En vrac’ rapide et libre.

Une petit en vrac’ de lien en rapport avec le libre.

Voila, c’est tout 😀

« A Love Supreme », mon album préféré de Jazz.

J’adore de nombreux styles musicaux, et j’avoue que quand on parle Jazz, le premier nom qui me vient à l’esprit, c’est John Coltrane, saxophoniste de génie.

La première fois que j’ai entendu l’album « A Love Supreme » (1964), ça a été la claque. Même si l’oeuvre est assez courte, à peine plus de 33 minutes, j’ai eu le plaisir de déguster l’oeuvre en vynil avant de l’avoir en CD audio.

Chaque fois que je l’écoute, je suis emporté par la première partie, « Acknowledgement » qui surprend par son introduction si spéciale, qui me fait penser sur le plan non-conventionnel à l’introduction de la piste éponyme du cinquième album des Pink Floyd, « Atom Heart Mother ».

Comment ne pas se laisser emporter par une telle mélodie et une telle rythmique. Je dois remercier Greg qui a parlé d’un autre album que j’aime beaucoup, « Kind Of Blue » du maître de la trompettes, Miles Davis.

Je vous laisse, je vais me mettre l’album vynil sur ma platine pour me détendre 🙂

Sully and The Benevolent Folk : « The Odd Sea », un album concept intéressant.

C’est en suivant le fil twitter d’Amanda Palmer que j’ai pris connaissance d’un travail assez atypique.

 

Celui de Sully, qui acheta un ukulele pour apprendre à en jouer. Ecrivant un titre par jour pour pour maitriser l’instrument, il a été rejoint par la suite par 25 autres musiciens de différents univers pour donner de la substance aux titres créés. Il en est resté un album de 15 pistes, « The Odd Sea« .

Mis il ne faut pas croire que c’est du simple ukulele. Il y a par exemple des mélanges intéressants.

Continuer la lecture de « Sully and The Benevolent Folk : « The Odd Sea », un album concept intéressant. »

L’industrie des copieurs de galettes plastifiées nous prend-t-elle pour des con(ne)s ?

Parfois les actualités se bousculent. Plusieurs actualités m’ont inspiré cet article. La première, c’est la sortie du Rapport Lescure qui est une volonté de taxer encore plus en donnant toujours moins de droits aux utilisateurs.

L’April ou encore la Quadrature du Net ont mis en avant les points faibles du rapport : l’April en parlant de la présence des DRMs, menottes numériques qui tue l’offre légale outre le prix et les limitations d’utilisations qui sont au mieux risibles, et la Quadrature du Net qui montre le rapport que le rapport a été plus ou moins téléguidé par l’industrie culturelle.

Dans un long article intéressant, maître Cyrille sur son arbre perché (désolé !), nous parle d’un frein à l’offre légale, le prix. En prenant toujours le même exemple :

[…]
Comme je l’ai déjà évoqué il y a plusieurs années, on ne peut pas continuer de cette façon, des gens qui sont prêts à payer 600 ou 700 € pour un smartphone d’un côté mais qui refusent de payer quelques euros pour une œuvre culturelle. Comme je l’ai déjà écrit, on ne peut pas avoir 95% de pirates, le système ne peut pas fonctionner, c’est trop. Comme je l’ai enfin écrit on aura beau m’expliquer que le piratage n’a aucune incidence sur les ventes de produits culturels, je n’y crois pas.[…]

En effet, en prenant un cas que je connais, ça m’a permis de m’acheter une partie non négligeable de ma collection de galettes plastifiée qui avoisine les 550 références. Et pour les smartphones à 600 ou 700 €, combien les achètent nus ? Simple question, hein 🙂

Le noeud du problème, c’est le prix. Oui, les biens culturels sont trop chers. Il n’est pas rare de voir des CD à 16 € pour un simple. Si on sort en gros 20% de TVA et 3 à 4% de marge du distributeur, le CD coute à produire… environ 11 ou 12 €. Et sur les 11 ou 12 €, combien toucheront les artistes qu’ils soient ultra connus ou débutant ? 2 ou 3 € dans le meilleur des cas ?

Continuer la lecture de « L’industrie des copieurs de galettes plastifiées nous prend-t-elle pour des con(ne)s ? »

En vrac’ rapide et libre…

En ce mardi, un petit en vrac’ rapide et libre.

Et même si c’est pas libre pour finir cet article, une reprise assez contextuelle d’un des premier grand succès de David Bowie sorti en novembre 1969 : « Space Oddity ». Oui, mais tourné depuis la Station Spatiale Internationale.

Bon mardi 🙂