Je viens de débloquer un « succès » : être traité de réactionnaire par une Baizuo sur Twitter :)

Commençons l’article par une définition. C’est quoi un Baizuo ? Dixit notre ami intemporel wikipedia :

Baizuo (白左, báizuǒ, abrégé de 白人左派, báirén zuǒpài1, litt. « gauche blanche ») est un néologisme chinois péjoratif désignant une personne occidentale naïve ou hypocrite, qui ne militerait pour la paix et l’égalité que pour satisfaire un sentiment de supériorité morale. Son progressisme et son sens du politiquement correct favoriseraient le retour de valeurs rétrogrades. Arrogant et condescendant, le baizuo se poserait en sauveur.

Le terme est l’équivalent de « social justice warrior » (« guerrier de la justice sociale ») en Occident.

J’ai fait une capture d’écran que j’ai caviardé au maximum pour ne garder que les morceaux intéressants. En effet, j’ai commis un crime impardonnable pour les personnes se déclarant progressistes en suivant les préceptes du « progressisme » version 2021.

Je ne sais plus pour quelle raison précisément, mais l’anathème est si facile dans cette mouvance que du jour au lendemain, l’excommunication peut vous frapper sans prévenir.

Voici que j’ai mis dans ma biographie Twitter, ayant rajouté « Réactionnaire de gauche ! » à la suite de l’incident :

Vous connaissez le vieux même internet : « On the Internet, nobody knows you’re a dog », dont je reproduis l’image ci-dessous :

En clair, on peut affirmer tout et son contraire sans avoir besoin d’apporter la moindre preuve. Sur le réseau à clash qu’est Twitter, c’est encore plus vrai. D’ailleurs, c’est le carburant de Twitter, que l’on peut qualifier du café du commerce avec les piliers de bars qui se sentent pousser des ailes avec l’idée complètement fausse  (cf l’affaire Mila actuellement devant les tribunaux) que les pseudonymes les protègent.

Ma position est simple sur le plan du « progressisme » actuel, c’est l’inverse complet du combat d’un certain Martin Luther King qui disait en 1963 ceci :

I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character.

Que l’on peut traduire par :

Je rêve que mes quatre petits-enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère.

Je ne pense pas que ce soit le cas, 58 ans après que le discours ait été prononcé.

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Au secours, les apprentis sorciers reviennent sur Archlinux…

À moins que cette engeance putride fut toujours présente et qu’elle était restée sous le niveau de détection de mon radar ?

Dans un précédent article, je parlais de la migration douloureuse de Pacman envers certains outils enrobant soit pacman, soit la libalpm qui contient le coeur du gestionnaire de paquets. La victime la plus visible étant pamac-aur (le port de Pamac sur Archlinux) qui est désormais inutilisable jusqu’à ce que le développeur rende disponible une version compatible.

Mais cela n’a pas empêché des personnes qui auraient besoin de réfléchir et de lire un peu la documentation abondante d’Archlinux de proposer des solutions qui flingueront à coup sûr une installation.

J’avais déjà parlé de la solution complètement conne de bloquer la version de pacman proposée sur le forum de la Garuda Linux.

Mais c’était sans compter que le même conseil a été donné sur le forum de la RebornOS, un autre projet dérivé d’Antergos et aussi imbuvable que l’original. Avec des solutions un peu plus intelligentes comme l’utilisation de tkpacman (si vous voulez une interface qui fait penser à celle de MS-Windows 95), voire Bauh.

Mais le comble de la connerie – et je ne m’excuserai pas pour la crudité du terme utilisé – j’ai pu le voir sur le rapport de bug que j’ai ouvert.

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Pacman 6.0, un coup de pied dans les « roustons » des ArchJaro ?

Comme en moyenne une fois par an – même si la dernière fois remonte à octobre 2019 – le gestionnaire de paquets d’Archlinux du doux nom de pacman, connaît une mise à jour majeure.

Dans l’article, je parlais des problèmes de compatibilité avec un outil de « haut niveau », pamac. En effet, la migration de la version 5.1 avec la 5.2 avait mené à l’ouverture de deux bugs.

