Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi d’août 2022..
Côté logiciel libre, informatique et internet.
- Dans la série « je réinvente la roue pour mon propre bien », je demande la Deepin Linux 23 actuellement en étape preview qui abandonne sa base Debian pour une base qui lui est propre.
- La DGLFI, je demande la AstOS qui est une base Archlinux utilisant BtrFS pour avoir une base immuable, un peu à l’image de Fedora Silverblue, donc.
Côté culture ?
- Vous aimez le mélange d’électronique et d’ambiant ? Alors l’album « Ater / Iterare » de Grand Ciel est pour vous.
- Vous êtes plutôt branché kraut rock et post rock ? Alors l’album « The Drunken Fisherman (and other stories) » de Schall und Stille est pour vous.
Pour finir le billet, le dernier épisode des tutos à la con de Tonton Fred, avec des morceaux de Gnome dedans.
Sur ce, bonne fin de semaine !
Je me garderais bien de juger de l’intérêt d’une distribution « immuable » mais ça me semble un apport d’un autre niveau que celui des habituelles DGLFI. Tu as cité Silverblue mais ce n’est pas basé sur la même distribution mère. Bref, n’es-tu pas un peu sévère en la qualifiant de DGLFI ?
Un peu sévère sûrement. Mais il faudra me dire l’intérêt de prendre une base rolling pour une distribution « immuable ».
Même si « immuable » en est la traduction classique, il faut plutôt comprendre ici « immutable » comme « non-modifiable ». Les répertoires système sont en effet read-only, ce qui est indépendant de la fréquence de mise à jour du système. Après, est-ce que c’est vraiment utile, j’en sais rien. Il y aussi une construction basée sur une hiérarchie de snapshots BTRFS (permettant des trucs un peu à la NixOS, selon l’auteur). Disons que si c’est une DGLFI, elle est plus originale que 99% des autres DGLFI.
Le rock du pêcheur en état d’ébriété, c’est plutôt planant, par contre le titre m’a bien fait rire 😉