Je sais qu’on va dire que cet article est du réchauffé, et pourtant… Via mon ami le chat qui pète et qui pue, j’ai pu me faire générer une image avec ce que je considère être les 4 principaux manques qui font que Linux, malgré toutes les meilleures volontés du monde, ça restera une niche pour le ludique et le bureautique.
On va y aller dans un ordre que je qualifierai de bazardesque.
Un des gros morceaux, c’est la compatibilité. Que ce soit au niveau des formats de fichiers – et même si LibreOffice a fait d’énormes progrès – nombre de fichiers au format microsoftien (docx, xlsx, ppsx, etc) resteront amochés voire complètement illisibles.
C’est aussi le cas de la compatibilité de l’applicatif. Même si j’ai un MS-Windows 11 avec nombres d’applications libres (LibreOffice, Mozilla Firefox et Thunderbird, VLC, OBS Studio, Notepad++), je ne peux pas tout faire avec du 100% libre. Ce qui me fait aborder le manque d’applicatif digne de ce nom. Revenons-en à la compatibilité. Ou comment faire d’une pierre deux coups !
Vous me direz : on peut toujours utiliser Wine pour certains gros logiciels, comme Photoshop. Au mieux, la dernière version – la CC2024 est qualifiée comme « silver ». En gros, le troisième niveau, après le Platinum et le Gold. Je n’ai rien trouvé de probant sur la base de données de Wine concernant MS-Office dans son ensemble.