Je parle ici de René Descartes (1596-1650), un des pères de la philosophie moderne (qui s’étend de 1492 à 1789), avec Emmanuel Kant, Blaise Pascal, David Hume, John Locke ou encore Baruch Spinoza et Jean-Jacques Rousseau pour rester dans les plus célèbres.
Cher René – tu permets que je tutoies et que j’emploie ton prénom ? – tu m’as tellement pourri mon unique année de cours de philosophie quand j’étais au lycée que je n’ai pas pu me retenir ta citation la plus célèbre pour introduire cette bafouille qui m’est venu sous le clavier comme une pollution nocturne chez un jeune adolescent suite à un rêve trop explicite. Du moins, une pollution nocturne purement intellectuelle, faut-il préciser.
Je ne veux pas être accusé d’écrire sur mon humble blog des textes qu’on pourrait qualifier d’osé voire pire. Non, je laisse cela aux adolescent(e)s sur ask.fm ou sur Facebook 🙂
Dans un article en date du 18 octobre, maître Cyrille – sur son blog perché – met une nouvelle fois de plus les points sur les « i ». Son article fleuve concerne l’éparpillement sans fin des nécessaires présences sur les réseaux sociaux (le fesseur de caprin, l’oiseau bleu, le réseau fantôme ou encore celui de la fleur de pissenlit) qui finit par influer sur les blogs et leurs fréquentations.
[…]
Ceux qui écrivent aujourd’hui, Frédéric, Philippe en font partie, sont présents sur les réseaux sociaux, qui sont devenus des lieux d’échanges, on leur doit certainement la mort des commentaires, le débat se déplaçant ailleurs ce qui montre tout de même une recherche chez tout un chacun d’une centralisation, tout trouver au même endroit.
[…]
Moralité, vous êtes lus par des gens qui ne devraient pas être là, c’est curieux mais c’est ainsi. C’est un peu comme à l’époque où on avait que trois chaînes de télé et qu’on regardait le tour de France alors qu’on n’aime pas le vélo. Je lis ces derniers jours et dans mes commentaires, et ailleurs dans les fameux shaarlis, journals du hacker des propos de plus en plus durs car les gens n’ont plus d’endroit où aller et n’ont pas la force de faire autre chose, toxicos de l’info.