[…]
Cela a été aussi un passage douloureux pour l’excellent pamac. Après deux rapports de bug, un concernant la compilation, l’autre concernant l’utilisation, le gestionnaire de logiciels est compatible avec pacman 5.2.

Autant dire que grâce à la grande gueule que je suis et qui est détesté par une partie du monde libre francophone, certaines des personnes en question pourront continuer à utiliser une manjaro ou une base archlinux avec pamac sans prise de tête. Du moins, à la prochaine version stable, le paquet pamac-aur-git que je maintiens étant fonctionnel 🙂
[…]

Cette fois la migration est un peu plus douloureuse. Sur le rapport de bug que j’ai ouvert, le développeur qui répond au pseudonyme de Guinux est assez clair, je le cite :

The port to libalpm 13 is not trivial and I don’t have a time ATM to do it. Be patient.

On peut traduire ainsi :

Le port vers libalpm 13 n’est pas trivial et je n’ai pas de temps en ce moment pour le faire. Soyez patients.

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Faut-il faire des jeux moches pour apparaître rétro-ludique ?

J’ai déjà pu dire plusieurs fois que je suis un amateur de rétro-ludique. J’adore les vieux jeux MS-DOS (ou même les productions un peu plus récente), mais comme je l’ai déjà dit en février 2021 :

[…]
Mais pour moi, on est à la limite du pseudo-retro-gaming. Même si Nox Archaist est assez proche du vrai rétro-gaming, il manque un petit quelque chose… Difficile de dire quoi.

En tout cas, comme disait un célèbre animateur à une certaine époque : « Méfiez-vous des contrefaçons ».

En tout cas, une fois la mode du rétro-gaming passée, les vrais productions pour ordinosaures vénérables reprendront du poil de la bête 🙂

J’écris ce billet le 29 mai au soir pour une publication prévue dans les petites heures du 30 mai. Dans environ 3 semaines, le 22 juin, il y aura un anniversaire ludique important : celui de la publication de la version partagicielle d’un jeu qui a marqué son époque, « Quake ».

J’ai déjà parlé plusieurs fois de ce jeu qui m’a marqué et qui a lancé la mode des cartes accelératrices 3D. Principalement dans les articles suivants :

  1. Mai 2020 : GLQuake, la première version utilisant les capacités de cartes 3D à la 3Dfx
  2. Février 2019 : l’anecdote de la version castrée du niveau E2M6 qui était trop gros pour rentrer dans les clous de la taille maximale des niveaux.
  3. Février 2018 : l’histoire de l’ultime préversion du jeu qui contient des niveaux différents.
  4. Juin 2014 : un billet générique sur le jeu. Une vidéo est morte, mais ce n’est pas grave, au bout de 7 ans, ça peut se comprendre 🙂

Mais je n’apprécie pas vraiment les jeux qui ont un rendu moche, coupé à la hache sous prétexte de faire un hommage aux jeux de l’époque. DAns le côté mocheté intense, je demande le FPS « Dusk » sorti en 2018.

Rien que la bande annonce présente des modèles 3D dont les graphistes auraient eu honte à l’époque.

Il suffit de voir un jeu comme « Shogo MAD » – sorti en 1998 – pour avoir des modèles largement meilleur. Que dire de Quake 2 sorti fin 1997 ? À des années lumières de la mocheté suprême qu’est Dusk.

Sortir ce genre de titres avec ces graphismes qui ne correspondent en rien à ce qui était disponible en 1996-1997, c’est simplement se foutre de la gueule du monde. Si vous voulez avoir la vraie expérience des jeux 3D de 1996, il y a l’offre légale de GOG pour Quake.

Mais c’est bien connu, je dis ça, mais je dis rien 🙂

Tiens, forker un logiciel libre uniquement car son nom n’est pas « bienveillant », ça ne fonctionne pas ?

