55 000 points d’expérience, 160 points de vie, et surtout avec tous les grimoires récoltés dans le premier jeu.

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Ah, les concours de programmation sur ordinosaures…

Malgré les années qui passent, les ordinosaures connaissent chaque année un concours de programmation les concernant.

Que ce soit le MSXDev23 ou encore le CPCRetroDev 2023 – je ne cite que les deux premiers qui me viennent à l’esprit, c’est l’occasion de voir une vingtaine de participations à chaque fois.

C’est l’occasion d’avoir des créations pour les dits concours ou encore des ports de certains titres connus pour l’ordinosaure du concours.

Par exemple, pour le MSXDev23, il y a au moins deux entrées qui sont des ports de jeux : « Tenebra 2 » et « Attack of the Petscii Robots ».

Même s’il est plus intéressant d’avoir des nouveautés, les ports sont souvent un travail de longue haleine qui méritent de tenter leur chance au concours de programmation.

J’avoue que j’attends la fin du concours pour pouvoir tester les jeux qui m’intéressent sans forcément regarder le classement final. Il y a souvent des petits bijoux, et ce serait dommage de s’en passer.

Entre le monde du rétro-ludique et le monde du libre, mon choix est fait.

Depuis plusieurs années, j’ai développé une série de billets orientés rétro-ludique avec des jeux fonctionnant sur des ordinosaures – ou les émulateurs – comme le Commodore 64, l’Amstrad CPC, le ZX Spectrum, les ordinateurs Atari 8 bits, voire l’Apple II.

Que ce soit avec « Tenebra » et sa suite « Tenebra 2 », « Attack of the Petscii Robots », « Planet X3 », « Briley Witch Chronicles » ou plus récemment « Tower and Dragon », j’ai pu constater qu’il n’y a pas de guerres de clochers aussi poussées comme dans le monde du logiciel libre.

Allez donc faire communiquer ensemble un Debianiste, un Ubuntero, un Manjariste ou encore un Archlinuxien. Tôt ou tard des bisbilles arriveront et les fanboys / fangirls (ne soyons pas sexiste) commenceront à s’étriper virtuellement.

J’évite de tels travers. Je suis à la fois Archlinuxien (PC fixe et Raspberry Pi 4), Manjariste (PC portable) et Debianiste (eeePC 1005 HAG). Je sens déjà que certaines personnes veulent sortir la grosse artillerie pour me flinguer, virtuellement parlant.

Que les personnes en question sachent une chose : tout commentaire inadéquat sera sucré sans autre forme de procès.

Pour finir, je prendrai une citation des Inconnus dans le sketch, « Jésus II, le retour » : « Vous allez finir par vous aimer les uns les autres, bordel de merde ? »

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2023. Je n’ai pas trop de temps pour le blog en ce moment, désolé 🙁

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Rétroludique, et si on passait en dur ? Épisode 8 : MS-Windows 98Se, le choix le plus pragmatique ?

Dans l’épisode précédent de la série, je précisais que la version « service pack commercial » de MS-Windows 98 (abordé en tant que tel dans un billet d’août 2019) avait été mon unique choix. Il faut dire qu’un beau badge « Designed for Microsoft » suivi du duo Windows NT (époque 4.0) et Windows 98 m’a fait comprendre quel était la version que je devais installer.

N’ayant pas de CD de la version « originale » de MS-Windows 98, je m’étais tourné vers une version 98Se qui fonctionne très bien. Du moins, elle n’est pas affectée par l’installation des pilotes pour les infâmes circuits VIA qui ont fait énormément de mal à la réputation de l’OS 16/32 bits de Microsoft… Ah, la grande époque des cartes mères utilisant ces merdes… Désolé, mais vu le nombre de fois que j’ai dû réinstaller MS-Windows 98/98SE à cause de ces pilotes moisis, on finit par avoir la dent dure.

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Rétroludique, et si on passait en dur ? Épisode 6 : ATI et plus si affinités

Il est parfois utile de conserver du vieux matériel informatique. Dans mon cas précis, une carte ATI 3D Rage Pro que j’avais jadis récupéré dans le cadre d’une activité informatique dans l’association où j’ai travaillé deux ans.

C’est une carte de 1997-1998, et donc elle colle parfaitement avec le reste de l’ordinosaure en terme de cohérence. La carte a été installée en parallèle de la carte SB Live sur un port PCI.

Vous trouverez juste en dessous une photo de l’installation.

Autant préciser que l’espace disponible n’est pas énorme, mais néanmoins cela reste supportable.

Pour illustrer l’article, une vidéo en collaboration avec Baba Orhum qui m’a pas mal aidé dans mes aventures rétroludiques, surtout en trouvant le moyen de supporter l’émulation SB16 en mode MS-DOS « pur » de MS-Windows 98.

