Vieux Geek, épisode 165 : Blood, le FPS orienté horreur pour PC.

Quand Duke Nukem 3D est sorti en 1996, il fut une révolution pour les FPS en pseudo 3D. Il renvoyait Doom à ses chères études. Le moteur fut utilisé pour de nombreux jeux. Que ce soit des FPS déjantés comme Redneck Rampage ou encore l’archéologique Powerslave. Il y a aussi eu le ninja-esque Shadow Warrior.

Le domaine de l’horreur n’a pas été oublié, c’est « Blood » sorti en mai-juin 1997 qui s’en occupe. L’action se passe à la fin des années 1920. On joue le rôle de Caleb, membre d’une secte du nom de « Cabale » dirigé par un dieu du nom de Tchernobog. Ce dernier décide de bannir certains membres du premier cercle de sa secte, dont Caleb qui est enterré vivant.

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« Je suis une légende » : quand on est seul au monde ;)

J’ai récemment dévoré le livre de Richard Matheson sorti en 1956, « Je suis une légende ».

Ecrit en 1954, l’histoire se déroule entre 1976 et 1978. Robert Neville est l’ultime survivant d’une épidémie qui a transformé l’ensemble de la population de la ville de Los Angeles en vampyre. Immunisé par une morsure de chauve souris, le livre raconte sa survie et sa lutte contre les vampyres qui veulent sa peau.

Dès 1964, une première adaptation (la meilleure ?) a été faîte. Elle est disponible dans le domaine public, et s’appelle « The Last Man On Earth » avec Vincent Price.

Bonne lecture et bon visionnage pour les personnes qui récupèreront le film qui est tombé dans le domaine public à la suite d’une négligence.

Film vu cette semaine…

Comme la semaine dernière, je n’ai eu la possibilité de voir qu’un film, mais quel film… Une légende du cinéma fantastique et d’horreur : « L’Exorciste » de William Friedkin.

Je dois avouer que je n’avais jamais vu ce film, n’étant pas trop « fan » des films d’horreur. Et comme la semaine dernière, je suis tombé sur un chef d’oeuvre, qui nous emmène du nord de l’Irak à la banlieue de Washington DC.

Dans sa réalisation, ce long film (il dure 2 h 00) met petit à petit en place les pièces du puzzle qui s’assemblent. Si je devais faire une comparaison, il me fait penser au « Psychose » d’Alfred Hitchcock.

Il est vrai que les deux films partagent un point en commun : une bande son minimaliste. Le film n’est pas angoissant en lui-même, comme il ne fait pas vraiment peur. C’est juste l’ambiance qui est prenante et qui fait de ce film un chef d’oeuvre des années 1970 à voir… Si on a l’estomac solide cependant 😉

Et cela m’a donné envie de découvrir « Tubular Bells » de Mike Oldfield, dont le film se sert pour l’introduction sonore.