VMware Workstation Pro est désormais gratuit pour un usage personnel. Quelles conséquences…

… Pour VirtualBox et Qemu (enrobé ou pas dans Virt Machine Manager) ? Je dois dire que j’ai été surpris d’apprendre que la version Workstation Pro de VMware était désormais gratuite pour une utilisation personnelle.

L’installer sur Archlinux ou Manjaro est très simple. Prévoyez un bon Go sur sur votre partition /, car le logiciel est plutôt gourmand…

$ pacman -Qi vmware-workstation | grep Taille
Taille installée : 882,85 MiB

  1. Vérifier qu’on a bien le paquet headers correspondant au noyau Linux utilisé. Par exemple linux-headers pour le noyau classique, linux-lts-headers pour le noyau LTS et ainsi de suite.
  2. Installer les paquets AUR vmware-keymaps et vmware-workstation.
  3. Redémarrer ou activer les modules noyau : sudo modprobe -a vmw_vmci vmmon
  4. Lancer (puis activer si vous utilisez régulièrement WMware Workstation) les services vmware-networks (réseau) et vmware-usbarbitrator (support usb)

Normalement vous serez capable de lancer VMware Workstation sans problèmes. Cependant dans mes rapides essais, j’ai pu constaté qu’il m’était impossible d’activer l’UEFI avec une machine virtuelle basée sur le modèle Ubuntu. Ou encore qu’Archlinux est absente de la longue liste des distributions GNU/Linux supportées.

Or que ce soit avec VirtualBox ou VirtMachineManager, avoir un modèle Archlinux ne pose aucun problème. Cherchez l’erreur.

Autant dire que je ne vais pas conserver longtemps le logiciel installé sur mon système, mes besoins étant largement comblés par Virt Machine Manager.

Je pense que le logiciel qui devra faire gaffe dans cette histoire, selon moi, c’est bien VirtualBox… Que j’ai désinstallé au bout de 8 mois sans la moindre utilisation !

Peut-être que je suis trop formaté à l’interface de Virt Machine Manager ? 🙂

Les DGLFI en recrudescence ou simplement plus visibles ?

Quand j’ai commencé vers 2017 ou 2018 à parler des DGLFI, à savoir les Distributions GNU/Linux Franchement Inutiles, je ne pensais pas que la série de vidéos que je leur dédierai atteindra la cinquantaine, voire la dépasserait légèrement.

Pour m’alimenter dans ce genre de distributions qu’il serait suicidaire de mettre sur un PC en dur, je me basais souvent sur la liste d’attente de Distrowatch.

C’est ainsi que j’ai alimenté régulièrement cette série de vidéos. C’est ainsi que j’ai pu faire l’épisode 51, visible ci-dessous.

Cependant, j’ai parfois utilisé les nouveautés côté distributions pour me servir. Comme cela a été le cas pour l’épisode 52 des DGLFI.

D’où débouche une question existentielle ? Les DGLFI sont-elles en retour ou simplement sont-elles plus visibles ?

J’espère simplement que je n’atteindrai jamais – ou le plus tard possible – l’épisode 100 de cette série.

L’espoir fait vivre après tout 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième vendredi du mois de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Pour finir, après l’avoir abordé dans un précédent en vrac’, voici une vidéo dédiée à la DGLFI Altima Linux. Bon visionnage 🙂

Sur ce, bon week-end

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Aquilus a sorti récemment un nouvel album, « Bellum II ». C’est à destination des personnes aimant le black metal atmosphérique. Je dois dire que j’ai donné et que je n’accroche plus à ce genre de black metal.

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Broken Mirror » ou l’aventure-horreur en point’n’click sur Commodore 64.

Je dois dire que j’ai toujours aimé les jeux d’aventures, qu’ils soient en mode texte, semi graphique voire point’n’click. Le genre point’n’click soit à la première personne soit à la troisième personne est très répandu sur le Commodore 64.

Il ne faut pas oublier que « Maniac Mansion » a été porté sur le Commodore 64 en 1987.

Mais revenons à « Broken Mirror ». C’est un point’n’click en vue à la première personne. On commence l’aventure enfermé dans une cellule, mais on ne sait plus qui on est et pourquoi on a été emprisonné.

Le jeu est divisé en quatre parties, du moins si j’en crois le catalogue de la disquette du jeu. Vous pourrez le récupérer sur le site csdb.dk.

Je vous offre la solution de la première partie du jeu. Les autres parties ? Peut-être un jour, si j’arrive à finir le jeu 🙂

Sur ce, bonne fin de journée 🙂