Après avoir récupéré l’image ISO via le réseau BitTorrent de la version RC Gnome 64 bits de la LMDE, j’ai créé une machine virtuelle et lancé l’installation.
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom linuxmint-201108-gnome-64bit-rc.iso -boot cd &
Le seul hic, c’est que j’ai du partitionner le disque avant de lancer l’installateur, sinon ce dernier bloquait.
13 ans sont passés, et après bien des péripéties, voici donc arrivée la version 2011 de la Mandriva. Après avoir récupéré l’image ISO, et pour éviter des problèmes d’affichage avec KDE, j’ai installé le tout dans une machine virtuelle VirtualBox.
Et coté retour aux racines, c’est clair : KDE ou aucun autre environnement. Gnome, Xfce et compagnie sont dépréciés. Autant dire qu’il faut aimer KDE pour utiliser la distribution. Au moins, cela a le mérite d’être clair.
Sur les premières impressions : on sent que pas mal de boulot a été effectué sur la distribution : c’est rapide au démarrage (merci systemd), le nettoyage a été profond et les outils semblent avoir été revu dans un sens d’utilisation simplifié.
Dès l’écran de connexion, on se retrouve en face d’un écran qui fait penser à ce qu’on trouve partout ailleurs : une image de connexion avec une boite de saisie pour le mot de passe. Et un gros morceau a été rajouté, aimablement inspiré par la vue Applications de Gnome 3 ou encore ce qui est disponible dans l’outil de Canonical, Unity. Un panneau d’application un peu fourre tout mais bien pensé, qui remplace le menu « K » qu’on trouve habituellement. Une vidéo sera plus parlante pour montrer un peu la Mandriva 2011 en action.
Pour faire un rapide bilan de la distribution, ce que l’on peut dire…
En positif :
Rapide, rapide, ai-je dit rapide ?
Les outils sont allégés
Le menu « SimpleWelcome » permet de trouver facilement ses petits
Les menus systèmes bien rangés.
En négatif :
Un seul environnement de bureau
Parfois des outils systèmes redondants
Arrivée un peu tardive
Maintenant, à vous de tester et de voir si cette distribution vous parle ou pas !
La distribution ubuntu de la semaine… PearOS, une distribution français lorgnant sur MacOS-X basée sur Ubuntu, et fait notable, uniquement en 64 bits !
Et pour finir, une petite musique d’un groupe que j’aime beaucoup, « Heirloom » des « The Black Atlantic« .
J’ai rarement utilisé MS-Windows Vista ou 7, mais je ne me souviens pas d’une fenêtre unifiée en cas de copies multiples en parallèle.
J’ai donc fait quelques fouilles archéologiques et j’ai retrouvé un CD de la Ubuntu 8.04 LTS en 64 bits. J’ai commencé par « dumper » le CD. Celui-ci a comme interface Gnome 2.22, et ce qui est vrai dans cet article le sera pour toute distribution ayant Gnome 2.22 ou plus récent installé.
[fred@fredo-arch ~]$ cd download/ISO\ à\ tester/
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/sr0 of=ubu804.iso
1428068+0 enregistrements lus
1428068+0 enregistrements écrits
731170816 octets (731 MB) copiés, 167,61 s, 4,4 MB/s
Puis j’ai lancé une machine virtuelle :
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 16G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=17179869184 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom ubu804.iso -boot cd &
Et la « nouveauté » de l’avancement de copies affichés dans une seule fenêtre apparaît… Donc la nouveauté de MS-Windows 8 est tout sauf une nouveauté.
Bref, pas grand chose de nouveau sous le ciel informatique, si ce n’est le « bagou » de certains pour s’approprier des présentations nouvelles qui ne le sont pas, loin de là !
Adobe Flash, une usine à failles de sécurité plus ou moins grave ? La nouvelle mise à jour corrigerait… 400 failles trouvées !
Apple a peur de la concurrence et fait jouer les brevets pour faire interdire les tablettes concurrentes sur le marché européen ? Victimes de cette politique ? Samsung et Motorola…
Et pour finir, une petite vidéo, spéciale dédicace à l’Angleterre… 1976…
Quand les majors savaient produire autre chose que de la daube faisandée gavée de musique électronique… Nostalgie, quoi !