Collectionneur fou : mes albums de musique libre.

Du moins, la collection que j’ai constitué depuis que j’écoute de la musique libre. Etant assez exigeant, je ne grave des CDs qu’avec des mp3 320khz ou du flac, histoire d’avoir la meilleure qualité possible au final sur ma platine.

Cet article est en quelque sorte la suite de celui-ci, qui montre que la musique sous licence Art Libre ou Creative Commons est vraiment plus répandue que certaines personnes veulent l’admettre par pure idéologie commerciale.

Collection d'albums de musique libre.

De gauche à droite et de haut en bas :

Pour la plupart des albums (sauf Renversement et Somnebuleux) j’ai du m’occuper de la gravure et de la réalisation des jaquettes.

Je vous donne cette liste pour que vous puissiez découvrir de la musique libre, ce qui change un peu de toutes les productions musicales qui monopolisent les médias classiques.

Et coté source d’approvisionnements, liste non exhaustive bien entendu : altermusique.org, dogmazic.net, jamendo

Quand la culture libre est de bonne qualité…

Cela donne des résultats comme Sintel, les artistes de Jamendo, de Dogmazic, AlterMusique (dont le dernier album du compositeur Ehma), mais aussi des petits bijoux comme les films disponible sur la plateforme Vodo comme le petit film de synthèse « Legacy« .

Dans ce petit film de trois minutes, on est plongé dans le monde d’un extra-terrestre qui répond à un message venant de la Terre, et recherchant un spécimen humain… Même si le film n’est pas traduit, il est parfaitement compréhensible.

Autre oeuvre – pour laquelle j’attends avec impatience des sous-titres, même en anglais, même si j’ai compris le gros de l’histoire – est une sorte de « Taxi Driver » moderne, c’est « Person Of Interest« , qui nous mets dans la peau d’un vétéran de la guerre en Irak.

Enfin, et un peu plus « terre à terre », la version longue d’un documentaire sur les stars du yéyé lors de la tournée « Age Tendre et tête de bois », qui s’appelle « Etre et avoir été« .

Quelques créations du domaine de la culture libre que je ne saurais trop vous conseiller, pour changer un peu des machins proposés au cinéma actuellement qui ne valent pas franchement les 9 € qu’on paye pour les voir.

J’allais oublier… Un petit bijou d’une quinzaine de minutes, c’est l’album concept mis au point par Christopher Benett, et cela s’appelle « The Journey of the Starship Salvation ».

Album qui mélange musique de science fiction et musique d’ambiance, c’est idéal pour se relaxer.

L’offre légale et facile d’utilisation existe… Je l’ai rencontré ;)

L’offre légale – par rapport à la copie illicite de contenus sous copyright – est souvent une offre peu intéressante : chère, interopérabilité nulle (cf iTunes qui ne fonctionnent vraiment bien qu’avec les iPod), limitée, bref un cauchemar à l’utilisation.

Même si le CD est un format vieillissant et que j’ai déjà parlé de sa mort prochaine, il a un énorme avantage : on peut toujours – et jusqu’à preuve du contraire c’est légal – le copier sur le disque de son ordinateur, histoire de copier le fichier obtenu (sans le moindre DRM) sur un baladeur quelconque.

J’ouvre une parenthèse : suite à une fausse manipulation, j’ai perdu le contenu de mon disque dur externe qui contenait les quelques 15 GiO de musique (libre et commerciale) de ma collection… Encore heureux que c’était une copie de la musicothèque de mon disque dur principal 😉

Comme je disais avant cette digression, il existe une offre légale, de prix abordable : ce sont des sites comme Noomiz, Dogmazic (et sa filiale Pragmazic), Altermusique ou encore Jamendo pour ne citer que les plus célèbres.

Il existe de plus en plus de groupes et d’artistes qui vendent directement leur musique en ligne, ou la propose en libre téléchargement en se protégeant avec des licences creative commons / art libre. Voici une liste qui est tout sauf exhaustive :

Et je dois surement encore en oublier. Il suffit d’être curieux pour découvrir des artistes ayant réellement du talent, et non des produits formatés pour pondre quelques titres et se tirer ensuite avec l’oseille engrangée.

Cultivons-nous en vrac’

Et oui, un vrac’ cul-turel 😉

C’est tout pour ce soir ! 😀

Adoption de Trisquel 4.0.1 pour mon PC portable ;)

J’avais, hier, testé rapidement la Trisquel GNU/Linux 4.0 dans une machine virtuelle kvm.

Je suis passé à la vitesse supérieure, en l’installant sur mon PC portable, un Acer 5520 vieux de 2 ans et demi.

Voici donc quelques captures d’écrans de la distribution installé, en notant au passage que c’est désormais Gnash 0.8.8 qui est proposé…

Le seul gros hic avec le noyau fourni avec cette version de la distribution, c’est qu’il fait pêter un cable au circuit wifi au bout d’une heure d’utilisation 🙁

L’autre problème est que l’affichage est brouillé, à cause d’un mauvais support du code du pilote NouVeau… Je suis obligé de rajouter « nomodeset » à la ligne contenant kernel dans le fichier /boot/grub/grub.cfg

En tout cas, j’ai réalisé un vieux souhait : un pc ne tournant que grace à du code libre 😉