Avec la sortie de Mozilla Firefox 4 (14 mois après Mozilla Firefox 3.6), une tendance lourde des navigateurs sur leur présentation semble être en train de s’imposer. Un allègement maximal de l’interface.
Cette tendance a été lancée par Google et son navigateur maison basé sur Webkit et le projet Chromium.
J’ai décidé de faire des captures d’écran de l’interface de Mozilla Firefox 4.0, Chromium 10, Midori (le navigateur par défaut de Xfce) et d’Opera 11, car je prends uniquement en compte les navigateurs existant sur les unix libres et non libres – dont MacOS-X est un représentant – et MS Windows. Ok, Midori n’existe pas pour MS Windows 😀
Pour des raisons pratiques, j’ai utilisé un environnement virtuel, pour installer une ArchLinux 64 bitsXfce 4.8.1, avec Mozilla Firefox 4.0, Midori 0.3.3, Chromium 10 et Opera (ou presque pour ce dernier).
Voici donc les captures d’écran de Mozilla Firefox 4.0 (avec le bouton activé, même s’il ne l’est pas par défaut pour les versions autre que Windows Vista/7), de Chromium 10, et de Midori« >Midori.
Opera ? Bien qu’ayant installé le paquet 64 bits officiellement disponible pour archlinux, ou une version récupérée sur le site officiel d’Opera, le résultat est malheureusement le même : un logiciel qui se vautre au démarrage 🙁
On peut remarquer que les grandes idées de présentations sont les mêmes :
- Onglets en haut.
- Un bouton qui permet de dérouler les options
- La suppression d’un maximum de barres d’outils
Ce qui n’est pas un mal finalement, car cela replace le navigateur dans son rôle : afficher les pages internet que les internautes visitent, ce qui est déjà important.