Test rapide de la version alpha4 de Kubuntu Karmic Koala :

Kubuntu, c’est le pendant KDEsque d’ubuntu. La version alpha4 de Karmic Koala (alias 9.10) est sortie récemment. J’ai donc récupéré l’image ISO de la Kubuntu Karmic Koala alpha4, et en utilisant l’environnement de test habituel, j’ai lancé un petit kvm…

Kubuntu Karmic Koala Alpha 4

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Test rapide de la Linux Mint 7 KDE.

Distribution dérivée de la distribution ubuntu, Linux Mint se veut être utilisable dès le départ pour la lecture des formats vidéos et audio (mp3 entre autres), le support du flash, etc…

Linux Mint 7 KDE 64 bits

La version 7 de la Linux Mint vient de proposer une version utilisant KDE 4.2. J’ai donc récupéré l’image ISO de cette version, que j’ai lancé dans une machine virtuelle typique avec 1 GiO de mémoire vive.

fred ~/download $ qemu-img create -f qcow2 mint7k.img 32G
Formatting 'mint7k.img', fmt=qcow2 size=34359738368 encryption=off cluster_size=0
fred ~/download $ qemu-kvm -k fr -localtime -m 1024 -hda mint7k.img -soundhw all -cdrom LinuxMint-7-KDE.iso -boot d &

En utilisant l’outil d’installation de la manière la plus automatique, la partition principale est en ext3fs.

En 20 minutes, la Linux Mint 7 est installée. Après le premier démarrage, une soixantaine de mise à jour sont disponibles, dont Mozilla Firefox 3.0.13.

Coté équipement logiciel, la linux Mint est propulsée par un noyau 2.6.28, KDE 4.2.4, OpenOffice.org 3.0.

L’ensemble est très agréable d’utilisation, et l’intégration de KDE meilleure que celle que j’avais pu voir avec Kubuntu. Maintenant, il est dommage que la Mint dépende autant d’Ubuntu pour son cycle de publication.

Un aperçu de la nouvelle version de l’installateur d’Archlinux.

Archlinux est une distribution qu’on réinstalle rarement… Sauf en cas de coup dur (changement de disque ou d’ordinateur), une fois installé, Archlinux n’a pas besoin d’être réinstallé.

Jetant un oeil sur la liste de publication concernant le développement des images d’installation d’ArchLinux, j’ai pu lire ce message, concernant la version alpha1 de l’image 2009.08.

ArchLinux Installer 2009.08 alpha1

Cette version utilise un noyau 2.6.30, l’outil « ArchLinux Installation Framework » à la place de l’ancien outil.

L’installation est toujours aussi simple, même si on peut rencontrer quelques bugs, comme l’obligation d’insérer à la main la « timezone » dans le fichier /etc/rc.conf. Surement lié au bug 13196

Les captures d’écran de l’album montre les différentes étapes de l’installation en mode réseau, en utilisant l’image 64 bits. Et tout roule 😉

Une partie appréciable est qu’on peut personnaliser le fichier /etc/pacman.conf, histoire de pouvoir rajouter les dépots dès le départ…

Comme le dépot d’Archlinux.fr pour avoir accès à yaourt facilement.

Ce qui est le principal, non ? 🙂

Une idée reçue : les logiciels en mono sont plus lourd que leur équivalent en C/C++.

Dans mon billet précédent, je disais que les logiciels en mono était parfois jusqu’à trois fois plus lourd… Je faisais erreur. Je m’explique.

En effet, j’avais pu voir dans une machine virtuelle contenant une Ubuntu Jaunty que Tomboy prenait 24 ou 25 MiO au démarrage… J’ai donc voulu voir ce que donnait des versions récentes de Mono, en utilisant comme outil Tomboy et Banshee, tout en comparant avec leur équivalent en C/C++ que sont gNote et Rhythmbox.

Cet article n’est pas à visée scientifique – et il n’en a pas la prétention – mais j’ai envie de tordre le cou à une idée reçue. Il aurait fallu tester deux ou trois autres logiciels, mais je me suis limité aux logiciels existant aussi bien en mono qu’en langage C/C++.

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Deux mois déjà…

…que je suis revenu sous Archlinux. Encore un petit mois, et j’aurais dépassé mon précédent record d’utilisation d’Archlinux (fin décembre 2007 à fin mars 2008).

Entre temps, j’ai gagné en connaissance technique, et je ne suis plus trop effrayé pour recompiler certains composants, comme gnome-keyring 2.26.3 qui est – au moment où j’écris ce billet – indisponible et qui bloque l’installation de Gnome 2.26.3.

Gnome 2.26.3 sous Archlinux

Il est vrai que l’idée d’ArchLinux et de garder des logiciels aussi peu « rustinés » que possible est bien agréable. De plus, maintenant, j’apporte un peu ma pierre à l’édifice, ayant repris la maintenance d’un paquet sur AUR qui permet d’avoir une version de développement de Liferea.

Bref, je ne pense pas que l’arrivée de la version Karmic Koala d’Ubuntu me fera changer d’avis, surtout vu le virage pris avec l’intégration d’outils en Mono – technologie que je trouve très gourmande et surtout trop liée à Microsoft – pour la future version.

J’ai d’ailleurs remplacé l’outil Tomboy par Gnote (et la consommation mémoire a été divisée par trois environ, un article suivra concernant ce point précis).

Bref, j’attaque sereinement le troisième mois d’utilisation. Ce que je crains le plus ? La migration de Gnome 2.26.3 vers Gnome 2.28.0.