Note préliminaire : il y a trois vidéos qui illustrent cet article. Désolé, mais c’était nécessaire pour la cohérence du billet.
Je n’ai jamais été un grand cador dans le domaine de la compréhension et l’écriture de la langue anglaise. il faut dire que mon anglais était des plus limités quand je suis sorti du circuit scolaire après un cursus d’anglais en tant que première langue vivante entre la sixième et la terminale.
Quand je suis arrivé sur internet en 1997, il a fallu que je me sorte les doigts du fondement pour trouver les informations dont j’avais parfois besoin. Il faut dire qu’en 1997, les pages en français étaient plutôt rares, surtout quand Altavista était le moteur de recherche qui régnait sur la toile naissante.
Heureusement, 20 ans plus tard, les sources d’informations francophones se sont multipliées. Cependant, il ne faut pas oublier que l’anglais reste la langue maternelle de l’informatique libre ou privatrice.