J’ai découvert Brady Harris via le blog d’Agnes en juillet dernier. Mais je n’avais pas écouter outre mesure cet artiste et son groupe. L’opération de Noël d’Agnès a été l’occasion de me plonger dans le dernier opus de Brady Harris, « NoHo Confidential ». Je ne m’y étais pas plongé auparavant, grosse erreur !
J’avoue qu’à la nouvelle écoute, j’ai accroché. Cela m’a donné envie de réécouter ma période préférée des Quatre de Liverpool, qui va de 1965 à 1970 de Rubber Soul à Let It Be. Car Brady Harris et son groupe, c’est un hommage constant aux Beatles de la deuxième époque.
Dès la première piste, on se dit que cet album aurait pu être composé par Lennon et McCartney. Des sonorités assez teintées milieu des années 1960, mais sans tomber dans la photocopie pure et simple.
« Mexico » est la meilleure piste de la première partie de l’album. Car elle est très rythmée, comme si les deux premières pistes lui avait servi de tremplin.
La deuxième partie de l’album commence avec un slow aux sonorités jazzy. Inutile de préciser quelle piste de l’album « Rubber Soul » me vient à l’esprit avec ce titre 🙂
« Northern Soul » donne un petit coup de fouet pour réveiller les auditeurs qui se seraient laissés bercés par la piste précédente.
« Heart Of Glass » ? Encore un titre qu’aurait pu composer les Beatles. Cette balade acoustique est une pépite de douceur supplémentaire.
L’album se termine avec « Night at La Carafe », un morceau instrumental. Un album que j’ai vraiment, vraiment aimé. Car c’est tellement bon de retomber dans ses classiques par moment 🙂
Mais il y a un autre album, un peu plus spécial, dont je voudrais parler ici. C’est son EP entièrement en français, « Mectologie ».