On attribue la citation apocryphe suivante à Manon Roland quelques minutes avant qu’elle ne périsse sur l’échafaud de la guillotine en 1793 : « Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »

Je dirai pour la paraphraser, « Ô bienveillance, que de projets techniquement inutiles on lance en ton nom. »

C’est au nom d’une forme de bienveillance linguistique qu’en 2019, un groupe de personnes décida de prendre le code de l’éditeur d’images The Gimp et de le forker sous le prétexte que gimp en anglais signifie… boîteux !

Je vous renvoie à ce long commentaire d’un des codeurs de GIMP pour connaître les tenants et aboutissants. Fork agressif dès le départ alors que depuis 1995 (soit 24 ans au moment du fork) personne ne s’était plaint du nom, mais peu importe.

Ce qui compte, c’est que la roue du karma continue de tourner et j’ai appris via un article d’OMG Ubuntu qu’on m’a fait parvenir que le projet se mettait en pause pour une durée indéterminée.

Si on regarde sur le billet du blog qui explique l’arrêt, on peut se dire que le projet est bon pour le cimetière. En effet, on peut lire, entre autres qu’après avoir accusé le coronavirus (qui a bon dos ?!) que :

Our problem was not a lack of financial contributions or users, because the project was still growing in those areas. Our main issue was that we could not find contributors willing to step up and help with non-code tasks like moderating communication channels, triaging bugs, fixing packaging problems, working with the GNU Image Manipulation Program contributors, monitoring our social media accounts, running servers, testing/documenting new releases, and answering questions that users reached out to us with. As a result, we struggled to scale the project to match increasing demand.

Que l’on peut traduire par :

Notre problème n’était pas un manque de contributions financières ou d’utilisateurs, car le projet continuait à se développer dans ces domaines. Notre principal problème était que nous ne trouvions pas de contributeurs prêts à s’investir dans des tâches non codées comme la modération des canaux de communication, le triage des bogues, la correction des problèmes d’empaquetage, la collaboration avec les contributeurs du programme de manipulation d’images GNU, la surveillance de nos comptes de médias sociaux, le fonctionnement des serveurs, le test et la documentation des nouvelles versions, et la réponse aux questions des utilisateurs qui nous contactaient. En conséquence, nous avons eu du mal à faire évoluer le projet pour répondre à la demande croissante.

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Aimer la période Dio de Black Sabbath, c’est pas donné :(

J’aodre le metal, que ce soit le metal progressif d’un Opeth (d’Orchid à Watershed inclus), le heavy metal de Deep Purple (époque Mark II et III) et de Led Zeppelin, sans compter d’autres genres dont j’ai parlé sur le blog, sans oublier les périodes Ozzy Osborne et Dio de Black Sabbath (en dehors des ovnis « Technical Ecstasy » et « Never Say Die »).

J’avais fait un article dédié à ce sujet en 2017. Comme le temps file !

Il faut dire qu’avec des classiques comme « Heaven and Hell » et « The Mob Rules », Dio avait donné du sang neuf à un des groupes qui a fondé le metal en 1970. Il ne manquait qu’un album des deux époques Dio, c’était le très lourd et sombre « Dehumanizer ».

J’avais appris à connaître un des titres de cet album sans le savoir. En effet, une des musiques de Doom II (sur les map 10 et 16) reprenait l’introduction du très bon « After all (the dead) », sous le nom de « The Demon’s Dead ». Merci à l’excellent Doom Wiki pour les références.

J’ai pu le trouver à petit prix sur eBay. Il me tarde qu’il rejoigne ma collection.

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Vive le « vieux-connisme » en informatique ! :)

Cet article m’a été inspiré par la longue réflexion de Didier sur la peste que sont devenues les rustines en informatique. C’est le deuxième, après un consacré à une geekerie un peu chtarbée 🙂

Oui, deux articles coup sur coup, ça fait beaucoup. Mais je dois dire que la prose de Didier m’a particulièrement inspirée. Et écouter l’excellent « Dehumanizer » de Black Sabbath (deuxième époque Dio) colle parfaitement au contenu de cet article 🙂

Dans son long article, Didier pointe du doigt ce qui rend l’informatique moderne indigeste, comme l’ajout de couches les unes au dessus des autres, que ce soit .net, DirectX ou des cadriciels à la electron.

