Ubuntu Linux Jaunty Jackalope : un écran de connexion plus « classe » ?

Ayant installé une version pré-alpha6 de la distribution Ubuntu Linux Jaunty Jackalope dans une machine virtuelle Virtualbox, j’ai eu droit à un écran de connexion assez « classe ».

Ecran de connexion d'ubuntu Linux Jaunty Jackalope pre-alpha6

Ce serait bien qu’il soit conservé dans la version finale 🙂

ZenWalk 6.0rc1 : presque testable ? ;)

Avec la sortie de Xfce 4.6, j’ai voulu tester une distribution l’incluant, désirant voir à quoi ressemblait cette nouvelle mouture de l’environnement en question.

N’appréciant pas outre mesure Xubuntu (trop gnomisée à mon goût), et comme les distributions en rolling release (comme ArchLinux ou Frugalware) ne la propose pas, je me suis rabattu sur la ZenWalk 6.0rc1.

J’ai donc utilisé le protocole habituel : machine virtuelle virtualbox, avec 768 Mo de mémoire vive, un disque virtuel de 32 Go. L’installation propose pas mal d’option (mais pas encore le système de fichiers ext4fs), et j’aurais bien aimé aller plus loin, mais manque de pot, l’installation a planté au moment de la configuration de Xorg :/

Néanmoins, j’ai pris quelques captures d’écran qui montre l’énooooooooooorme complexité d’installation de la distribution en question 😉

Zenwalk 6.0rc1

Je retenterais ma chance avec la sortie de la version finale de la ZenWalk 6.0 😉

Ca fait du bien une coupure :)

J’ai parlé sur mon autre blog de ma coupure sur le plan non technique. Maintenant, au tour du plan technique 😉

A vrai dire, cela s’est surtout résumer à faire surchauffer mon pauvre logiciel de virtualisation, j’ai nommé VirtualBox.

  • ArchLinux 2009.02, qui est une des premières distributions stable à offrir le support de l’ext4fs. L’article au vitriol de Cyrille concernant la distribution résume bien le fond de ma pensée.
  • Kubuntu Jaunty Jackalope qui offre un KDE 4.2, et je dois avouer que l’ensemble commence à me plaire pas mal. Vais-je passer de l’autre coté de la barrière après plusieurs années d’utilisation de Gnome ?
  • DragonFlyBSD 2.2.0 qui bloque au démarrage 🙁
  • Debian Lenny, histoire de ne pas mourir idiot. Pas mal, mais dommage que certains logiciels accusent leur age 🙁
  • MS-Windows 7 beta 1 que l’on m’a passé. Et bien, je n’ai pas été déçu du voyage : toujours aussi lourd, même si la bête semble un peu mieux répondre avec seulement 768 Mo de mémoire vive. Et même s’il y a toujours la grosse erreur de conception : le premier utilisateur créé a des droits administrateurs par défaut !

Le premier compte créé lors de l'installation de Windows 7 a toujours des droits administrateurs !

Bon, je vous laisse, je me replonge dans « Leviathan » de Paul Auster !

Tiens, un vol de cochons ailés… Et oui, Debian Lenny est sortie !

« When pigs fly » est une expression anglophone dont l’équivalent francophone est : « quand les poules auront des dents ».

A vrai dire, j’avais entendu parler d’une sortie de la version 5.0 de Debian pour la Saint Valentin, et cela a été presque le cas. Le site officiel de la distribution a été mis à jour le 15 février – du moins en France.

Selon les notes de publication, cette version – qui ne sort que 22 mois après Debian Etch – propose :

  • Gnome 2.22.2 (alors que la version 2.26.0 est prévu pour mars 2009)
  • KDE 3.5.10 (alors que KDE 4.2.0 est sorti récemment)
  • Un noyau linux 2.6.26, alors que la version 2.6.29 en est à sa 5ième préversion.
  • Gimp 2.4.7 (alors que Gimp est en version 2.6.4)
  • Iceweasel (la version « libérée de Mozilla Firefox) 3.0.6
  • IceDove (la même chose pour Mozilla Thunderbird) 2.0.0.19

Il est vrai que le leitmotiv de Debian est : stabilité, stabilité, stabilité. Et tant pis si les versions sont parfois un peu vieille. Mais on l’aime bien la Debian, au fond 😉

Maintenant, reste à savoir quand sortira Debian Squeeze (et qui sera sûrement Debian 6.0). Allez, rendez-vous dans deux ans ? 😉

En vrac’ rapide et libre.

