Confession d’un amateur de musique, épisode 4 : ma découverte de la musique libre avec Tryad…

Quatrième épisode de cette série, il sera plus fourre-tout que les précédents, car il ne concerne pas un genre en particulier. Mais une méthode de publication, la musique libre.

C’est vers 2006 ou 2007 que je découvre Jamendo, ainsi que des sites comme Altermusique ou dogmazic. Je ne sais plus par quel moyen j’entends parler d’un mouvement que je trouve bizarre : la musique sous licences libres. De la musique qu’on pouvait récupérer gratuitement et légalement, comme je l’avais fait pour mon système d’exploitation.

Un des albums qui cartonnait à l’époque, c’était « Listen » de Tryad. Je sortais d’une époque où je récupérais illicitement un peu de musique commerciale sur des réseaux comme Kazam ou encore sur Limewire… Toute une époque 🙂

J’étais déjà utilisateur de logiciels libres, mais de la musique sous licence libre, je me suis dit « Quoiiiiiiii ? »

J’ai donc lancé la lecture de l’album, m’attendant au pire, et une fois passé la première piste, je tombe sur « Breathe ». Et c’est le coup de coeur.

Je me suis alors mis à fouiller frénétiquement les sites de musique libre, et comme pour la musique commerciale, j’ai trouvé à boire et à manger.

Mais surtout des artistes que j’ai continué de suivre par la suite : Ehma, Roger Subirana (dont je reparlerai dans un futur billet), Zero Project, Strange Zero, In Limbo, Marker Beacon ou plus récemment Lily Anne Jutton. J’ai dû en oublier une tripotée ou deux, mais cela m’a permis de m’ouvrir à des univers musicaux que j’aurais boudé autrement…

« Dead Frequencies  » de Marker Beacon : quand le heavy metal français se libère.

Parmi les styles musicaux que j’apprécie, le metal en fait partie, avec la folk, le rock progressif ou pas, ou encore la musique classique. J’ai des goûts musicaux assez variés comme j’ai pu le démontrer au fil des billets sur mon blog.

Genre né au début des années 1970, le metal a eu des variantes qui se sont démultipliés, au point qu’il faut parfois utiliser des métaphores pour comprendre les différents styles. Et encore, on est très loin d’être exhaustif.

J’ai été contacté par Olivier, membre du groupe Marker Beacon pour me parler de leur premier album officiel.

J’avoue que je ne connaissais pas la tendance « mélodique » du métal, et on est loin des titres glauques et lourds que pourrait laisser croire la pochette 🙂

Pochette du premier album des Marker Beacon

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