On ne parle plus de développer les logiciels en langage de bas niveau, comme l’assembleur, le C ou le C++. Programmer en assembleur sur des Ryzen ou des Core iQuelquechose ? Bon courage 🙂

Depuis des années, on a droit à des cadriciels pour simplifier le développement… Mais les dits cadriciels (frameworks en anglais) sont devenus des monstruisités en terme de taille. Si on prend electron (orienté technologies internet), on se retrouve avec le logiciel lui même qui dépasse les 160 Mo en dehors des dépendances à installer.

Avec les dependances, on arrive à quoi ? Dans les 500 Mo ? Pour mémoire, MS-Windows XP – qui a eu la plus longue durée de vie à savoir 13 ans – avait les pré-requis système suivants en ce qui concerne l’espace disque : 1,5 Go minimum, 6 recommandés.

Je sais, on parle d’un OS sorti il y a 20 ans, mais voir qu’un cadriciel seul doit peser avec ses dépendances pas loin du tiers de ce qui était nécessaire au minimum pour installer MS-Windows XP, ça fait peur !

Comme l’a si bien dit Didier et je me permets de le citer ici :

[…]
Je vous laisse méditer sur le fait qu’un ordinateur d’aujourd’hui qui a plusieurs coeurs à plusieurs Gigahertz, des mémoires et disques SSD met presque plus de temps pour arriver à l’ouverture d’un traitement de texte que je ne pouvais le faire dans les années 80.
[…]

Je n’ai pas utilisé de traitement de texte dans les années 1980, mais lancer Microsoft Word au milieu des années 1990, ça demandait une trentaine de secondes sur des 486/Pentium et des disques durs qui n’étaient pas foudre de guerre.

Par comparaison – qui vaut ce qu’elle vaut – lancer LibreOffice depuis mon nvme, c’est facilement une dizaine de secondes. Et on ne peut pas dire que la bande passante d’un nvme est du même niveau que celle d’un disque dur des années 1995 à 2000.

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Ah, les trolls qui attaquent sur le plan socio-professionnel…

Je reçois en moyenne un commentaire par mois pour m’attaquer sur le plan socio-professionnel. Dans 95% des cas, je fous le commentaire à la poubelle et dans 50% des cas, je montre les tombereaux de merde que je me prends en plein tronche sur mes réseaux asociaux.

En ce 9 mai matin, j’ai eu droit à un énième commentaire troll d’un certain « zigounette » qui me sort l’habituel laïus sur mon statut socio-professionnel. Voici donc le commentaire en question où j’ai masqué l’adresse IP.

Je cite le morceau concernant l’attaque sur le statut socio-professionnel :

[…]
Linux est dominant dans le monde PRO, ce que tu ignores, car tu n’as jamais travaillé.
[…]

Bref, l’attaque classique qui ressemble à la fin de BuzzSaw dans le film « The Running Man » de 1987.

Ce qui est malheureux dans ce commentaire, c’est qu’il y a des vérités, du moins en partie en oubliant une chose : un pourcentage n’a de valeur que si on l’exprime par rapport à une base donnée. Dire 90% de quelque chose en oubliant de préciser à quoi correspond la base 100 en question, c’est rester dans le vague.

Ensuite, l’attaque sur le contenu que je produis :

[…]
tes 15 ans de billets sur Linux ne servent à rien, tes discours ne servent à rien, les PROS, ceux qui font tourner le monde s’en balancent les cacahuètes de ce débat.
[…]

Ce n’est pas faux, mais quand est-ce que j’ai parlé du monde professionnel sur mon blog ?

Je me suis toujours attaché à parler du monde du particulier.

Le monde du serveur, ce n’est pas un domaine qui m’intéresse outre mesure. Je laisse cela à des personnes qui ont été formées pour s’en occuper.