Bon visionnage de l’ensemble 🙂

Une petite remarque pour finir, en ce qui concerne le démarrage en mode MS-DOS « pur », quand on édite le fichier msdos.sys, il faut modifier la ligne BOOTGUI=1 par BOOTGUI=0.

Voila, voila, voila 🙂

PS : On a essayé en vain de faire fonctionner 3D Mark 99 et 3D Mark 2000. Désolé 🙁

Rétroludique, et si on passait en dur ? Épisode 5 : la joie des jeux fournis « en dur »

De nos jours, nous sommes habitués aux jeux en téléchargement intégral, les boîtes se résumant à des coquilles vides avec un code pour récupérer le jeu en ligne – bon courage si vous n’avez pas la fibre optique – ce qui tue un peu l’intérêt de payer plein pot pour un jeu.

J’ai pu récemment remettre la main sur des vieux jeux fournis en boite. Je pense par exemple à la boîte stylée d’un Quake 3 Arena que je jouais à la fin des années 1990 sur une carte Nvidia GeForce 2 MX (si ma mémoire est bonne).

J’ai aussi eu à leurs époques respectives les boites de Quake, Quake 2 ou encore Unreal. Je ne les ai pas conservés et je dois dire que je les regrette un peu.

J’ai eu récemment un arrivage d’autres jeux, spécialement des RPG, un domaine qui m’attire un peu moins que les FPS ou encore les RTS.

Mais je ne crache pas sur les boites qui promettaient tant et les surprises, parfois bonnes, parfois mauvaises qui nous attendaient au premier démarrage. Parfois, il y avait des mises à jour à télécharger, parfois on les récupéraient sur des CDs de magazine.

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Rétroludique, et si on passait en dur ? Épisode 4, et le son fut !

Dans l’épisode 3 de ma série de billets rétroludique en dur, j’avais expliqué que j’avais équipé le PC d’une carte Sound Blaster Live PCI. J’avais pu testé la compatibilité Sound Blaster 16 et elle s’est révelée excellente.

Le dernier point manquant ? Des enceintes. N’ayant que deux port USB disponibles et utilisés par la souris et le clavier – il faudra vraiment que j’achète des adaptateurs USB vers PS2 – je ne pouvais pas utiliser les enceintes de mon PC.

Sauf qu’après y avoir réfléchi durant quelques heures, je me suis dit que je pouvais tenter de faire sauter soit la souris, soit le clavier pour libérer un port USB et y brancher les hauts parleurs.

MS-Windows 98 ne faisant la gueule que s’il ne trouve pas de souris au démarrage, j’ai donc jonglé avec la souris que j’ai débranché pour récupérer un précieux port USB 1.1.

Mon intuition avait été la bonne et j’ai donc pu avoir une sortie son plus pratique d’utilisation qu’un casque filaire pour téléphone portable. Et surtout bien plus agréable à gérer.

J’ai donc enregistré la vidéo ci-dessous avec mon téléphone portable en essayant de rester aussi fixe que possible, en lançant le jeu qui a été le plus porté au monde, j’ai nommé Doom.

Quelle sera la prochaine étape ? Acheter des adaptateurs PS2 vers USB pour la souris et le clavier. Trouver des enceintes à alimentation USB en occasion. Et peut-être lui greffer une carte réseau d’époque, histoire de pouvoir transférer plus simplement les jeux que j’aurai envie de redécouvrir sur du vrai matériel et non pas dans Dosbox-X.

À suivre, donc 🙂

Rétroludique, et si on passait en dur ? Épisode 3, donnons de la voix à ce PC.

Dans l’épisode 2 de cette série, je parlais de la grande époque du « plug’n’play ». Cette semaine, c’est encore le cas, et ici le « plug’n’play » n’a pas fonctionné comme je l’espérais.

J’ai pu acheter à vil prix (10 €) une carte Sound Blaster Live PCI pour donner de la voix au PC. Celui est complètement muet, je le rappelle.

Je me suis dit que c’était pas si cher que cela. Jetez un oeil sur les SoundBlaster 16 historiques, celles en ISA… Ne le faites pas si vous êtes cardiaque. Vous êtes prévenus.

Voici à quoi ressemble la carte Sound Blaster Live au naturel.

Au moment de l’installation physique, je suis obligé de mettre la carte au milieu des ports PCI, sinon je n’arrivais à remettre en place la réglette qui sert à faire tenir l’ensemble en place.

C’était la partie la plus facile. Au démarrage, MS-Windows 98SE est incapable de me proposer un pilote. J’ai donc dû fouiller sur la toile pour trouver des pilotes qui collent bien. Ma première tentative a été un échec, ne trouvant que des pilotes pour la Sound Blaster Live 5.1, celle que je ne possède pas.

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