Cela faisait un petit bout de temps que je n’avais pas fait un vrac’ rapide et libre. Comblons le trou 🙂

Ok, y a pas grand chose, mais c’est toujours cela de pris 🙂

Tour du « propriétaire » de la distribution linux « Bluewhite64 12.2 ».

La vénérable distribution Slackware Linux (la plus ancienne encore en vie ?) n’a qu’un défaut – mis à part de proposer KDE – c’est de n’être disponible qu’en version 32 bits. Il existe deux ports non-officiels de la Slackware Linux, la Slamd64 et la Bluewhite64 Linux.

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95 / 100 au test acid3 pour Minefield 3.2a1pre

N’ayant plus parlé du test acid3 pour les versions de développement de Mozilla Firefox depuis le 15 octobre dernier, j’ai voulu faire un point après l’arrivée du correctif qui introduit le support du langage SMIL.

Bien qu’il faille rajouter la ligne : ac_add_options --enable-smil le temps que le bogue 473705 soit corrigé, le résultat est proche des 100 / 100 tant recherché.

95 / 100 au test acid3 dans Minefield 3.2a1pre

Le test de la Frugalware 1.0pre2 : deuxième partie, l’installation.

En me basant sur l’image ISO récupérée, j’ai lancé l’installation dans une machine virtuelle virtualbox équipée de 768 Mo de mémoire vive, un disque de 32 Go, un circuit son AC’97.

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Le test de la Frugalware 1.0pre2 : première partie, la récupération de l’image ISO du DVD.

Récupérer l’image ISO du premier DVD – car je n’ai pas envie de télécharger la plus grosse partie des paquets dont j’aurais besoin après l’installation – quelque soit l’architecture supportée par la distribution Frugalware Linux tient du parcours du combattant.

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OpenSuSE 11.1 64bits : vraiment 64 bits ?

J’ai installé hier après-midi la dernière mouture de la distribution OpenSuSE, la 11.1 en 64 bits dans une machine virtuelle VirtualBox, équipée de 768 Mo de mémoire vive, un disque de 32 Go, un circuit son AC’97.

Après avoir récupéré l’image ISO du DVD (histoire d’avoir une installation sans trop jongler avec des images de CDs), et attendu la fin de l’installation, je me suis aperçu que de nombreux paquets 32 bits étaient installés, sans même que l’utilisateur ait son mot à dire.

Comme jadis la Fedora 8 (qui est sorti mi-2008), la OpenSuSE 11.1 est un mélange de paquets 32 et 64 bits. Alors que j’ai pu vérifier que les paquets 32 bits peuvent être virés sans problème. Une centaine de paquets à vue de nez…

Liste des paquets 32 bits dans l'OpenSuSE 11.1 64 bits

Soit en gros 10% des paquets installés… On pourra me dire que c’est lié au support du greffon flash en 32 bits. Or, depuis novembre dernier, Adobe propose une version béta de son greffon en 64 bits.

Il est vrai que les solutions libre comme swfdec (ou gnash, s’il est vraiment fonctionnel) ne sont pas des panacées sur des sites comme deezer.com :/

Même si je préfèrerais largement utiliser swfdec, il faut rester pragmatique : les solutions libres pour flash, c’est pas encore cela :/

Bref, la distribution OpenSuSE ne sera pas celle qui remplacera mon Ubuntu Linux Intrepid Ibex. Si on fait un bilan rapide de cette mouture, en positif :

  • Reconnaissance de mon circuit wifi, un atheros 5007eg dès le départ.
  • OpenOffice.org 3.0
  • Gnome 2.24.1
  • Une installation très simple

Et côté négatif :

  • Le menu intelligent pour Gnome plus imbuvable qu’autre chose
  • Mono à tous les étages, alors que des outils sans Mono fonctionnent très bien par ailleurs.
  • Le mélange de paquets en 32 et en 64 bits
  • Le look à la « windows » de Gnome

A chacun de se faire son opinion sur cette version de la distribution de Novell.