Se concentrer uniquement sur le monde professionnel, c’est considérer que l’individu lambda compte moins qu’un excrément canin sur un trottoir d’une grande ville et que ce n’est pas grave si ce dernier se fait entuber jusqu’à l’os…

Mais il est vrai que MS-Windows malgré toutes ses dérives fait fonctionner la majorité des logiciels qu’ils soient ludiques ou professionnels…

On s’étonnera que le libre bureautique soit réduit à l’épaisseur du trait sur un graphique qui représente les parts de marchés des divers OS. Oh, mince, je viens de sortir une grossièreté sans nom : « parts de marché » !

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Rétro-gâteux, je suis… Pigeon, je ne suis pas…

J’ai pu le montrer par divers articles que je suis un fan de rétro-informatique et des ordinosaures qui ont marqué mes jeunes années. J’ai eu durant 5 ans un Amstrad CPC6128 et je dois dire que ce n’est pas l’ordinateur 8 bits que je voudrais avoir dans ma collection actuellement. Je cherche l’exotisme technique et donc un Commodore 64.

Recherche qui restera sans le moindre doute du domaine du rêve, faute de finances et d’une offre raisonnable… De plus, comme l’émulation de cette machine est de haute qualité, ça permet d’éviter de se ruiner 🙂

En fouillant sur eBay, on trouve des annonces qui sont de l’attrape-pigeon, pardon je voulais dire de l’appeau à collectionneur. À vous de voir quelle est l’expression qui colle le mieux.

Un exemple – bien que caricatural – montre à quel point certaines personnes n’ont aucune limite. Je ne mettrais pas d’adresse pour une simple et bonne raison : celle-ci sera invalidée dans les mois qui suivront la publication de l’article.

J’ai aussi gommé dans l’image l’adresse de l’annonce ainsi que le nom du vendeur – qui a osé dire spéculateur sans foi ni loi ? – qui propose l’offre.

Oui, vous avez bien vu, 999€ pour un Commodore 64 de première génération encore dans sa boite et jamais déballé. Rien ne dit que l’ordinateur a bien vieilli ou pas.

Sur un ordinosaure construit entre 1982 et 1985 (pour la génération des « huches à pain » par opposition à ceux qui ont repris l’apparence du Commodore 128), les chances qu’un circuit ne soit plus en bon état sont énormes.

J’oubliais de préciser ceci : le prix s’entend hors frais de port. C’est plus marrant ainsi !

Bref, 999€ pour un ordinateur qui servira de décoration, ça fait cher… Très cher ! Après, libre à chaque personne de dépenser presque un smic dans une pièce de musée 🙂

Mais le pire reste à venir, car j’ai vu une annonce qui va vous faire rebondir tel un acrobate sur un trampoline de compétition.

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L’idéologie, gangrène du monde du logiciel libre…

Cela fait environ un tiers de siècle que j’utilise des ordinateurs avec la moitié – en arrondissant – passé en mono-démarrage linuxien. En gros, je suis utilisateur de logiciels libre et open-source depuis 2005 à temps plein ou presque dans le cadre privé.

Cependant, j’ai toujours eu des contacts avec le monde non-libre via des connaissances ou diverses prestations où la norme était le MS-Windows de l’époque. Si j’ai pu échappé à MS-Windows Millenium, je n’ai pas coupé à MS-Windows Vista que l’on appellait tourista avec l’animatrice informatique dont j’ai été le bras droit.

Cela n’a pas toujours été très simple. Combien de fois ai-je dû me battre pour faire reconnaitre une imprimante ou une technlogie propriétaire comme la vérole Adobe Flash ? Je pense que les archives du blog seront une bonne source de recherches.

Cependant, quand je suis arrivé dans le doucéreux monde du logiciel libre, ce n’était pas par idéologie. Et si je continue d’utiliser des logiciels libre et open-source, ce n’est toujours pas par idéologie.

J’ai beau être barbu, aimer la pizza – mais il ne faut pas que j’en abuse à mon âge honorable car la perte de poids devient problématique – et pourtant je n’en ai rien à faire de l’idéologie qui sous-tend dans le monde du logiciel libre.

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