Ayant installé une version pré-alpha6 de la distribution Ubuntu Linux Jaunty Jackalope dans une machine virtuelle Virtualbox, j’ai eu droit à un écran de connexion assez « classe ».
Ce serait bien qu’il soit conservé dans la version finale 🙂
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Ayant installé une version pré-alpha6 de la distribution Ubuntu Linux Jaunty Jackalope dans une machine virtuelle Virtualbox, j’ai eu droit à un écran de connexion assez « classe ».
Ce serait bien qu’il soit conservé dans la version finale 🙂
Avec la sortie de Xfce 4.6, j’ai voulu tester une distribution l’incluant, désirant voir à quoi ressemblait cette nouvelle mouture de l’environnement en question.
N’appréciant pas outre mesure Xubuntu (trop gnomisée à mon goût), et comme les distributions en rolling release (comme ArchLinux ou Frugalware) ne la propose pas, je me suis rabattu sur la ZenWalk 6.0rc1.
J’ai donc utilisé le protocole habituel : machine virtuelle virtualbox, avec 768 Mo de mémoire vive, un disque virtuel de 32 Go. L’installation propose pas mal d’option (mais pas encore le système de fichiers ext4fs), et j’aurais bien aimé aller plus loin, mais manque de pot, l’installation a planté au moment de la configuration de Xorg :/
Néanmoins, j’ai pris quelques captures d’écran qui montre l’énooooooooooorme complexité d’installation de la distribution en question 😉
Zenwalk 6.0rc1 |
Je retenterais ma chance avec la sortie de la version finale de la ZenWalk 6.0 😉
J’ai parlé sur mon autre blog de ma coupure sur le plan non technique. Maintenant, au tour du plan technique 😉
A vrai dire, cela s’est surtout résumer à faire surchauffer mon pauvre logiciel de virtualisation, j’ai nommé VirtualBox.
Bon, je vous laisse, je me replonge dans « Leviathan » de Paul Auster !
« When pigs fly » est une expression anglophone dont l’équivalent francophone est : « quand les poules auront des dents ».
A vrai dire, j’avais entendu parler d’une sortie de la version 5.0 de Debian pour la Saint Valentin, et cela a été presque le cas. Le site officiel de la distribution a été mis à jour le 15 février – du moins en France.
Selon les notes de publication, cette version – qui ne sort que 22 mois après Debian Etch – propose :
Il est vrai que le leitmotiv de Debian est : stabilité, stabilité, stabilité. Et tant pis si les versions sont parfois un peu vieille. Mais on l’aime bien la Debian, au fond 😉
Maintenant, reste à savoir quand sortira Debian Squeeze (et qui sera sûrement Debian 6.0). Allez, rendez-vous dans deux ans ? 😉
Cela faisait un petit bout de temps que je n’avais pas fait un vrac’ rapide et libre. Comblons le trou 🙂
Ok, y a pas grand chose, mais c’est toujours cela de pris 🙂
La vénérable distribution Slackware Linux (la plus ancienne encore en vie ?) n’a qu’un défaut – mis à part de proposer KDE – c’est de n’être disponible qu’en version 32 bits. Il existe deux ports non-officiels de la Slackware Linux, la Slamd64 et la Bluewhite64 Linux.
Continuer la lecture de « Tour du « propriétaire » de la distribution linux « Bluewhite64 12.2 ». »
N’ayant plus parlé du test acid3 pour les versions de développement de Mozilla Firefox depuis le 15 octobre dernier, j’ai voulu faire un point après l’arrivée du correctif qui introduit le support du langage SMIL.
Bien qu’il faille rajouter la ligne : ac_add_options --enable-smil
le temps que le bogue 473705 soit corrigé, le résultat est proche des 100 / 100 tant recherché.
En me basant sur l’image ISO récupérée, j’ai lancé l’installation dans une machine virtuelle virtualbox équipée de 768 Mo de mémoire vive, un disque de 32 Go, un circuit son AC’97.
Continuer la lecture de « Le test de la Frugalware 1.0pre2 : deuxième partie, l’installation. »
Récupérer l’image ISO du premier DVD – car je n’ai pas envie de télécharger la plus grosse partie des paquets dont j’aurais besoin après l’installation – quelque soit l’architecture supportée par la distribution Frugalware Linux tient du parcours du combattant.
J’ai installé hier après-midi la dernière mouture de la distribution OpenSuSE, la 11.1 en 64 bits dans une machine virtuelle VirtualBox, équipée de 768 Mo de mémoire vive, un disque de 32 Go, un circuit son AC’97.
Après avoir récupéré l’image ISO du DVD (histoire d’avoir une installation sans trop jongler avec des images de CDs), et attendu la fin de l’installation, je me suis aperçu que de nombreux paquets 32 bits étaient installés, sans même que l’utilisateur ait son mot à dire.
Comme jadis la Fedora 8 (qui est sorti mi-2008), la OpenSuSE 11.1 est un mélange de paquets 32 et 64 bits. Alors que j’ai pu vérifier que les paquets 32 bits peuvent être virés sans problème. Une centaine de paquets à vue de nez…
Soit en gros 10% des paquets installés… On pourra me dire que c’est lié au support du greffon flash en 32 bits. Or, depuis novembre dernier, Adobe propose une version béta de son greffon en 64 bits.
Il est vrai que les solutions libre comme swfdec (ou gnash, s’il est vraiment fonctionnel) ne sont pas des panacées sur des sites comme deezer.com :/
Même si je préfèrerais largement utiliser swfdec, il faut rester pragmatique : les solutions libres pour flash, c’est pas encore cela :/
Bref, la distribution OpenSuSE ne sera pas celle qui remplacera mon Ubuntu Linux Intrepid Ibex. Si on fait un bilan rapide de cette mouture, en positif :
Et côté négatif :
A chacun de se faire son opinion sur cette version de la distribution de Novell.