« L’Appel du Vide » de « Rise of Avernus » : un mélange explosif.

Dans un billet « en vrac' » de début janvier 2015, je parlais en vitesse du premier LP des australiens du groupe « Rise of Avernus« .

L’album est sorti en 2014 et peut être écouté sur la page bandcamp du groupe. Inutile de préciser que je l’ai acheté pour me faire un petit cadeau d’anniversaire avec un peu d’avance.

Le groupe est australien, propose un titre d’album en français et est produit par un label italien. Vive la mondialisation ! 🙂

Le groupe mélange plusieurs influences : du chant growl (pour l’influence death metal), du chant féminin clair (pour l’influence symphonique) et des pistes qui sont tout de même assez longues, la plus courte, éponyme de l’album durant moins de deux minutes, la plus longue arrivant à 7 minutes 30. Autant dire que l’on peut rajouter une influence progessive très marquée.

La première piste nous propose déjà le mélange qui teinte la plupart des pistes : le metal (guitares, batteries) avec un chant growl. Si le chant growl est seul durant une ou deux minutes, rapidement le chant clair arrive et se marie à la perfection.

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Y a pas à dire, mais les groupes indépendants, ils ont le respect de leurs fans.

Il y a 6 semaines, je parlais du groupe de Metal progressif suédois Astolat. Je disais à la fin de l’article :

Et l’EP se termine comme il avait commencé par un petit morceau acoustique. Avoir découvert cet album a été un sacré coup de chance. Et vivement début mars qu’un petit colis de Suède arrive dans ma boite au lettre, car oui, j’ai commandé un CD.

Cependant, le CD avait pris du retard. Et en suivant la page FaceBook du groupe, j’avais pu lire que les personnes qui avait précommandé le CD aurait un petit lot de consolation.

Quand ce midi, j’ai été cherché mon courrier, j’ai eu le plaisir de voir un paquet en provenance de Suède… Et quand je l’ai déballé, en plus de l’album dédicacé, le bonus en question était vraiment sympa : un enregistrement du précédent groupe du guitariste et bassiste Erik Epiales. Un EP « Witches’ Sabbath » de Three Beggars.

J’avoue que j’ai vraiment apprécié le geste. Si les groupes commerciaux pouvaient en faire de même, ils remonteraient dans l’estime de beaucoup de gens.

En tout cas, merci Astolat pour le geste ! Et longue vie au groupe !

« Factory Of Dreams », le premier album des « Seven Nails ».

Seven Nails, c’est un groupe de métal symphonique et progressif allemand. Il est composé de Daniela Marx (Chant), Julian Volkmann (Chant), Marion Hüttl (Violon et chant),Tim Lobitz (Claviers), Mathias Schmid (Guitare), Leo Reinhardt (Basse) et Johannes Auer (Batterie).

Leur premier album, « Factory Of Dreams » est sorti le 15 février 2013. Je l’ai trouvé alors que je cherchais sur Bandcamp des albums de métal symphonique avec du chant. Et j’avoue que c’est d’abord la pochette qui m’a tapé dans l’oeil.

Dès la première piste, l’ambiance est lourde. Un tonnerre nous accueille, mélangé à une ambiance très « faustienne ». On se croirait devant un chateau en ruine, à la recherche d’un abri pour la nuit.

Le titre éponyme nous propose une rythmique typique du métal symphonique. Il est agréable de noter que les voix sont claires et que c’est un mélange de voix féminine et masculine. Le violon que l’on peut entendre est un vrai, ce qui est agréable.

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La Suède, l’autre pays du Métal ? L’exemple avec Astolat.

Hier, je cherchais de la musique que l’on peut qualifier de métal progressif, un peu à l’image de ce qu’à fait Opeth durant la plus grande partie de sa carrière.

Mélanger du bon gros métal, du growl, du chant clair et des mélodies de 10 minutes super travaillées. Je vous conseille des morceaux comme « Ghost of Perdition » ou encore « The Leper Affinity » pour savoir ce que veux dire métal progressif.

Donc comme je le disais, hier, en allant sur Bandcamp et en fouillant la catégorie Métal, je suis tombé sur Astolat, et leur premier EP, « The Faceless Mask » .

Il ne faut pas se laisser avoir par la première piste titrée en suédois (et désolé, mon suédois est rouillé, donc je ne me risquerais à aucune traduction) qui nous propose un morceau uniquement au piano, chargé d’une forte dose d’ambiance assez glauque.

Et c’est à partir de la deuxième piste qu’on se prend une claque monumentale. Le titre éponyme de l’EP contient des mélodies typique du métal, mais assez travaillée (on est dans le progressif ici), avec une voix féminine en chant clair qui donne un côté accrochant au titre.

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Les meilleurs slows ? Faits par les métalleux, faut croire ;)

Dans un billet vieux de 4 ans et demi, je posais la question de savoir si les « hardeux » faisaient les meilleurs slows.

Et découvrant l’univers du métal progressif, avec des pointures comme les suédois d’Opeth, j’ai voulu présenter quelques titres qui ne sont pas – comme le dit si bien un ami caricaturiste – uniquement des cris de cochons (quoiqu’il y a de très bon titres d’Opeth avec des morceaux avec du chant guttural, comme « Black Rose Immortal »).

Ne cherchez pas un quelconque ordre chronologique, y en a pas 😉

« Burden » tiré de l’album « Watershed » (2008)

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