Car ce mois d’octobre a été complètement fou, en ce qui me concerne. Voici le bilan des albums acquis durant les 30 derniers jours.
Continuer la lecture de « Musique ? Faut savoir se calmer… »
Le blog d'un internaute aimant l'informatique libre, la musique et la rétro-informatique !
Car ce mois d’octobre a été complètement fou, en ce qui me concerne. Voici le bilan des albums acquis durant les 30 derniers jours.
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L’offre légale – par rapport à la copie illicite de contenus sous copyright – est souvent une offre peu intéressante : chère, interopérabilité nulle (cf iTunes qui ne fonctionnent vraiment bien qu’avec les iPod), limitée, bref un cauchemar à l’utilisation.
Même si le CD est un format vieillissant et que j’ai déjà parlé de sa mort prochaine, il a un énorme avantage : on peut toujours – et jusqu’à preuve du contraire c’est légal – le copier sur le disque de son ordinateur, histoire de copier le fichier obtenu (sans le moindre DRM) sur un baladeur quelconque.
J’ouvre une parenthèse : suite à une fausse manipulation, j’ai perdu le contenu de mon disque dur externe qui contenait les quelques 15 GiO de musique (libre et commerciale) de ma collection… Encore heureux que c’était une copie de la musicothèque de mon disque dur principal 😉
Comme je disais avant cette digression, il existe une offre légale, de prix abordable : ce sont des sites comme Noomiz, Dogmazic (et sa filiale Pragmazic), Altermusique ou encore Jamendo pour ne citer que les plus célèbres.
Il existe de plus en plus de groupes et d’artistes qui vendent directement leur musique en ligne, ou la propose en libre téléchargement en se protégeant avec des licences creative commons / art libre. Voici une liste qui est tout sauf exhaustive :
Et je dois surement encore en oublier. Il suffit d’être curieux pour découvrir des artistes ayant réellement du talent, et non des produits formatés pour pondre quelques titres et se tirer ensuite avec l’oseille engrangée.
De plus en plus d’artistes – plus ou moins connu – ont décidé de se débarrasser de l’intermédiaire qu’est le producteur de disque pour vendre directement au consommateur.
Quelques exemples :
Et il doit sûrement en y avoir d’autres. En tout cas, que ce nombre croît ne serait pas étonnant, surtout si les artistes veulent controler la vente de la copie de leur oeuvre.